Au feu ! Les pompiers. Chaleur sécheresse et inconscience ont été un cocktail détonant qui a ravagé plus de 20.000 hectares de forêts depuis le mois de juin. Un bilan dans les normes au regard des autres années avec une canicule qui sévit depuis plus d'un mois estime le directeur général des Forêts. Si le premier responsable affirme que le bilan de cette année n'est pas si catastrophique que cela, alors réjouissons nous ! Quand bien même dix huit wilayas du pays ont été éprouvées par les incendies, dont on ne connaît pas toujours l'origine, seule la canicule, facteur aggravant des feux de forêts est pointée du doigt. Cependant, le premier responsable du secteur ne joue pas la carte alarmiste. Le pin d'Alep étant une végétation naturelle, pas besoin de se faire du souci, ça repoussera tout seul, parole de scout ! Pour les oliviers de Kabylie c'est une autre paire de manches ! Pas de doute là-dessus, les feux de forêts de cet été ont mis à nu toutes les techniques traditionnelles. Mais saluons en premier lieu les soldats du feu à qui revient la palme de la bravoure, en mettant toutes leurs tripes pour maîtriser les incendies en un temps très court. Armés d'un courage avec beaucoup d'abnégation et mettant souvent leur vie en péril, les éléments de la Protection civile sont sur le qui-vive et vont inlassablement par monts et par vaux faire face à des incendies qui se multiplient pour apporter du secours et sauver des vies humaines avec très peu de moyens modernes, surtout dans les régions accidentées, les Canadairs ne seront pas pour demain. A côté, l'Etat se contente de faire le constat amer. Le débroussaillage aux abords des routes n'est toujours pas inscrit au registre de la prévention, du moins son application reste un vœu pieux. Les incendies continueront de ravager nos forêts ou du moins ce qu'il en reste et les pyromanes avec ou sans canicule seront toujours dans la nature. Au feu ! Les pompiers. Chaleur sécheresse et inconscience ont été un cocktail détonant qui a ravagé plus de 20.000 hectares de forêts depuis le mois de juin. Un bilan dans les normes au regard des autres années avec une canicule qui sévit depuis plus d'un mois estime le directeur général des Forêts. Si le premier responsable affirme que le bilan de cette année n'est pas si catastrophique que cela, alors réjouissons nous ! Quand bien même dix huit wilayas du pays ont été éprouvées par les incendies, dont on ne connaît pas toujours l'origine, seule la canicule, facteur aggravant des feux de forêts est pointée du doigt. Cependant, le premier responsable du secteur ne joue pas la carte alarmiste. Le pin d'Alep étant une végétation naturelle, pas besoin de se faire du souci, ça repoussera tout seul, parole de scout ! Pour les oliviers de Kabylie c'est une autre paire de manches ! Pas de doute là-dessus, les feux de forêts de cet été ont mis à nu toutes les techniques traditionnelles. Mais saluons en premier lieu les soldats du feu à qui revient la palme de la bravoure, en mettant toutes leurs tripes pour maîtriser les incendies en un temps très court. Armés d'un courage avec beaucoup d'abnégation et mettant souvent leur vie en péril, les éléments de la Protection civile sont sur le qui-vive et vont inlassablement par monts et par vaux faire face à des incendies qui se multiplient pour apporter du secours et sauver des vies humaines avec très peu de moyens modernes, surtout dans les régions accidentées, les Canadairs ne seront pas pour demain. A côté, l'Etat se contente de faire le constat amer. Le débroussaillage aux abords des routes n'est toujours pas inscrit au registre de la prévention, du moins son application reste un vœu pieux. Les incendies continueront de ravager nos forêts ou du moins ce qu'il en reste et les pyromanes avec ou sans canicule seront toujours dans la nature.