Les pressions arabes et occidentales ont eu raison des réticences du Conseil national syrien, dimanche à Doha. Le plan prévoit la constitution d'un gouvernement transitoire Les pressions arabes et occidentales ont eu raison des réticences du Conseil national syrien, dimanche à Doha. Le plan prévoit la constitution d'un gouvernement transitoire Les formations de l'opposition syrienne réunies à Doha sont parvenues, dimanche à l'aube, à un accord de principe pour constituer une coalition, après d'intenses pressions arabes et occidentales sur le Conseil national syrien (CNS) qui bloquait cet accord. «Nous nous sommes entendus sur les points essentiels de la formation de la Coalition nationale syrienne pour les forces de l'opposition et de la révolution, et nous poursuivrons dimanche les discussions sur les détails», a déclaré l'opposante Souheïr Atassi à l'issue d'une réunion marathon de douze heures. «Nous étions sur le point de signer (l'accord) mais nous avons préféré nous donner le temps d'étudier les statuts internes à la demande de certaines parties», a, pour sa part, déclaré l'ancien député Riad Seif, rapporte l'Agence française de presse. Les participants doivent se retrouver dimanche à 8h et une cérémonie officielle de signature sera organisée s'ils finalisent l'accord. C'est sur la base d'une initiative de M. Seïf visant à fédérer l'opposition, initialement rejetée par le CNS, que les discussions avaient été entamées jeudi à Doha. Le CNS, principale coalition de l'opposition, bloquait l'adoption de ce projet qui vise à fédérer l'opposition en une instance exécutive susceptible de traiter avec la communauté internationale et de canaliser les aides, de crainte de se voir marginalisé. Mais il a été soumis samedi à d'intenses pressions du Qatar, des Emirats Arabes Unis et des Etats-Unis. Des responsables du CNS ont eu des concertations en coulisses avec des responsables qataris, émiratis, turcs et américains, avant l'ouverture de la réunion de Doha, selon des membres de la coalition. Le chef de la diplomatie émiratie, Abdallah ben Zayed Al Nahyane, «a assuré que (...) l'appui international serait plus fort si nous parvenons à unifier l'opposition». «Nous avons été soumis à d'énormes pressions», a reconnu, pour sa part, Samir Nachar, membre dirigeant du CNS. Les formations de l'opposition syrienne réunies à Doha sont parvenues, dimanche à l'aube, à un accord de principe pour constituer une coalition, après d'intenses pressions arabes et occidentales sur le Conseil national syrien (CNS) qui bloquait cet accord. «Nous nous sommes entendus sur les points essentiels de la formation de la Coalition nationale syrienne pour les forces de l'opposition et de la révolution, et nous poursuivrons dimanche les discussions sur les détails», a déclaré l'opposante Souheïr Atassi à l'issue d'une réunion marathon de douze heures. «Nous étions sur le point de signer (l'accord) mais nous avons préféré nous donner le temps d'étudier les statuts internes à la demande de certaines parties», a, pour sa part, déclaré l'ancien député Riad Seif, rapporte l'Agence française de presse. Les participants doivent se retrouver dimanche à 8h et une cérémonie officielle de signature sera organisée s'ils finalisent l'accord. C'est sur la base d'une initiative de M. Seïf visant à fédérer l'opposition, initialement rejetée par le CNS, que les discussions avaient été entamées jeudi à Doha. Le CNS, principale coalition de l'opposition, bloquait l'adoption de ce projet qui vise à fédérer l'opposition en une instance exécutive susceptible de traiter avec la communauté internationale et de canaliser les aides, de crainte de se voir marginalisé. Mais il a été soumis samedi à d'intenses pressions du Qatar, des Emirats Arabes Unis et des Etats-Unis. Des responsables du CNS ont eu des concertations en coulisses avec des responsables qataris, émiratis, turcs et américains, avant l'ouverture de la réunion de Doha, selon des membres de la coalition. Le chef de la diplomatie émiratie, Abdallah ben Zayed Al Nahyane, «a assuré que (...) l'appui international serait plus fort si nous parvenons à unifier l'opposition». «Nous avons été soumis à d'énormes pressions», a reconnu, pour sa part, Samir Nachar, membre dirigeant du CNS.