Les partis politiques traversent à coup sûr ce qu'on peut appeler une période creuse. Tous les grands rendez-vous électoraux sont désormais consommés en attendant une présidentielle qui semble encore trop loin même si il s'en est trouvé quelqu'un, Benbitour en l'occurrence, qui a annoncé sa candidature. Les partis politiques traversent à coup sûr ce qu'on peut appeler une période creuse. Tous les grands rendez-vous électoraux sont désormais consommés en attendant une présidentielle qui semble encore trop loin même si il s'en est trouvé quelqu'un, Benbitour en l'occurrence, qui a annoncé sa candidature. L'actualité trop agitée par les manifestations des chômeurs du Sud, trop remuée par les scandales ayant frappé la compagnie nationale d'hydrocarbures Sonatrach, et trop chargée par les développements au Sahel, submerge désormais les partis politiques, en ne leur concédant que le mauvais rôle de subir les événements, à charge pour les plus habiles de trouver matière à critiquer et pour les plus coopératifs, matière à soutenir les autorités en place. Le parti d'Amar Ghoul, Tadjamoue Amel Al-Djazair (TAJ) s'est manifesté ce jeudi sous les auspices écologistes à Tipaza en lançant lors d'une campagne de reboisonnement (et ce, à l'occasion du 19 mars, fête de la Victoire, et de la Journée mondiale de l'arbre) un appel à la mobilisation de toutes les forces vives du pays au service de l'intérêt général. «La mobilisation de tous est essentielle pour les projets d'intérêt général et pour construire l'avenir», a déclaré Ghoul. Quant au Front des forces socialistes (FFS), son premier secrétaire Ali Laskri était ce mercredi à Tizi-Ouzou où il avait présidé la cérémonie d'ouverture d'une permanence parlementaire du FFS dans la capitale du Djurdjura. La condamnation par la justice des maires FFS, a fait sortir Laskri de ses gonds. Selon lui, la lutte contre la corruption doit être généralisée à toutes les institutions et à tous les niveaux de responsabilité. Le responsable du FFS juge que la loi reste «abstraite et générale» ; il revendique son application «à tout le monde, pour ne pas faire dans la politique de deux poids, deux mesures». Laskri a plaidé du reste pour "la constitution d'un collectif sérieux d'avocats pour plancher sur non seulement la gestion de l'APC de Tizi-Ouzou, mais également sur celle de l'ensemble des municipalités d'Algérie". Revenant sur la manifestation des chômeurs du Sud, Laskri, y voient l'expression de «problèmes politiques» même s'ils revêtent un aspect social. Pour lui il faut «éviter de singulariser les problèmes du Sud qui sont, à bien des égards, les mêmes que ceux vécus par d'autres régions du pays». En dépit des bouleversements que connait la scène politique nationale, le Front de libération nationale (FLN) est toujours empêtré dans sa crise de succession de Belkhadem. D'après les derniers échos qui nous sont parvenus, on en est à se préoccuper du côté de ce parti, de la formule qu'il faut mettre en oeuvre pour élire le nouveau secrétaire général. Alors que les uns souhaitent un vote à bulletin secret, d'autres veulent un consensus autour de la personne à qui se verra confier le poste. Abderrahmane Belayat, chargé de la gestion du parti FLN, cité par l'APS, se dit «convaincu que le nouveau secrétaire général devra sortir de l'urne». Pour l'heure, une seule candidature au poste de SG du FLN a été déposée, affirme-t-on. Il s'agit de celle d'Abdelaziz Ziari, Said Bouhadja ayant présenté sa candidature à la commission des candidatures formée lors de la dernière session du CC. L'actualité trop agitée par les manifestations des chômeurs du Sud, trop remuée par les scandales ayant frappé la compagnie nationale d'hydrocarbures Sonatrach, et trop chargée par les développements au Sahel, submerge désormais les partis politiques, en ne leur concédant que le mauvais rôle de subir les événements, à charge pour les plus habiles de trouver matière à critiquer et pour les plus coopératifs, matière à soutenir les autorités en place. Le parti d'Amar Ghoul, Tadjamoue Amel Al-Djazair (TAJ) s'est manifesté ce jeudi sous les auspices écologistes à Tipaza en lançant lors d'une campagne de reboisonnement (et ce, à l'occasion du 19 mars, fête de la Victoire, et de la Journée mondiale de l'arbre) un appel à la mobilisation de toutes les forces vives du pays au service de l'intérêt général. «La mobilisation de tous est essentielle pour les projets d'intérêt général et pour construire l'avenir», a déclaré Ghoul. Quant au Front des forces socialistes (FFS), son premier secrétaire Ali Laskri était ce mercredi à Tizi-Ouzou où il avait présidé la cérémonie d'ouverture d'une permanence parlementaire du FFS dans la capitale du Djurdjura. La condamnation par la justice des maires FFS, a fait sortir Laskri de ses gonds. Selon lui, la lutte contre la corruption doit être généralisée à toutes les institutions et à tous les niveaux de responsabilité. Le responsable du FFS juge que la loi reste «abstraite et générale» ; il revendique son application «à tout le monde, pour ne pas faire dans la politique de deux poids, deux mesures». Laskri a plaidé du reste pour "la constitution d'un collectif sérieux d'avocats pour plancher sur non seulement la gestion de l'APC de Tizi-Ouzou, mais également sur celle de l'ensemble des municipalités d'Algérie". Revenant sur la manifestation des chômeurs du Sud, Laskri, y voient l'expression de «problèmes politiques» même s'ils revêtent un aspect social. Pour lui il faut «éviter de singulariser les problèmes du Sud qui sont, à bien des égards, les mêmes que ceux vécus par d'autres régions du pays». En dépit des bouleversements que connait la scène politique nationale, le Front de libération nationale (FLN) est toujours empêtré dans sa crise de succession de Belkhadem. D'après les derniers échos qui nous sont parvenus, on en est à se préoccuper du côté de ce parti, de la formule qu'il faut mettre en oeuvre pour élire le nouveau secrétaire général. Alors que les uns souhaitent un vote à bulletin secret, d'autres veulent un consensus autour de la personne à qui se verra confier le poste. Abderrahmane Belayat, chargé de la gestion du parti FLN, cité par l'APS, se dit «convaincu que le nouveau secrétaire général devra sortir de l'urne». Pour l'heure, une seule candidature au poste de SG du FLN a été déposée, affirme-t-on. Il s'agit de celle d'Abdelaziz Ziari, Said Bouhadja ayant présenté sa candidature à la commission des candidatures formée lors de la dernière session du CC.