A l'occasion du cinquantième anniversaire de la création du journal Echaab, Mohamed Saïd, ministre de la Communication, a estimé que le moment est venu de "combler les lacunes du passé et de faire prévaloir le professionnalisme et la rigueur". S'adressant aux médias publics, il a appelé ces derniers à s'imposer par le renforcement des compétences, la rigueur, le sérieux et le professionnalisme. A l'occasion du cinquantième anniversaire de la création du journal Echaab, Mohamed Saïd, ministre de la Communication, a estimé que le moment est venu de "combler les lacunes du passé et de faire prévaloir le professionnalisme et la rigueur". S'adressant aux médias publics, il a appelé ces derniers à s'imposer par le renforcement des compétences, la rigueur, le sérieux et le professionnalisme. Il s'agit, notamment pour le responsable de l'organe de presse, de "donner le bon exemple à travers la gestion rigoureuse, veiller à l'équité entre les employés et les journalistes et faire preuve de sérieux et de rigueur", a expliqué Mohamed Saïd. Pour le ministre, la réussite de l'organe de presse exige "l'encouragement des compétences et la promotion du professionnalisme et de l'esprit d'initiative chez les journalistes". Evoquant le tirage des journaux, Mohamed Said a indiqué qu'entre 2.300.000 et 3.000.000 exemplaires sont tirés, insistant sur le développement des moyens de distribution. Dans la presse écrite publique, le ministre de la Communication a relevé le recul du nombre d'exemplaires tirés. 120.000 exemplaires sont tirés ajourd'hui contre plus de 600.000 exemplaires avant le pluralisme médiatique, a-t-il relevé, soulignant la nécessité de se diriger vers le professionnalisme et de s'adapter à la réalité actuelle en vue d'assurer la prise en charge objective des préoccupations des citoyens. Au jour d'aujourd'hui, le secteur de la presse écrite compte 127 titres nonobstant les demandes d'agrément pour de nouveaux titres qui continuent d'affluer. Il a précisé que les agréments seront accordés aux titres qui réunissent les conditions exigées. D'autre part, il a invité les journaux à régler certains problèmes afin d'assurer leur pérénité tout en renforçant la formation. Mohamed Saïd a, dans ce contexte, rappelé qu'il avait été décidé lors de la dernière réunion du gouvernement de réactiver le fonds spécial de soutien à la presse en affectant ses fonds à la formation des journalistes des médias publics et privés. Le ministre de la Communication a aussi appelé les organes de presse à s'engager à consacrer 2% de leurs bénéfices à la formation des journalistes, comme le stipule la dernière loi organique sur l'information. Il s'agit, notamment pour le responsable de l'organe de presse, de "donner le bon exemple à travers la gestion rigoureuse, veiller à l'équité entre les employés et les journalistes et faire preuve de sérieux et de rigueur", a expliqué Mohamed Saïd. Pour le ministre, la réussite de l'organe de presse exige "l'encouragement des compétences et la promotion du professionnalisme et de l'esprit d'initiative chez les journalistes". Evoquant le tirage des journaux, Mohamed Said a indiqué qu'entre 2.300.000 et 3.000.000 exemplaires sont tirés, insistant sur le développement des moyens de distribution. Dans la presse écrite publique, le ministre de la Communication a relevé le recul du nombre d'exemplaires tirés. 120.000 exemplaires sont tirés ajourd'hui contre plus de 600.000 exemplaires avant le pluralisme médiatique, a-t-il relevé, soulignant la nécessité de se diriger vers le professionnalisme et de s'adapter à la réalité actuelle en vue d'assurer la prise en charge objective des préoccupations des citoyens. Au jour d'aujourd'hui, le secteur de la presse écrite compte 127 titres nonobstant les demandes d'agrément pour de nouveaux titres qui continuent d'affluer. Il a précisé que les agréments seront accordés aux titres qui réunissent les conditions exigées. D'autre part, il a invité les journaux à régler certains problèmes afin d'assurer leur pérénité tout en renforçant la formation. Mohamed Saïd a, dans ce contexte, rappelé qu'il avait été décidé lors de la dernière réunion du gouvernement de réactiver le fonds spécial de soutien à la presse en affectant ses fonds à la formation des journalistes des médias publics et privés. Le ministre de la Communication a aussi appelé les organes de presse à s'engager à consacrer 2% de leurs bénéfices à la formation des journalistes, comme le stipule la dernière loi organique sur l'information.