Des sources, proches du ministère du Transport, ont affirmé que la mise en vigueur des mesures de prévention routière relatives à la dotation des véhicules de transport de marchandise et des voyageurs de chrono tachygraphes n'est toujours pas à l'ordre du jour. Cette rectification vient en réponse à la fausse information relayée par certains médias nationaux, annonçant l'entrée en vigueur de ce dispositif à partir du mois en cours. En ce sens, il a été précisé, que cette nouvelle mesure attend d'être adoptée par le gouvernement avant sa mise en application. Ce texte de loi stipule que tout véhicule de transport de marchandises, dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3.500 tonnes et de transport de personnes de plus de 15 places, doit être équipé d'un dispositif de contrôle et d'enregistrement de la vitesse. Cette mesure préventive a été instaurée pour réduire les accidents de la circulation. Il s'est avéré, également, que cette même loi demeure en instance depuis 2001, l'année de son élaboration. Aussi, le gouvernement devrait se pencher sur la question pour en définir les modalités de mise en application de ce dispositif de sécurité avant son entrée en vigueur, a-t-on souligné. Par ailleurs, il est prévu que cette opération concerne plus de 160.000 bus et près de 200.000 camions recensés à travers le territoire national. Toutefois, l'importation de cet outil n'a pas encore été entamée et l'achèvement de l'installation de ces appareils (chronotachygraphes), qu'on qualifie aussi de mouchard prendra pas moins de trois mois, a-t-on appris. De son côté, le directeur du Centre national de prévention routière et de sécurité, Hachemi Boutalbi, a affirmé que la réussite de cette opération requiert la formation d'un bon nombre de contrôleurs qualifiés. Ceci, a-t-il soutenu, sera favorable à un meilleurs suivi de ladite démarche. Sans quoi, a-t-il signalé, l'installation du mouchard à bord des véhicules concernés ne pourra pas avoir l'effet escompté. "Il faut assurer des formations spécialisées pour les agents de police afin qu'ils puissent interpréter facilement les données enregistrées et veiller à instaurer la discipline et la rigueur chez les conducteurs", a souligné Boutalbi. En effet, il est question d'équiper les véhicules du poids lourds et les bus de chronotachygraphes numériques dotés d'outils de décodage adaptés. Grâce au développement technologique, les nouvelles gammes de mouchards facilitent l'accès aux données précises sur la vitesse et le temps parcouru par les véhicules. Il est à rappeler, à ce propos, que durant les années 80, des chrono-tachygraphes analogiques étaient utilisés en Algérie. Des contrôles réguliers et permanents s'effectuaient à travers les grands axes routiers. Cette initiative avait réussi à dissuader les chauffeurs imprudents et à diminuer les risques d'accidents de la circulation. Enfin, il faut dire que plusieurs entreprises spécialisées ont déjà fait part de leur volonté d'alimenter le marché national de ces équipements. En attendant la décision finale du gouvernement sur les modalités d'application de la loi en question, plusieurs importateurs ont commencé à mettre en valeur la qualité de leurs produits et les prix appliqués. Des sources, proches du ministère du Transport, ont affirmé que la mise en vigueur des mesures de prévention routière relatives à la dotation des véhicules de transport de marchandise et des voyageurs de chrono tachygraphes n'est toujours pas à l'ordre du jour. Cette rectification vient en réponse à la fausse information relayée par certains médias nationaux, annonçant l'entrée en vigueur de ce dispositif à partir du mois en cours. En ce sens, il a été précisé, que cette nouvelle mesure attend d'être adoptée par le gouvernement avant sa mise en application. Ce texte de loi stipule que tout véhicule de transport de marchandises, dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3.500 tonnes et de transport de personnes de plus de 15 places, doit être équipé d'un dispositif de contrôle et d'enregistrement de la vitesse. Cette mesure préventive a été instaurée pour réduire les accidents de la circulation. Il s'est avéré, également, que cette même loi demeure en instance depuis 2001, l'année de son élaboration. Aussi, le gouvernement devrait se pencher sur la question pour en définir les modalités de mise en application de ce dispositif de sécurité avant son entrée en vigueur, a-t-on souligné. Par ailleurs, il est prévu que cette opération concerne plus de 160.000 bus et près de 200.000 camions recensés à travers le territoire national. Toutefois, l'importation de cet outil n'a pas encore été entamée et l'achèvement de l'installation de ces appareils (chronotachygraphes), qu'on qualifie aussi de mouchard prendra pas moins de trois mois, a-t-on appris. De son côté, le directeur du Centre national de prévention routière et de sécurité, Hachemi Boutalbi, a affirmé que la réussite de cette opération requiert la formation d'un bon nombre de contrôleurs qualifiés. Ceci, a-t-il soutenu, sera favorable à un meilleurs suivi de ladite démarche. Sans quoi, a-t-il signalé, l'installation du mouchard à bord des véhicules concernés ne pourra pas avoir l'effet escompté. "Il faut assurer des formations spécialisées pour les agents de police afin qu'ils puissent interpréter facilement les données enregistrées et veiller à instaurer la discipline et la rigueur chez les conducteurs", a souligné Boutalbi. En effet, il est question d'équiper les véhicules du poids lourds et les bus de chronotachygraphes numériques dotés d'outils de décodage adaptés. Grâce au développement technologique, les nouvelles gammes de mouchards facilitent l'accès aux données précises sur la vitesse et le temps parcouru par les véhicules. Il est à rappeler, à ce propos, que durant les années 80, des chrono-tachygraphes analogiques étaient utilisés en Algérie. Des contrôles réguliers et permanents s'effectuaient à travers les grands axes routiers. Cette initiative avait réussi à dissuader les chauffeurs imprudents et à diminuer les risques d'accidents de la circulation. Enfin, il faut dire que plusieurs entreprises spécialisées ont déjà fait part de leur volonté d'alimenter le marché national de ces équipements. En attendant la décision finale du gouvernement sur les modalités d'application de la loi en question, plusieurs importateurs ont commencé à mettre en valeur la qualité de leurs produits et les prix appliqués.