La communauté internationale a condamné, hier, le nouvel essai nucléaire de la Corée du Nord, et le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé de tenir aujourd'hui une réunion en urgence pour examiner la manière de réagir à cet essai. La Corée du Nord a annoncé avoir effectué mardi "avec succès", un troisième essai nucléaire en utilisant cette fois un engin miniaturisé, selon l'agence officielle KCNA. "Ce test nucléaire de haut niveau, avait, contrairement à ceux du passé, plus de puissance explosive et a utilisé un engin miniaturisé et plus léger", a précisé KCNA. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a qualifié de "profondément regrettable" le nouvel essai qui représente "une violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité" des Nations unies. "L'AIEA reste prête à contribuer à la résolution pacifique du dossier nucléaire de la République populaire démocratique de Corée en reprenant ses activités de vérification dans le pays dès que des accords politiques seront conclus entre les Etats concernés", a indiqué le directeur général de l'agence onusienne basée à Vienne, Yukiya Amano. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé que cet essai "profondément déstabilisateur" est "une violation claire et grave des résolutions du Conseil de sécurité". Pour examiner la manière de réagir à l'essai nucléaire nord-coréen, le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra mardi à 14H00 GMT une réunion en urgence car il s'agit d'une "violation claire et grave des résolutions du Conseil de sécurité", selon son porte-parole Martin Nesirky. Ban Ki-moon est convaincu que le Conseil de sécurité "restera uni et prendra les mesures appropriées", a-t-il souligné. De son coté, le président américain, Barack Obama, a considéré cet essai, un acte "provocateur" qui ne rend pas le pays "plus sûr", en appelant à une action internationale "rapide"et "crédible" de la communauté internationale. "Les Etats-Unis continueront également de prendre les mesures nécessaires pour se défendre ainsi que nos alliés. Nous allons renforcer l'étroite coordination avec nos alliés et partenaires", a-t-il ajouté. Pour la Russie, il s'agissait "d'une violation des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU", tout en condamnant "le lancement d'une fusée balistique effectué précédemment". La Chine a fait part de sa "ferme opposition" en réaffirmant sa "position ferme en faveur de la dénucléarisation de la péninsule, de la lutte contre la prolifération et du maintien de la paix et de la stabilité en Asie du Nord". Pour le Premier ministre japonais Shinzo Abe, cet essai "viole une série de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. C'est extrêmement regrettable et nous allons protester fermement". Le ministère japonais de la Défense a précisé qu'"En coopération avec la communauté internationale, nous prendrons toutes les mesures possibles pour gérer ce problème, y compris une révision des sanctions" spécifiques du Japon à l'égard de la Corée du Nord. L'Union européenne (UE) a condamné "dans les termes les plus forts possibles le dernier essai nucléaire" effectué par la Corée du Nord, qui est un "nouveau défi flagrant au régime global de non-prolifération et une violation caractérisée des obligations internationales" de Pyongyang. De son coté, la Grande Bretagne a précisé que cet acte "viole les résolutions 1718, 1874 et 2087 du Conseil de sécurité de l'ONU", ajoutant que Londres "va entamer des consultations en urgence avec ses partenaires du Conseil de sécurité de l'ONU et appeler à une réponse forte face à ce dernier développement". Le président français François Hollande a pour sa part condamné "avec la plus grande fermeté" en exhortant "la Corée du Nord à se conformer sans délai à ses obligations internationales". Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a plaidé pour "de nouvelles sanctions contre le régime de Pyongyang", en ajoutant qu'"une position claire doit être la réponse de la communauté internationale à cette nouvelle provocation". L'Iran, a désapprouvé de sa part, le troisième essai nucléaire effectué par la Corée du nord, estimant que "nous devons arriver au point où aucun pays ne possède d'arme nucléaire et où toutes les armes atomiques et de destruction massive sont détruites. Dans le même temps, tous les pays doivent avoir le droit à l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire", selon le porte-parole de la diplomatie iranienne, Ramin Mehmanparast. La communauté internationale a condamné, hier, le nouvel essai nucléaire de la Corée du Nord, et le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé de tenir aujourd'hui une réunion en urgence pour examiner la manière de réagir à cet essai. La Corée du Nord a annoncé avoir effectué mardi "avec succès", un troisième essai nucléaire en utilisant cette fois un engin miniaturisé, selon l'agence officielle KCNA. "Ce test nucléaire de haut niveau, avait, contrairement à ceux du passé, plus de puissance explosive et a utilisé un engin miniaturisé et plus léger", a précisé KCNA. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a qualifié de "profondément regrettable" le nouvel essai qui représente "une violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité" des Nations unies. "L'AIEA reste prête à contribuer à la résolution pacifique du dossier nucléaire de la République populaire démocratique de Corée en reprenant ses activités de vérification dans le pays dès que des accords politiques seront conclus entre les Etats concernés", a indiqué le directeur général de l'agence onusienne basée à Vienne, Yukiya Amano. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé que cet essai "profondément déstabilisateur" est "une violation claire et grave des résolutions du Conseil de sécurité". Pour examiner la manière de réagir à l'essai nucléaire nord-coréen, le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra mardi à 14H00 GMT une réunion en urgence car il s'agit d'une "violation claire et grave des résolutions du Conseil de sécurité", selon son porte-parole Martin Nesirky. Ban Ki-moon est convaincu que le Conseil de sécurité "restera uni et prendra les mesures appropriées", a-t-il souligné. De son coté, le président américain, Barack Obama, a considéré cet essai, un acte "provocateur" qui ne rend pas le pays "plus sûr", en appelant à une action internationale "rapide"et "crédible" de la communauté internationale. "Les Etats-Unis continueront également de prendre les mesures nécessaires pour se défendre ainsi que nos alliés. Nous allons renforcer l'étroite coordination avec nos alliés et partenaires", a-t-il ajouté. Pour la Russie, il s'agissait "d'une violation des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU", tout en condamnant "le lancement d'une fusée balistique effectué précédemment". La Chine a fait part de sa "ferme opposition" en réaffirmant sa "position ferme en faveur de la dénucléarisation de la péninsule, de la lutte contre la prolifération et du maintien de la paix et de la stabilité en Asie du Nord". Pour le Premier ministre japonais Shinzo Abe, cet essai "viole une série de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. C'est extrêmement regrettable et nous allons protester fermement". Le ministère japonais de la Défense a précisé qu'"En coopération avec la communauté internationale, nous prendrons toutes les mesures possibles pour gérer ce problème, y compris une révision des sanctions" spécifiques du Japon à l'égard de la Corée du Nord. L'Union européenne (UE) a condamné "dans les termes les plus forts possibles le dernier essai nucléaire" effectué par la Corée du Nord, qui est un "nouveau défi flagrant au régime global de non-prolifération et une violation caractérisée des obligations internationales" de Pyongyang. De son coté, la Grande Bretagne a précisé que cet acte "viole les résolutions 1718, 1874 et 2087 du Conseil de sécurité de l'ONU", ajoutant que Londres "va entamer des consultations en urgence avec ses partenaires du Conseil de sécurité de l'ONU et appeler à une réponse forte face à ce dernier développement". Le président français François Hollande a pour sa part condamné "avec la plus grande fermeté" en exhortant "la Corée du Nord à se conformer sans délai à ses obligations internationales". Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a plaidé pour "de nouvelles sanctions contre le régime de Pyongyang", en ajoutant qu'"une position claire doit être la réponse de la communauté internationale à cette nouvelle provocation". L'Iran, a désapprouvé de sa part, le troisième essai nucléaire effectué par la Corée du nord, estimant que "nous devons arriver au point où aucun pays ne possède d'arme nucléaire et où toutes les armes atomiques et de destruction massive sont détruites. Dans le même temps, tous les pays doivent avoir le droit à l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire", selon le porte-parole de la diplomatie iranienne, Ramin Mehmanparast.