Le moudjahid, Rachid Mazouni, né le 2 février 1933 à Alger est décédé, mercredi dernier des suites d'une longue maladie. Un ancien officier de l'Armée de libération nationale (ALN) vient de nous quitter. Il a rejoint sa dernière demeure. De nombreux compagnons d'armes étaient présents lors de ses funérailles. « C'était un grand homme. Il a sacrifié sa vie pour son pays », témoigne son neveu, lors de la levée du corps en son domicile. Le proche parent du défunt rend hommage à celui qui fut pour lui « un exemple » dans la vie et qui a tout donné à sa chère patrie. L'ex-baroudeur de la glorieuse ALN, faisait partie du redoutable commando Ali Khodja , une katiba de l'ALN au parcours glorieux et prestigieux qui a infligé de sévères défaites aux troupes coloniales françaises tout au long des années de braise de la lutte de Libération nationale. Il a opéré pendant longtemps au niveau de la zone 1 de Palestro, dans la Wilaya IV historique. Le défunt a notamment eu pour compagnons d'armes, Ould El Hocine Mohamed Chérif, Abdelmoula Mohamed et Mustapha Blidi. Pour le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine qui a été l'un de ses compagnons durant les années de feu et de sang, le regretté Rachid Mazouni est « l'image de l'homme juste ». Il était beaucoup aimé par sa simplicité, par le sens de sa bravoure du temps de la lutte armée contre la soldatesque française. Il était également « très généreux », témoigne encore l'ancien baroudeur Ould El Hocine, très affecté par cette disparition. L'enterrement du regretté Rachid Mazouni a eu lieu le même jour au cimetière de Sidi Yahia après la prière d'el-Asr. Le disparu a eu à occuper de hautes fonctions dans le secteur de la santé. Il a été directeur de l'hôpital de Birtraria, puis de l'hôpital psychiatrique de Chéraga. Le moudjahid, Rachid Mazouni, né le 2 février 1933 à Alger est décédé, mercredi dernier des suites d'une longue maladie. Un ancien officier de l'Armée de libération nationale (ALN) vient de nous quitter. Il a rejoint sa dernière demeure. De nombreux compagnons d'armes étaient présents lors de ses funérailles. « C'était un grand homme. Il a sacrifié sa vie pour son pays », témoigne son neveu, lors de la levée du corps en son domicile. Le proche parent du défunt rend hommage à celui qui fut pour lui « un exemple » dans la vie et qui a tout donné à sa chère patrie. L'ex-baroudeur de la glorieuse ALN, faisait partie du redoutable commando Ali Khodja , une katiba de l'ALN au parcours glorieux et prestigieux qui a infligé de sévères défaites aux troupes coloniales françaises tout au long des années de braise de la lutte de Libération nationale. Il a opéré pendant longtemps au niveau de la zone 1 de Palestro, dans la Wilaya IV historique. Le défunt a notamment eu pour compagnons d'armes, Ould El Hocine Mohamed Chérif, Abdelmoula Mohamed et Mustapha Blidi. Pour le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine qui a été l'un de ses compagnons durant les années de feu et de sang, le regretté Rachid Mazouni est « l'image de l'homme juste ». Il était beaucoup aimé par sa simplicité, par le sens de sa bravoure du temps de la lutte armée contre la soldatesque française. Il était également « très généreux », témoigne encore l'ancien baroudeur Ould El Hocine, très affecté par cette disparition. L'enterrement du regretté Rachid Mazouni a eu lieu le même jour au cimetière de Sidi Yahia après la prière d'el-Asr. Le disparu a eu à occuper de hautes fonctions dans le secteur de la santé. Il a été directeur de l'hôpital de Birtraria, puis de l'hôpital psychiatrique de Chéraga.