Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a attiré vendredi l'attention sur l'impact du conflit en Syrie sur les mères et les enfants, en particulier les nouveau-nés. Lors d'un point de presse, une porte-parole de l'Unicef, Marixie Mercado, a indiqué que, selon des responsables de santé basés en Syrie, la poursuite des violences continue de perturber la prise en charge des enfants dans les hôpitaux, en particulier les nourrissons, qui souffrent de plus en plus de la pénurie d'incubateurs. A l'hôpital public de Damas, «de nombreux bébés seraient morts en raison du manque d'incubateurs», a précisé Mme Mercado. Le ministère syrien de la santé a indiqué à l'Unicef que 400 incubateurs faisaient défaut à travers le pays, a-t-elle poursuivi, ajoutant que le surpeuplement de l'hôpital public touchait aussi le service pédiatrique, où l'on compte 200 enfants malades. Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a attiré vendredi l'attention sur l'impact du conflit en Syrie sur les mères et les enfants, en particulier les nouveau-nés. Lors d'un point de presse, une porte-parole de l'Unicef, Marixie Mercado, a indiqué que, selon des responsables de santé basés en Syrie, la poursuite des violences continue de perturber la prise en charge des enfants dans les hôpitaux, en particulier les nourrissons, qui souffrent de plus en plus de la pénurie d'incubateurs. A l'hôpital public de Damas, «de nombreux bébés seraient morts en raison du manque d'incubateurs», a précisé Mme Mercado. Le ministère syrien de la santé a indiqué à l'Unicef que 400 incubateurs faisaient défaut à travers le pays, a-t-elle poursuivi, ajoutant que le surpeuplement de l'hôpital public touchait aussi le service pédiatrique, où l'on compte 200 enfants malades.