Rien ne va plus à nos frontières. La situation se complique de jour en jour et l'activité des groupes terroristes, les cartels de la drogue et les réseaux de trafic d'armes se sont multipliés. Les risques sont majeurs et divers, mais l'objet est le même, à savoir cibler l'Algérie. C'est pour cette raison que les autorités algériennes ont pris la décision de carrément «militariser» les frontières, devenues sources d'insécurité et d'instabilité, apprend-on de sources sécuritaires. Les autorités algériennes ont décidé de renforcer le dispositif sécuritaire mis en place sur les frontières voilà déjà des mois. Le but de ce renforcement des troupes militaires est de mieux couvrir les milliers de kilomètres de frontières face aux menaces croissantes venues des pays voisins. En effet, selon les mêmes sources, un nouveau détachement militaire a été installé au niveau des frontières sud et sud-est du pays, dont les effectifs n'ont pas été communiqués. On apprend même que ce nouveau détachement militaire sera renforcé dans les jours qui viennent, après que la Libye avait annoncé, avant-hier, la fermeture de ses frontières avec l'Algérie et trois autres pays africains et ce, pour des raisons sécuritaires. D'ailleurs, la visite effectuée récemment par le Premier ministre libyen à Alger tournée autour de ce sujet, soit la fermeture des frontières entre la Libye et l'Algérie. Mieux, une réunion devait avoir lieu à Tripoli, capitale de la Libye, d'ici la fin du mois de décembre, entre les ministres des Affaires étrangères des pays voisins de la Libye, à laquelle le ministre algérien, Mourad Medelci prendra part, ajoutent les mêmes sources. En attendant ce qui va être décidé lors de cette réunion, l'Algérie a décidé de fermer, à son tour, ses frontières, en considérant le tracé frontalier algéro-libyen comme zone militaire, toujours selon les sources que nous avons contactées. Cette énième décision prise par l'Etat algérien vient au lendemain d'une décision prise, cette fois du côté des frontières avec le Mali où les troubles sécuritaires et les menaces des islamistes armés se sont multipliés. La décision de l'Algérie de «militariser» ses frontières avec certains de ses voisins est faite, aussi, selon un «agenda» sécuritaire qui menace réellement la stabilité du territoire algérien. On parle ici de l'éventuelle intervention militaire étrangère visant le nord du Mali, dont les répercussions sur les plans sécuritaire, politique et économique seront lourdes à supporter par Alger. C'est la raison pour laquelle les autorités algériennes ont vu important de passer au crible fin les frontières, en optant pour la fermeture de ces bandes frontalières et en les déclarant zones militaires. L'année 2012, année de tous les dangers L'année 2012 tire à sa fin en emportant avec elle, dans quelques jours, son lot de menaces ayant ciblé les intérêts algériens. Allant des menaces récurrentes des groupes armés, tels que le Mujao et Aqmi, qui diffusent, souvent, des communiqués et vidéos dans lesquels ils enchaînent leurs machines de menaces sur l'Algérie, arrivant aux autres chantages des réseaux de trafic de drogue, l'Algérie aura connu une année pas comme les autres. Trois attaques terroristes, avec des kamikazes conduisant des véhicules bourrés de TNT, ont été perpétrées durant les onze mois de l'année en cours sur le sol algérien. En face, des tentatives d'acheminement des armes de guerre ont été recensées durant la même période, d'où l'œuvre est portée sur les réseaux de trafic d'armes qui prennent la cible le pays. Devant ces menaces, il faut ajouter celle des cartels de la drogue qui, à leur tour, ont inondé l'Algérie de plus de 140 tonnes de cannabis depuis janvier passé. Les menaces se sont multipliées et les conséquences sont grandioses sur la sécurité du pays. Elle en est davantage avec les troubles sécuritaires vécus dans les pays voisins, entre autres, la Tunisie, la Libye et le Mali. Des pays instables en sécurité, en politique et sur le plan social dont les conséquences et les répercussions se sont retournées sur l'Algérie. Pour venir à bout de cette situation prévisible, faut-il le souligner, les autorités algériennes ont décidé de «militariser» les frontières Sud et Sud-Est. Des frontières explosives qui, désormais, sont sous le contrôle des forces spéciales appartenant à l'Armée nationale populaire (ANP) appuyé par les gardes-frontières (GGF) relevant de la Gendarmerie nationale. Des zones classées rouge par l'Etat algérien d'où un renforcement de taille du dispositif sécuritaire, sous forme d'une forte présence et un quadrillage ultra-musclé des troupes militaires est entré en vigueur depuis quelques semaines, apprend-t-on de sources sécuritaires. Rien ne va plus à nos frontières. La situation se complique de jour en jour et l'activité des groupes terroristes, les cartels de la drogue et les réseaux de trafic d'armes se sont multipliés. Les risques sont majeurs et divers, mais l'objet est le même, à savoir cibler l'Algérie. C'est pour cette raison que les autorités algériennes ont pris la décision de carrément «militariser» les frontières, devenues sources d'insécurité et d'instabilité, apprend-on de sources sécuritaires. Les autorités algériennes ont décidé de renforcer le dispositif sécuritaire mis en place sur les frontières voilà déjà des mois. Le but de ce renforcement des troupes militaires est de mieux couvrir les milliers de kilomètres de frontières face aux menaces croissantes venues des pays voisins. En effet, selon les mêmes sources, un nouveau détachement militaire a été installé au niveau des frontières sud et sud-est du pays, dont les effectifs n'ont pas été communiqués. On apprend même que ce nouveau détachement militaire sera renforcé dans les jours qui viennent, après que la Libye avait annoncé, avant-hier, la fermeture de ses frontières avec l'Algérie et trois autres pays africains et ce, pour des raisons sécuritaires. D'ailleurs, la visite effectuée récemment par le Premier ministre libyen à Alger tournée autour de ce sujet, soit la fermeture des frontières entre la Libye et l'Algérie. Mieux, une réunion devait avoir lieu à Tripoli, capitale de la Libye, d'ici la fin du mois de décembre, entre les ministres des Affaires étrangères des pays voisins de la Libye, à laquelle le ministre algérien, Mourad Medelci prendra part, ajoutent les mêmes sources. En attendant ce qui va être décidé lors de cette réunion, l'Algérie a décidé de fermer, à son tour, ses frontières, en considérant le tracé frontalier algéro-libyen comme zone militaire, toujours selon les sources que nous avons contactées. Cette énième décision prise par l'Etat algérien vient au lendemain d'une décision prise, cette fois du côté des frontières avec le Mali où les troubles sécuritaires et les menaces des islamistes armés se sont multipliés. La décision de l'Algérie de «militariser» ses frontières avec certains de ses voisins est faite, aussi, selon un «agenda» sécuritaire qui menace réellement la stabilité du territoire algérien. On parle ici de l'éventuelle intervention militaire étrangère visant le nord du Mali, dont les répercussions sur les plans sécuritaire, politique et économique seront lourdes à supporter par Alger. C'est la raison pour laquelle les autorités algériennes ont vu important de passer au crible fin les frontières, en optant pour la fermeture de ces bandes frontalières et en les déclarant zones militaires. L'année 2012, année de tous les dangers L'année 2012 tire à sa fin en emportant avec elle, dans quelques jours, son lot de menaces ayant ciblé les intérêts algériens. Allant des menaces récurrentes des groupes armés, tels que le Mujao et Aqmi, qui diffusent, souvent, des communiqués et vidéos dans lesquels ils enchaînent leurs machines de menaces sur l'Algérie, arrivant aux autres chantages des réseaux de trafic de drogue, l'Algérie aura connu une année pas comme les autres. Trois attaques terroristes, avec des kamikazes conduisant des véhicules bourrés de TNT, ont été perpétrées durant les onze mois de l'année en cours sur le sol algérien. En face, des tentatives d'acheminement des armes de guerre ont été recensées durant la même période, d'où l'œuvre est portée sur les réseaux de trafic d'armes qui prennent la cible le pays. Devant ces menaces, il faut ajouter celle des cartels de la drogue qui, à leur tour, ont inondé l'Algérie de plus de 140 tonnes de cannabis depuis janvier passé. Les menaces se sont multipliées et les conséquences sont grandioses sur la sécurité du pays. Elle en est davantage avec les troubles sécuritaires vécus dans les pays voisins, entre autres, la Tunisie, la Libye et le Mali. Des pays instables en sécurité, en politique et sur le plan social dont les conséquences et les répercussions se sont retournées sur l'Algérie. Pour venir à bout de cette situation prévisible, faut-il le souligner, les autorités algériennes ont décidé de «militariser» les frontières Sud et Sud-Est. Des frontières explosives qui, désormais, sont sous le contrôle des forces spéciales appartenant à l'Armée nationale populaire (ANP) appuyé par les gardes-frontières (GGF) relevant de la Gendarmerie nationale. Des zones classées rouge par l'Etat algérien d'où un renforcement de taille du dispositif sécuritaire, sous forme d'une forte présence et un quadrillage ultra-musclé des troupes militaires est entré en vigueur depuis quelques semaines, apprend-t-on de sources sécuritaires.