Parfums d'Alger, la toute dernière œuvre du cinéaste Rachid Benhadj, a été lundi à l'affiche de la salle Maghreb d'Oran, marquant ainsi l'entrée en la matière de la participation algérienne aux compétitions des longs-métrages dans le cadre de la 6e édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa). Parfums d'Alger, la toute dernière œuvre du cinéaste Rachid Benhadj, a été lundi à l'affiche de la salle Maghreb d'Oran, marquant ainsi l'entrée en la matière de la participation algérienne aux compétitions des longs-métrages dans le cadre de la 6e édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa). Selon le synopsis, cette fiction relate l'histoire d'une femme, Karima, photographe célèbre vivant à Paris depuis plusieurs années, qui se voit un jour obligée de rentrer à Alger pour se rendre au chevet de son père mourant. Ce retour forcé va réveiller en elle les cicatrices et les fantômes d'un passé refoulé, surtout lorsqu'elle apprend que son frère s'est affilié à un groupe terroriste armé. Parfums d'Alger, dont le scénario est également signé Rachid Benhadj, a été récompensé d'une mention spéciale du prix Don Quichotte de la Fédération internationale des ciné-clubs (Ficc) lors de la 24e édition des Journées cinématographiques de Carthage (Tunisie), tenues en novembre dernier. Produit par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et Net Diffusion, ce film constitue le septième long-métrage du cinéaste algérien qui réalisa auparavant Les Agresseurs (1979), Louss, rose des sables (1989), Touchia, cantique des femmes d'Alger (1993), L'Arbre des destins suspendus (1997), Mirka (2000) et Le pain nu (2005) adapté du célèbre roman autobiographique de Mohamed Choukri (1935-2003). Une pléiade d'acteurs de renom, algériens et étrangers, sont distribués dans Parfums d'Alger, à l'instar de l'Italienne Monica Guerritore qui prête ses traits au personnage principal aux côtés de Adel Djafri, Chafia Boudraâ, Sid Ahmed Agoumi, Rym Takoucht, M'hamed Benguettaf, Ahmed Benaïssa, Luca Lazzareschi, Youcef Meziani et Adila Bendimered. Né à Alger, Rachid Benhadj est diplômé en architecture. Après avoir travaillé à la Télévision algérienne, il s'installe à Rome où il réalise documentaires et courts-métrages et enseigne à l'école de cinéma. Il est également artiste-peintre. Parfums d'Alger est le quatrième film à être visionné depuis le début de cette compétition qui a déjà permis au public et au jury du festival de découvrir La voile et la tempête, de Ghassan Shmeit (Syrie), 33 jours de Jamal Shoorje (Liban) et Chawq (l'envie) de Khaled El Haggar (Egypte). Les projections des longs-métrages se poursuivront mardi avec deux nouvelles affiches intitulées Lamma choftek, de Anne Marie Jacir (Palestine) et La 5e corde, de Salma Bergach (Maroc). La participation algérienne dans cette même catégorie est également représentée par un autre film, Yemma de Djamila Sahraoui, qui sera visionné aujourd'hui. Selon le synopsis, cette fiction relate l'histoire d'une femme, Karima, photographe célèbre vivant à Paris depuis plusieurs années, qui se voit un jour obligée de rentrer à Alger pour se rendre au chevet de son père mourant. Ce retour forcé va réveiller en elle les cicatrices et les fantômes d'un passé refoulé, surtout lorsqu'elle apprend que son frère s'est affilié à un groupe terroriste armé. Parfums d'Alger, dont le scénario est également signé Rachid Benhadj, a été récompensé d'une mention spéciale du prix Don Quichotte de la Fédération internationale des ciné-clubs (Ficc) lors de la 24e édition des Journées cinématographiques de Carthage (Tunisie), tenues en novembre dernier. Produit par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et Net Diffusion, ce film constitue le septième long-métrage du cinéaste algérien qui réalisa auparavant Les Agresseurs (1979), Louss, rose des sables (1989), Touchia, cantique des femmes d'Alger (1993), L'Arbre des destins suspendus (1997), Mirka (2000) et Le pain nu (2005) adapté du célèbre roman autobiographique de Mohamed Choukri (1935-2003). Une pléiade d'acteurs de renom, algériens et étrangers, sont distribués dans Parfums d'Alger, à l'instar de l'Italienne Monica Guerritore qui prête ses traits au personnage principal aux côtés de Adel Djafri, Chafia Boudraâ, Sid Ahmed Agoumi, Rym Takoucht, M'hamed Benguettaf, Ahmed Benaïssa, Luca Lazzareschi, Youcef Meziani et Adila Bendimered. Né à Alger, Rachid Benhadj est diplômé en architecture. Après avoir travaillé à la Télévision algérienne, il s'installe à Rome où il réalise documentaires et courts-métrages et enseigne à l'école de cinéma. Il est également artiste-peintre. Parfums d'Alger est le quatrième film à être visionné depuis le début de cette compétition qui a déjà permis au public et au jury du festival de découvrir La voile et la tempête, de Ghassan Shmeit (Syrie), 33 jours de Jamal Shoorje (Liban) et Chawq (l'envie) de Khaled El Haggar (Egypte). Les projections des longs-métrages se poursuivront mardi avec deux nouvelles affiches intitulées Lamma choftek, de Anne Marie Jacir (Palestine) et La 5e corde, de Salma Bergach (Maroc). La participation algérienne dans cette même catégorie est également représentée par un autre film, Yemma de Djamila Sahraoui, qui sera visionné aujourd'hui.