Un colloque international sur l'œuvre de Mouloud Mammeri a démarré samedi dernier à la maison de la culture portant le nom du même écrivain, à Tizi Ouzou. Un colloque international sur l'œuvre de Mouloud Mammeri a démarré samedi dernier à la maison de la culture portant le nom du même écrivain, à Tizi Ouzou. C'est dans une salle clairsemée, que les conférenciers se sont succédé à la tribune pour évoquer chacun à sa manière des aspects qui leur semblent les plus saillants de l'œuvre de l'enfant prodige des Ath Yenni. Le thème du colloque en question porte sur « Mouloud Mammeri, de la voix à la lettre ou le dialogue des cultures : du particulier à l'universel, du Même à l'Autre à travers soi ». L'occasion a été offerte à Charles Bonn, enseignant à l'université de Lyon et responsable du site de littérature maghrébine Limag.com de rappeler l'apport important de la plume de Mouloud Mammeri à la littérature algérienne dont il est tout simplement le fondateur, grâce à sa fiction, inspirée de faits réels et intitulée La Colline oubliée. Cette dernière a été d'ailleurs portée à l'écran par Abderrahmane Bouguermouh. Elle est considérée comme le premier long métrage algérien en langue amazighe. Tout comme un deuxième roman de Mouloud Mammeri, L'opium et le bâton, réalisé en arabe par Ahmed Rachedi une dizaine d'années après l'indépendance. Il va sans dire que l'intervention de Charles Bonn, hier, a permis d'apporter certains éclairages sur les œuvres romanesques de Mouloud Mammeri que l'orateur a refusé de qualifier comme étant des romans ethnographiques, comme des critiques l'ont souvent écrit aussi bien au sujet de Mammeri qu'au sujet de Feraoun. Le colloque s'est poursuivi dans l'après-midi et continuera aujourd'hui avec une vingtaine de conférences, toute portant sur les romans de Mouloud Mammeri. « Traversée des paroles fondatrices des œuvres de Mouloud Mammeri», « Le monologue, un discours en acte dans La Traversée de Mouloud Mammeri », « Le sommeil du juste ou la voix du Moi en gestation », « Lecture de l'imaginaire dans La colline oubliée », « Mammeri, un homme, deux projets, trois cultures », sont entre autres les sujets abordés par les intervenants majoritairement venus de l'université de Tizi Ouzou et d'Alger. Charles Bonn animera une seconde intervention aujourd'hui au sujet du site Internet littéraire dont il a la charge de diriger. C'est dans une salle clairsemée, que les conférenciers se sont succédé à la tribune pour évoquer chacun à sa manière des aspects qui leur semblent les plus saillants de l'œuvre de l'enfant prodige des Ath Yenni. Le thème du colloque en question porte sur « Mouloud Mammeri, de la voix à la lettre ou le dialogue des cultures : du particulier à l'universel, du Même à l'Autre à travers soi ». L'occasion a été offerte à Charles Bonn, enseignant à l'université de Lyon et responsable du site de littérature maghrébine Limag.com de rappeler l'apport important de la plume de Mouloud Mammeri à la littérature algérienne dont il est tout simplement le fondateur, grâce à sa fiction, inspirée de faits réels et intitulée La Colline oubliée. Cette dernière a été d'ailleurs portée à l'écran par Abderrahmane Bouguermouh. Elle est considérée comme le premier long métrage algérien en langue amazighe. Tout comme un deuxième roman de Mouloud Mammeri, L'opium et le bâton, réalisé en arabe par Ahmed Rachedi une dizaine d'années après l'indépendance. Il va sans dire que l'intervention de Charles Bonn, hier, a permis d'apporter certains éclairages sur les œuvres romanesques de Mouloud Mammeri que l'orateur a refusé de qualifier comme étant des romans ethnographiques, comme des critiques l'ont souvent écrit aussi bien au sujet de Mammeri qu'au sujet de Feraoun. Le colloque s'est poursuivi dans l'après-midi et continuera aujourd'hui avec une vingtaine de conférences, toute portant sur les romans de Mouloud Mammeri. « Traversée des paroles fondatrices des œuvres de Mouloud Mammeri», « Le monologue, un discours en acte dans La Traversée de Mouloud Mammeri », « Le sommeil du juste ou la voix du Moi en gestation », « Lecture de l'imaginaire dans La colline oubliée », « Mammeri, un homme, deux projets, trois cultures », sont entre autres les sujets abordés par les intervenants majoritairement venus de l'université de Tizi Ouzou et d'Alger. Charles Bonn animera une seconde intervention aujourd'hui au sujet du site Internet littéraire dont il a la charge de diriger.