Des travailleurs et activistes en provenance des territoires sahraouis occupés sont revenus sur les "exactions et le comportement, discriminatoire à l'égard des travailleurs sahraouis, des autorités marocaines" qui, ont-ils révélé, "perçoivent en chaque activité sociale ou syndicale de ces derniers une action politique en faveur de la question sahraouie". Mohamed Lahcène Ould Brahim, jeune informaticien licencié de son travail depuis 2001 pour ses activités politiques a confié à l'APS que l'action syndicale et associative dans les territoires occupés était impossible. "Les autorités marocaines perçoivent en toute activité du genre une portée politique dans le sens de la revendication séparatiste et indépendantiste", a souligné ce jeune qui a exercé à Layoun occupée et Guelmim (sud du Maroc). "Les travailleurs sahraouis sont sujets au quotidien à moult pressions et mesures arbitraires les ciblant exclusivement, comme le licenciement, abusif pour leurs convictions politiques et leur attachement au droit de leur peuple à l'autodétermination". Les autorités marocaines, a-t-il ajouté, pratiquent "l'exil forcé" du Sahara occidental "pour vider le pays de ses potentialités nationales qu'elles remplacent par des travailleurs marocains qui se voient attribuer des encouragements matériels en contrepartie". Il a indiqué que "souvent les travailleurs sahraouis exercent sous les ordres d'un responsable marocain chargé de dresser des rapports sur leurs mouvements dans le lieu de travail". Des travailleurs et activistes en provenance des territoires sahraouis occupés sont revenus sur les "exactions et le comportement, discriminatoire à l'égard des travailleurs sahraouis, des autorités marocaines" qui, ont-ils révélé, "perçoivent en chaque activité sociale ou syndicale de ces derniers une action politique en faveur de la question sahraouie". Mohamed Lahcène Ould Brahim, jeune informaticien licencié de son travail depuis 2001 pour ses activités politiques a confié à l'APS que l'action syndicale et associative dans les territoires occupés était impossible. "Les autorités marocaines perçoivent en toute activité du genre une portée politique dans le sens de la revendication séparatiste et indépendantiste", a souligné ce jeune qui a exercé à Layoun occupée et Guelmim (sud du Maroc). "Les travailleurs sahraouis sont sujets au quotidien à moult pressions et mesures arbitraires les ciblant exclusivement, comme le licenciement, abusif pour leurs convictions politiques et leur attachement au droit de leur peuple à l'autodétermination". Les autorités marocaines, a-t-il ajouté, pratiquent "l'exil forcé" du Sahara occidental "pour vider le pays de ses potentialités nationales qu'elles remplacent par des travailleurs marocains qui se voient attribuer des encouragements matériels en contrepartie". Il a indiqué que "souvent les travailleurs sahraouis exercent sous les ordres d'un responsable marocain chargé de dresser des rapports sur leurs mouvements dans le lieu de travail".