L'économie espagnole devrait se contracter de 1,5%, en 2012 contre 1,7% initialement prévu, mais devrait rester dans le rouge en 2013 avant de renouer avec la croissance en 2014, a annoncé le ministre du Budget, Cristobal Montoro. Le gouvernement table, désormais, sur une contraction de 0,5% du PIB en 2013, alors qu'il prévoyait une faible croissance de 0,2%, soit "une poursuite de la récession, mais atténuée", a ajouté M. Montoro, en présentant les prévisions économiques du gouvernement après le Conseil des ministres. L'Espagne devrait, enfin, renouer avec la croissance en 2014, avec une économie à nouveau en progression de 1,2%, contre 1,4% attendu jusqu'à présent, a indiqué le ministre du Budget. Quatrième économie de la zone euro, l'Espagne a été frappée par l'éclatement de la bulle immobilière en 2008. Elle est retombée en récession au premier trimestre de cette année, deux ans après en être sortie. Sous pression de ses partenaires européens et des marchés, le pays vient d'adopter un nouveau plan d'austérité draconien, qui prévoit 65 milliards d'euros d'économies d'ici à la fin 2014, et risque selon de nombreux économistes d'entraver la reprise économique. L'économie espagnole devrait se contracter de 1,5%, en 2012 contre 1,7% initialement prévu, mais devrait rester dans le rouge en 2013 avant de renouer avec la croissance en 2014, a annoncé le ministre du Budget, Cristobal Montoro. Le gouvernement table, désormais, sur une contraction de 0,5% du PIB en 2013, alors qu'il prévoyait une faible croissance de 0,2%, soit "une poursuite de la récession, mais atténuée", a ajouté M. Montoro, en présentant les prévisions économiques du gouvernement après le Conseil des ministres. L'Espagne devrait, enfin, renouer avec la croissance en 2014, avec une économie à nouveau en progression de 1,2%, contre 1,4% attendu jusqu'à présent, a indiqué le ministre du Budget. Quatrième économie de la zone euro, l'Espagne a été frappée par l'éclatement de la bulle immobilière en 2008. Elle est retombée en récession au premier trimestre de cette année, deux ans après en être sortie. Sous pression de ses partenaires européens et des marchés, le pays vient d'adopter un nouveau plan d'austérité draconien, qui prévoit 65 milliards d'euros d'économies d'ici à la fin 2014, et risque selon de nombreux économistes d'entraver la reprise économique.