On a beaucoup dit et écrit sur l'état de santé du président Bouteflika mais vendredi dernier, l'intox concernant le décès du président Abdelaziz Bouteflika sur la Toile aura été le bouquet. Les réseaux sociaux s'emballent, la rumeur fait le tour de l'Algérie, le téléphone portable fait le reste et la rumeur se répand comme une traînée de poudre. L'info est de taille. Pour certains, archi-sûrs de leur source, «le Président serait décédé dans une clinique en Suisse», pour d'autres, «il est cliniquement mort». Pour ceux qui croient avoir un meilleur tuyau, "il serait sous assistance respiratoire à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce", précisément où il y avait subi une intervention chirurgicale pour un problème à l'estomac. Bref les rumeurs les plus folles. Et pourtant à Alger, il n'y avait aucun signe avant- coureur concernant la dégradation de l'état de santé du Président qui puisse alimenter «l'info intox» pas même une migraine selon des sources bien informées. La veille, il avait procédé à la nomination d'un nouveau Premier ministre et au remaniement ministériel. D'ordinaire, les ragots se ficellent à Alger ; cette fois le bobard est parti d'un beau café parisien du très huppé 8ème arrondissement de Paris. Le blogueur, Allain Jules, qui après avoir balancé l'info, casse la baraque en termes de visites sur son site et fait de l'ombre aux actualités internationales et pousse le bouchon en prétendant que : "Les choses seraient en train de s'organiser à Alger, avant une éventuelle annonce officielle", comprenons par là l'annonce officielle du décès. Panique à bord au niveau de la présidence ? Pas vraiment, on sait gérer la rumeur ; le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a réagi qualifiant les potins de malveillants , mais le plus cinglant démenti sera venu de l'ENTV montrant les images d'un Président en forme, tout sourire, recevant l'ambassadeur du Chili en Algérie pour une visite d'adieu et accordant une audience à l'ambassadeur de Belgique au siège de la présidence. De quoi couper le sifflet à tous les blogueurs et les spéculateurs qui croyaient avoir enterré le Président qui bon pied, bon œil nous donnera rendez-vous pour son prochain anniversaire, «In ch'Allah». On a beaucoup dit et écrit sur l'état de santé du président Bouteflika mais vendredi dernier, l'intox concernant le décès du président Abdelaziz Bouteflika sur la Toile aura été le bouquet. Les réseaux sociaux s'emballent, la rumeur fait le tour de l'Algérie, le téléphone portable fait le reste et la rumeur se répand comme une traînée de poudre. L'info est de taille. Pour certains, archi-sûrs de leur source, «le Président serait décédé dans une clinique en Suisse», pour d'autres, «il est cliniquement mort». Pour ceux qui croient avoir un meilleur tuyau, "il serait sous assistance respiratoire à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce", précisément où il y avait subi une intervention chirurgicale pour un problème à l'estomac. Bref les rumeurs les plus folles. Et pourtant à Alger, il n'y avait aucun signe avant- coureur concernant la dégradation de l'état de santé du Président qui puisse alimenter «l'info intox» pas même une migraine selon des sources bien informées. La veille, il avait procédé à la nomination d'un nouveau Premier ministre et au remaniement ministériel. D'ordinaire, les ragots se ficellent à Alger ; cette fois le bobard est parti d'un beau café parisien du très huppé 8ème arrondissement de Paris. Le blogueur, Allain Jules, qui après avoir balancé l'info, casse la baraque en termes de visites sur son site et fait de l'ombre aux actualités internationales et pousse le bouchon en prétendant que : "Les choses seraient en train de s'organiser à Alger, avant une éventuelle annonce officielle", comprenons par là l'annonce officielle du décès. Panique à bord au niveau de la présidence ? Pas vraiment, on sait gérer la rumeur ; le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a réagi qualifiant les potins de malveillants , mais le plus cinglant démenti sera venu de l'ENTV montrant les images d'un Président en forme, tout sourire, recevant l'ambassadeur du Chili en Algérie pour une visite d'adieu et accordant une audience à l'ambassadeur de Belgique au siège de la présidence. De quoi couper le sifflet à tous les blogueurs et les spéculateurs qui croyaient avoir enterré le Président qui bon pied, bon œil nous donnera rendez-vous pour son prochain anniversaire, «In ch'Allah».