Est-ce la fin définitive du calvaire dû à l'indisponibilité d'eau potable que vit depuis des décennies la commune de Boudjima, située à 22 kilomètres au nord-est du chef-ieu de la wilaya de Tizi-Ouzou ? Tout porte à croire que la réponse est oui car cette fois-ci, la promesse n'est pas venue de n'importe quel responsable. C'est Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou en personne qui a fait cette promesse à la population de la commune, l'une des plus affectées par le problème épineux de l'alimentation en eau potable. Est-ce la fin définitive du calvaire dû à l'indisponibilité d'eau potable que vit depuis des décennies la commune de Boudjima, située à 22 kilomètres au nord-est du chef-ieu de la wilaya de Tizi-Ouzou ? Tout porte à croire que la réponse est oui car cette fois-ci, la promesse n'est pas venue de n'importe quel responsable. C'est Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou en personne qui a fait cette promesse à la population de la commune, l'une des plus affectées par le problème épineux de l'alimentation en eau potable. Le wali s'est engagé non pas à partir de son bureau au siège de la wilaya de Tizi-Ouzou mais c'est sur place, à Boudjima même lors d'une visite officielle effectuée récemment et qui a permis au premier responsable de la wilaya de découvrir la vérité sur les conditions de vie de la population de Boudjima qui sont à plus de 20.000 âmes. Abdelkader Bouazghi était accompagné lors de sa visite à Boudjima, de Mohcene Bellabas, président de l'assemblée populaire wilayale, du directeur de wilaya de l'hydraulique, du directeur régional de l'Algérienne des eaux ainsi que du directeur d'unité de l'ADE. La visite sur terrain a permis au premier magistrat de la wilaya de constater de visu l'état d'avancement des travaux pour la réalisation de la station d'alimentation en eau potable de Boudjima (AEP). La visite d'inspection a, bien entendu, eu lieu en présence des représentants des entretprises désignées pour la réalisation de ce projet. Une station qui, faut-il le rappeler, relève du projet d'alimentation en eau potable du flanc nord de la wilaya de Tizi-Ouzou à partir du barrage de Taksebt. Selon le responsable de la communication au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou, ledit projet comporte trente-trois kilomètres de canalisation pour la partie refoulement et soixante-deux kilomètres pour la partie en gravitaire. L'enveloppe financière qui lui est affectée est de l'ordre de 3,5 milliards de dinards. La mise en service en mode d'essai est prévue pour le 15 décembre prochain alors que son lancement offciel aura lieu le 27 du même mois, selon les directives d'Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou qui a été ferme dans ses instructions notamment à l'égard des représentants des entreprises en charge du projet desquelles il a exigé le respect des délais impartis afin de permettre à la population de la wilaya de Tizi-Ouzou de sortir définitivement de ce véritable enfer. Toujours selon notre source au niveau de la wilaya, le même projet, à savoir le futur réseau alimentera huit communes au total. Il s'agit de Boudjima, Tigzirt, Iflissen, Aghrib, Azeffoun, Akerou, Zekri, Aït Chafai, totalisant ainsi 149 villages pour une population de 80.000 habitants avec une capacité qui est de 21.000 m3/jour. Il faut souligner que ce projet est dimensionné pour une population de 160.000 habitants à l'horizon 2035. Il y a lieu de rappeler que la commune de Boudjima est une région qui est privée d'eau aussi bien en été qu'en hiver. D'ailleurs, actuellement, en plein automne, l'eau ne coule des robinets qu'une fois par hasard et pour des durées n'exédant que rarement les deux heures de desserte. Aucun village de cette commune n'est épargné par cette crise d'eau : Isseradjen, Afir, Tarihant, Yafadjène, Yaskrene, Agouni Oufekous, Imsalithen, Tikaatine sont tous concernés par ce problème crucial. Si la promesse du wali venait à être tenue, c'est toute une population qui aura droit à un changement de son rythme de vie car l'eau coulera désormais en pemanence dans les foyers. Une chose qui semble encore être une utopie pour les citoyens de cette commune pour laquelle l'eau est la chose la plus rare qui soit, du moins jusqu'à maintenant. Le wali s'est engagé non pas à partir de son bureau au siège de la wilaya de Tizi-Ouzou mais c'est sur place, à Boudjima même lors d'une visite officielle effectuée récemment et qui a permis au premier responsable de la wilaya de découvrir la vérité sur les conditions de vie de la population de Boudjima qui sont à plus de 20.000 âmes. Abdelkader Bouazghi était accompagné lors de sa visite à Boudjima, de Mohcene Bellabas, président de l'assemblée populaire wilayale, du directeur de wilaya de l'hydraulique, du directeur régional de l'Algérienne des eaux ainsi que du directeur d'unité de l'ADE. La visite sur terrain a permis au premier magistrat de la wilaya de constater de visu l'état d'avancement des travaux pour la réalisation de la station d'alimentation en eau potable de Boudjima (AEP). La visite d'inspection a, bien entendu, eu lieu en présence des représentants des entretprises désignées pour la réalisation de ce projet. Une station qui, faut-il le rappeler, relève du projet d'alimentation en eau potable du flanc nord de la wilaya de Tizi-Ouzou à partir du barrage de Taksebt. Selon le responsable de la communication au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou, ledit projet comporte trente-trois kilomètres de canalisation pour la partie refoulement et soixante-deux kilomètres pour la partie en gravitaire. L'enveloppe financière qui lui est affectée est de l'ordre de 3,5 milliards de dinards. La mise en service en mode d'essai est prévue pour le 15 décembre prochain alors que son lancement offciel aura lieu le 27 du même mois, selon les directives d'Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou qui a été ferme dans ses instructions notamment à l'égard des représentants des entreprises en charge du projet desquelles il a exigé le respect des délais impartis afin de permettre à la population de la wilaya de Tizi-Ouzou de sortir définitivement de ce véritable enfer. Toujours selon notre source au niveau de la wilaya, le même projet, à savoir le futur réseau alimentera huit communes au total. Il s'agit de Boudjima, Tigzirt, Iflissen, Aghrib, Azeffoun, Akerou, Zekri, Aït Chafai, totalisant ainsi 149 villages pour une population de 80.000 habitants avec une capacité qui est de 21.000 m3/jour. Il faut souligner que ce projet est dimensionné pour une population de 160.000 habitants à l'horizon 2035. Il y a lieu de rappeler que la commune de Boudjima est une région qui est privée d'eau aussi bien en été qu'en hiver. D'ailleurs, actuellement, en plein automne, l'eau ne coule des robinets qu'une fois par hasard et pour des durées n'exédant que rarement les deux heures de desserte. Aucun village de cette commune n'est épargné par cette crise d'eau : Isseradjen, Afir, Tarihant, Yafadjène, Yaskrene, Agouni Oufekous, Imsalithen, Tikaatine sont tous concernés par ce problème crucial. Si la promesse du wali venait à être tenue, c'est toute une population qui aura droit à un changement de son rythme de vie car l'eau coulera désormais en pemanence dans les foyers. Une chose qui semble encore être une utopie pour les citoyens de cette commune pour laquelle l'eau est la chose la plus rare qui soit, du moins jusqu'à maintenant.