Le paiement des rançons est la solution toute trouvée pour libérer des otages. Les Européens et en particulier les Français qui sont réfractaires à la loi qui incrimine le paiement des rançons qui libèrent les otages au prix fort certes mais qui tuent davantage. L'Algérie du haut de la tribune de l'ONU par les voix de Rezzag Bara et Driss Djazaïry ont appelé à une résolution incriminant le paiement des rançons aux terroristes une résolution appuyée par les Etats-Unis et adoptée par la 18e session du Conseil des droits de l'homme de l'Onu. Mais jusque-là, on ne peut pas dire que le plaidoyer de l'Algérie ait été réceptif envers des pays dont les ressortissants ont été enlevés. Une Italienne, deux Espagnoles et trois Français détenus au nord du Mali ont été libérés parce que leur pays respectif a aligné des millions d'euros. Un camouflet pour l'Algérie qui s'évertue à inviter tous les pays à s'inscrire dans une même démarche en une convention globale de l'ONU contre le terrorisme devant intégrer la criminalisation du paiement des rançons aux groupes terroristes pour la libération d'otages. L'Algérie a, elle aussi, son lot d'otages. Le 5 avril dernier, le Mujao avait lancé une attaque contre le consulat algérien à Gao enlevant sept diplomates dont le consul. L'Algérie se refuse à tout chantage qu'il soit financier ou autre. Pour les quatre diplomates encore aux mains de cette organisation terroriste, le Mujao exige la libération d'un des leurs, Necib Tayeb, dirigeant algérien de la branche Al Qaida capturé en territoire algérien. Les autorités algériennes n'ont pas cédé et le mouvement terroriste aurait mis ces menaces à exécution, une information à prendre avec beaucoup de précautions puisque ni confirmée ni infirmée. La partie qui se joue entre l'Algérie et les groupes terroristes du nord du Mali se joue très serrée. Le déploiement de la force de la Cedeao qui devrait intervenir en appoint de l'armée malienne réussira-t-il à combattre les islamistes du nord du Mali. L'Algérie sur laquelle la France fait pression mettra-t- elle des moyens militaires d'ordre logistique. Une question à méditer tout de même. Le paiement des rançons est la solution toute trouvée pour libérer des otages. Les Européens et en particulier les Français qui sont réfractaires à la loi qui incrimine le paiement des rançons qui libèrent les otages au prix fort certes mais qui tuent davantage. L'Algérie du haut de la tribune de l'ONU par les voix de Rezzag Bara et Driss Djazaïry ont appelé à une résolution incriminant le paiement des rançons aux terroristes une résolution appuyée par les Etats-Unis et adoptée par la 18e session du Conseil des droits de l'homme de l'Onu. Mais jusque-là, on ne peut pas dire que le plaidoyer de l'Algérie ait été réceptif envers des pays dont les ressortissants ont été enlevés. Une Italienne, deux Espagnoles et trois Français détenus au nord du Mali ont été libérés parce que leur pays respectif a aligné des millions d'euros. Un camouflet pour l'Algérie qui s'évertue à inviter tous les pays à s'inscrire dans une même démarche en une convention globale de l'ONU contre le terrorisme devant intégrer la criminalisation du paiement des rançons aux groupes terroristes pour la libération d'otages. L'Algérie a, elle aussi, son lot d'otages. Le 5 avril dernier, le Mujao avait lancé une attaque contre le consulat algérien à Gao enlevant sept diplomates dont le consul. L'Algérie se refuse à tout chantage qu'il soit financier ou autre. Pour les quatre diplomates encore aux mains de cette organisation terroriste, le Mujao exige la libération d'un des leurs, Necib Tayeb, dirigeant algérien de la branche Al Qaida capturé en territoire algérien. Les autorités algériennes n'ont pas cédé et le mouvement terroriste aurait mis ces menaces à exécution, une information à prendre avec beaucoup de précautions puisque ni confirmée ni infirmée. La partie qui se joue entre l'Algérie et les groupes terroristes du nord du Mali se joue très serrée. Le déploiement de la force de la Cedeao qui devrait intervenir en appoint de l'armée malienne réussira-t-il à combattre les islamistes du nord du Mali. L'Algérie sur laquelle la France fait pression mettra-t- elle des moyens militaires d'ordre logistique. Une question à méditer tout de même.