C'est à Doha que s'est ouverte hier lundi la 18ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques avec pour but de faire avancer les discussions sur la lutte contre le réchauffement et les objectifs de limitation et de réduction des gaz à effet de serre. Les travaux de cette conférence internationale se poursuivront jusqu'au 7 décembre avec la participation de quelque 190 pays, dont l'Algérie. De par sa capacité nationale, en tant que partie à la Convention sur les changements climatiques, la délégation algérienne prend part à cette conférence en tant que président du groupe des 77 et la Chine. Les participants examineront plusieurs questions "déterminantes", notamment, celle liée au sort du protocole de Kyoto, dont la première période d'engagement arrivera à expiration le 31 décembre prochain. Les négociations sur un nouvel instrument juridique contraignant sur le climat à l'horizon 2015, devant entrer en vigueur en 2020, se poursuivront également à Doha. Les négociateurs seront rejoints le 4 décembre par plus de 100 ministres censés conclure un accord, nouvelle étape dans le difficile processus de négociations onusiennes lancé en 1995. La responsable climat de l'ONU, Christiana Figueres, avait souligné la nécessité d"'apporter une réponse plus rapide au changement climatique Le protocole de Kyoto, signé en 1997 et entré en vigueur en 2005, est le seul outil juridique imposant des objectifs de réduction des GES (Gazs à effet de serre), à l'origine du réchauffement climatique, à près d'une quarantaine de pays industrialisés, à l'exception des Etats-Unis qui ne l'ont jamais ratifié. C'est à Doha que s'est ouverte hier lundi la 18ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques avec pour but de faire avancer les discussions sur la lutte contre le réchauffement et les objectifs de limitation et de réduction des gaz à effet de serre. Les travaux de cette conférence internationale se poursuivront jusqu'au 7 décembre avec la participation de quelque 190 pays, dont l'Algérie. De par sa capacité nationale, en tant que partie à la Convention sur les changements climatiques, la délégation algérienne prend part à cette conférence en tant que président du groupe des 77 et la Chine. Les participants examineront plusieurs questions "déterminantes", notamment, celle liée au sort du protocole de Kyoto, dont la première période d'engagement arrivera à expiration le 31 décembre prochain. Les négociations sur un nouvel instrument juridique contraignant sur le climat à l'horizon 2015, devant entrer en vigueur en 2020, se poursuivront également à Doha. Les négociateurs seront rejoints le 4 décembre par plus de 100 ministres censés conclure un accord, nouvelle étape dans le difficile processus de négociations onusiennes lancé en 1995. La responsable climat de l'ONU, Christiana Figueres, avait souligné la nécessité d"'apporter une réponse plus rapide au changement climatique Le protocole de Kyoto, signé en 1997 et entré en vigueur en 2005, est le seul outil juridique imposant des objectifs de réduction des GES (Gazs à effet de serre), à l'origine du réchauffement climatique, à près d'une quarantaine de pays industrialisés, à l'exception des Etats-Unis qui ne l'ont jamais ratifié.