Le ministre de Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari affiche dès l'entame de sa mission sa "disponibilité" et «sa volonté» d'être à l'écoute de tous les acteurs de la Santé. Une mauvaise gestion, rupture des stocks de médicaments et mauvaise prise en charge des malades, tels sont en résumé «les graves problèmes» qui affectent ce secteur sensible. Le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) qui regroupe le Syndicat national des praticiens de la santé publique, le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique, le Syndicat national des médecins du paramédical et le Syndicat national algérien des praticiens cliniciens n'ont pas cessé de tirer la sonnette d'alarme du temps où ce département était dirigé par Djamel Ould Abbès. Le groupement de syndicats n'hésite pas de qualifier la situation actuelle du secteur de la santé de «catastrophique». L'ex-ministre de la Santé réfute toutes les accusations d'où qu'elles viennent. Selon lui, «tous les types de médicaments requis étaient disponibles dans la Pharmacie centrale des hôpitaux» niant une quelconque pénurie. Le ministre a rappelé que l'Algérie a importé des médicaments pour une valeur de 720 millions de dollars au cours des 4 premiers mois de l'année, soit une hausse de 30% par rapport à 2011, «en vue de préserver la santé des Algériens». Faux, rétorque le président du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP), Mohamed Yousfi qui a rappelé que 89 médicaments d'usage hospitalier étaient toujours en rupture à la Pharmacie centrale ainsi que d'autres médicaments de base dans les officines privées. Le syndicaliste a souligné en outre qu'en dépit des efforts consentis et des moyens financiers mis en œuvre pour redresser le secteur de la santé, ce dernier accuse encore de «graves insuffisances» en matière de prise en charge des malades contrairement, a-t-il soutenu, aux allégations du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière que «le secteur va bien». Autre «problème», diagnostiqué mais auquel le ministère n'arrive pas à trouver un remède efficace. C'est le «problème» socioprofessionnel des praticiens. Le président du SNPSSP insiste sur la nécessité d'accélérer l'examen et l'enrichissement des statuts de la santé publique et de les adopter à l'instar des autres textes. Il a appelé les responsables du secteur de la santé à «cesser de se dérober et à ne pas rester muets devant des insuffisances qu'il faut combler pour améliorer la santé dans le pays». Le bureau exécutif national du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) a été reçu récemment par le ministre de Santé, Abdelaziz Ziari, a indiqué mardi ce syndicat dans un communiqué. Une initiative salué par le SNPSSP qui voit dans cette démarche du ministre une approche positive pour « solutionner » les problème qui se posent au secteur de la Santé, d'autant plus que le ministre s'est engagé à «reprendre le travail autour de la plate-forme de revendications défendue par le syndicat depuis 2010, dans une réunion de travail qui sera programmé incessamment». Du côté du Syndicat national algérien des pharmaciens d'officines (Snapo), on salue aussi la rencontre avec le ministre visant à s'enquérir de la situation interne du marché de l'industrie pharmaceutique et parapharmaceutique en Algérie. Le président du Syndicat national algérien des pharmaciens d'officines (Snapo), Messaoud Bellambri a affirmé qu'il « a réellement perçu une volonté forte et nette d'endiguer définitivement le phénomène des pénuries. Nous sommes convaincus qu'avec la volonté, nous allons y arriver». Il a estimé qu'il était «absolument urgent» d'en finir avec les situations de « dominance et exclusivité » qui ont entraîné un « surstockage à tous les niveaux » pour pouvoir prétendre organiser le marché du médicament. Une feuille de route dont Ziari devrait tenir compte pour assainir le secteur qui touche un point sensible qui est la santé du citoyen et de le réserver uniquement aux professionnels, et d'instaurer des règles déontologiques à tous les niveaux. Le ministre de Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari affiche dès l'entame de sa mission sa "disponibilité" et «sa volonté» d'être à l'écoute de tous les acteurs de la Santé. Une mauvaise gestion, rupture des stocks de médicaments et mauvaise prise en charge des malades, tels sont en résumé «les graves problèmes» qui affectent ce secteur sensible. Le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) qui regroupe le Syndicat national des praticiens de la santé publique, le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique, le Syndicat national des médecins du paramédical et le Syndicat national algérien des praticiens cliniciens n'ont pas cessé de tirer la sonnette d'alarme du temps où ce département était dirigé par Djamel Ould Abbès. Le groupement de syndicats n'hésite pas de qualifier la situation actuelle du secteur de la santé de «catastrophique». L'ex-ministre de la Santé réfute toutes les accusations d'où qu'elles viennent. Selon lui, «tous les types de médicaments requis étaient disponibles dans la Pharmacie centrale des hôpitaux» niant une quelconque pénurie. Le ministre a rappelé que l'Algérie a importé des médicaments pour une valeur de 720 millions de dollars au cours des 4 premiers mois de l'année, soit une hausse de 30% par rapport à 2011, «en vue de préserver la santé des Algériens». Faux, rétorque le président du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP), Mohamed Yousfi qui a rappelé que 89 médicaments d'usage hospitalier étaient toujours en rupture à la Pharmacie centrale ainsi que d'autres médicaments de base dans les officines privées. Le syndicaliste a souligné en outre qu'en dépit des efforts consentis et des moyens financiers mis en œuvre pour redresser le secteur de la santé, ce dernier accuse encore de «graves insuffisances» en matière de prise en charge des malades contrairement, a-t-il soutenu, aux allégations du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière que «le secteur va bien». Autre «problème», diagnostiqué mais auquel le ministère n'arrive pas à trouver un remède efficace. C'est le «problème» socioprofessionnel des praticiens. Le président du SNPSSP insiste sur la nécessité d'accélérer l'examen et l'enrichissement des statuts de la santé publique et de les adopter à l'instar des autres textes. Il a appelé les responsables du secteur de la santé à «cesser de se dérober et à ne pas rester muets devant des insuffisances qu'il faut combler pour améliorer la santé dans le pays». Le bureau exécutif national du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) a été reçu récemment par le ministre de Santé, Abdelaziz Ziari, a indiqué mardi ce syndicat dans un communiqué. Une initiative salué par le SNPSSP qui voit dans cette démarche du ministre une approche positive pour « solutionner » les problème qui se posent au secteur de la Santé, d'autant plus que le ministre s'est engagé à «reprendre le travail autour de la plate-forme de revendications défendue par le syndicat depuis 2010, dans une réunion de travail qui sera programmé incessamment». Du côté du Syndicat national algérien des pharmaciens d'officines (Snapo), on salue aussi la rencontre avec le ministre visant à s'enquérir de la situation interne du marché de l'industrie pharmaceutique et parapharmaceutique en Algérie. Le président du Syndicat national algérien des pharmaciens d'officines (Snapo), Messaoud Bellambri a affirmé qu'il « a réellement perçu une volonté forte et nette d'endiguer définitivement le phénomène des pénuries. Nous sommes convaincus qu'avec la volonté, nous allons y arriver». Il a estimé qu'il était «absolument urgent» d'en finir avec les situations de « dominance et exclusivité » qui ont entraîné un « surstockage à tous les niveaux » pour pouvoir prétendre organiser le marché du médicament. Une feuille de route dont Ziari devrait tenir compte pour assainir le secteur qui touche un point sensible qui est la santé du citoyen et de le réserver uniquement aux professionnels, et d'instaurer des règles déontologiques à tous les niveaux.