A vos cartables et sacs à dos ! Quelques jours seulement nous séparent de la rentrée scolaire 2012/2013, prévue pour le 9 septembre prochain. Comme chaque année, ce rendez-vous est synonyme d'achat de cartables, cahiers, protège-cahiers, stylos et crayons, livres et autres fournitures spécifiques à chaque niveau scolaire. A vos cartables et sacs à dos ! Quelques jours seulement nous séparent de la rentrée scolaire 2012/2013, prévue pour le 9 septembre prochain. Comme chaque année, ce rendez-vous est synonyme d'achat de cartables, cahiers, protège-cahiers, stylos et crayons, livres et autres fournitures spécifiques à chaque niveau scolaire. La particularité de cette année, c'est que la rentrée scolaire succède à une série d'évènements, lors desquels, les chefs de familles ont profondément puisé dans leurs bourses pour en assumer les frais. Après les grandes vacances d'été, l'arrivée de Sidna Ramadhan et l'Aid, ils ne savent plus où donner de la tête. Les moyens et maigres portefeuilles seront, pour une énième fois, cette année, débités de leurs soldes. Même pas le temps de reprendre le souffle. Bien que la cohue des acheteurs ne soit pas vraiment perceptible, le compte à rebours a, bel et bien, commencé et la course aux fournitures scolaires prend davantage son élan. Mais en fait, combien coûte un trousseau scolaire ? Et qu'en est il du pouvoir d'achat des ménages, alors que le SNMG stagne au niveau des 18.000 dinars ? En fait, si tout est une affaire de bon sens, les parents les plus préventifs déboursent, tout de même, pas moins de 2.000 DA pour équiper un seul enfant scolarisé. Se référant à la composante d'une famille moyenne algérienne, cette somme est à multiplier par 3 au minimum pour chaque ménage. Il s'avère, cependant, que les comptes ne sont pas si simples que cela puisse paraître. Car, il faut reconnaître que les parents d'élèves sont souvent otages des goûts de leurs enfants. Et pour satisfaire ne serait-ce qu'une partie de leurs préférences, ils finissent généralement par succomber aux choix de leurs enfants quitte à dépenser parfois le double de leurs budgets initiaux consacrés à la rentrée scolaire. Les conséquences de l'ouverture du marché national aux produits d'importation et la relance des unités locales de production d'articles scolaires ont permis d'assurer la disponibilité des fournitures, et les qualités s'avèrent de plus en plus attrayantes. Au niveau des grandes surfaces commerciales, de larges espaces ont été aménagés pour y exposer les différentes catégories disponibles en ce moment. Des modèles les plus classiques aux gadgets les plus insolites, il faut dire que l'influence de la mode finit souvent par détourner les esprits du principe du rapport qualité/prix. Certaines surfaces spécialisées ont pris l'initiative de mettre à la disposition des parents les listes de fournitures scolaires des différents niveaux scolaires. Le représentant d'une grande marque étrangère implantée en Algérie, nous a affirmé que les listes de fournitures ont été élaborées en consultation avec les professionnels de l'éducation nationale en vue de faciliter l'opération aux parents qui préfèrent acquérir les trousseaux scolaires sans même attendre les commandes des enseignants et des maîtres d'écoles. Bien que cette initiative ait été bienaccueillie, de nombreux parents d'élèves ont signalé le fait que plusieurs articles, pas forcément nécessaires, ont été soigneusement glissés dans ces listes. Une manière sans doute, pour écouler les marchandises plus facilement quitte à extirper aux bourses des familles algériennes quelques centaines de dinars en plus. C'est ce qu'on appel le un coup de marketing commercial. Le marché parallèle n'est pas en marge de cet évènement annuel, bien au contraire. Après un mois d'activité lucrative débarrassée de toute imposition et marquée par une grande adhésion des consommateurs durant le mois de Ramadhan et les fêtes de l'Aïd, les saisonniers ont dû écourter leur « célébration du butin » pour s'accaparer une place sur les trottoirs et les abords des marchés populaires pour étaler les nouvelles arrivées de fournitures scolaires du marché noir. Ces articles contrefaits proviennent, en grande partie, de Chine. Bien qu'aucune garantie de la qualité n'y est assurée, beaucoup de familles se voient forcées de se rabattre sur ce genre de produits qui coûtent généralement, beaucoup moins cher que ceux achetés en magasin. Il faut signaler que la fragilité des articles contre- faits, représentent une véritable menace pour les élèves, notamment, ceux en cycle primaire. Par ailleurs, le ministère de l'Education nationale a assuré que la demande en matière de livres scolaires sera satisfaite. Plus de 60 millions de manuels ont été publiés cette année.Il faut rappeler que plus de 8.300.000 élèves des trois cycles, primaire, moyen et secondaire seront attendus dès le dimanche 9 septembre prochain. Plus de 25.000 établissements scolaire ouvriront leurs portes pour accueillir la nouvelle année scolaire, qu'on souhaite pleine de succès pour l'ensemble des élèves. La particularité de cette année, c'est que la rentrée scolaire succède à une série d'évènements, lors desquels, les chefs de familles ont profondément puisé dans leurs bourses pour en assumer les frais. Après les grandes vacances d'été, l'arrivée de Sidna Ramadhan et l'Aid, ils ne savent plus où donner de la tête. Les moyens et maigres portefeuilles seront, pour une énième fois, cette année, débités de leurs soldes. Même pas le temps de reprendre le souffle. Bien que la cohue des acheteurs ne soit pas vraiment perceptible, le compte à rebours a, bel et bien, commencé et la course aux fournitures scolaires prend davantage son élan. Mais en fait, combien coûte un trousseau scolaire ? Et qu'en est il du pouvoir d'achat des ménages, alors que le SNMG stagne au niveau des 18.000 dinars ? En fait, si tout est une affaire de bon sens, les parents les plus préventifs déboursent, tout de même, pas moins de 2.000 DA pour équiper un seul enfant scolarisé. Se référant à la composante d'une famille moyenne algérienne, cette somme est à multiplier par 3 au minimum pour chaque ménage. Il s'avère, cependant, que les comptes ne sont pas si simples que cela puisse paraître. Car, il faut reconnaître que les parents d'élèves sont souvent otages des goûts de leurs enfants. Et pour satisfaire ne serait-ce qu'une partie de leurs préférences, ils finissent généralement par succomber aux choix de leurs enfants quitte à dépenser parfois le double de leurs budgets initiaux consacrés à la rentrée scolaire. Les conséquences de l'ouverture du marché national aux produits d'importation et la relance des unités locales de production d'articles scolaires ont permis d'assurer la disponibilité des fournitures, et les qualités s'avèrent de plus en plus attrayantes. Au niveau des grandes surfaces commerciales, de larges espaces ont été aménagés pour y exposer les différentes catégories disponibles en ce moment. Des modèles les plus classiques aux gadgets les plus insolites, il faut dire que l'influence de la mode finit souvent par détourner les esprits du principe du rapport qualité/prix. Certaines surfaces spécialisées ont pris l'initiative de mettre à la disposition des parents les listes de fournitures scolaires des différents niveaux scolaires. Le représentant d'une grande marque étrangère implantée en Algérie, nous a affirmé que les listes de fournitures ont été élaborées en consultation avec les professionnels de l'éducation nationale en vue de faciliter l'opération aux parents qui préfèrent acquérir les trousseaux scolaires sans même attendre les commandes des enseignants et des maîtres d'écoles. Bien que cette initiative ait été bienaccueillie, de nombreux parents d'élèves ont signalé le fait que plusieurs articles, pas forcément nécessaires, ont été soigneusement glissés dans ces listes. Une manière sans doute, pour écouler les marchandises plus facilement quitte à extirper aux bourses des familles algériennes quelques centaines de dinars en plus. C'est ce qu'on appel le un coup de marketing commercial. Le marché parallèle n'est pas en marge de cet évènement annuel, bien au contraire. Après un mois d'activité lucrative débarrassée de toute imposition et marquée par une grande adhésion des consommateurs durant le mois de Ramadhan et les fêtes de l'Aïd, les saisonniers ont dû écourter leur « célébration du butin » pour s'accaparer une place sur les trottoirs et les abords des marchés populaires pour étaler les nouvelles arrivées de fournitures scolaires du marché noir. Ces articles contrefaits proviennent, en grande partie, de Chine. Bien qu'aucune garantie de la qualité n'y est assurée, beaucoup de familles se voient forcées de se rabattre sur ce genre de produits qui coûtent généralement, beaucoup moins cher que ceux achetés en magasin. Il faut signaler que la fragilité des articles contre- faits, représentent une véritable menace pour les élèves, notamment, ceux en cycle primaire. Par ailleurs, le ministère de l'Education nationale a assuré que la demande en matière de livres scolaires sera satisfaite. Plus de 60 millions de manuels ont été publiés cette année.Il faut rappeler que plus de 8.300.000 élèves des trois cycles, primaire, moyen et secondaire seront attendus dès le dimanche 9 septembre prochain. Plus de 25.000 établissements scolaire ouvriront leurs portes pour accueillir la nouvelle année scolaire, qu'on souhaite pleine de succès pour l'ensemble des élèves.