De plus en plus d'Occidentaux sont en train de rejoindre les rangs d'Al Qaïda. Attirés par l'idéologie salafiste, ces nouveaux djihadistes ont déjà exécuté des attentats en Grande-Bretagne, en Syrie et en France. De plus en plus d'Occidentaux sont en train de rejoindre les rangs d'Al Qaïda. Attirés par l'idéologie salafiste, ces nouveaux djihadistes ont déjà exécuté des attentats en Grande-Bretagne, en Syrie et en France. Depuis l'assassinat du jeune militaire anglais, il y a quelques jours, par un jeune musulman de nationalité britannique et ce, au cœur de la capitale londonienne, tout le monde avait, ce jour-là, découvert une nouvelle catégorie de djihadistes, celle des "djihadistes étrangers". Un nouveau phénomène qui s'est confirmé avec l'autre attentat "individuel" perpétré cette fois en France lorsqu'un jeune Français avait, à son tour, agi de la même façon en assenant des coups à l'aide d'un cutter à un militaire français qui a très vite été évacué vers l'hôpital. Les deux attentats perpétrés à titre individuel par les deux djihadistes ont été sérieusement ressentis en Europe, notamment par les deux gouvernements français et anglais. Ces derniers ont été alertés sur l'existence de djihadistes nés en Europe et d'origine européenne. Un constat alarmant. Pis, les autorités syriennes ont annoncé, il y a quelques jours, l'élimination de trois Occidentaux, dont une Américaine. Ces trois Occidentaux sont accusés par la Syrie d'être des terroristes et qu'ils ont été tués dans une embuscade. La famille de cette Américaine devenue "djihadiste" s'est exprimée, en disant que leur fille s'est convertie à l'Islam récemment. Par ailleurs, il convient de rappeler qu'un djihadiste français, devenu membre d'AQMI, a été arrêté par l'armée française au Mali, cela arrive au moment où le chef des services de renseignements allemands a effectué une visite discrète en Syrie pour y rencontrer le président syrien tout en abordant le sujet des "terroristes d'origine occidentale" face aux craintes des services de renseignements occidentaux que leurs compatriotes se joignent aux organisations terroristes. Discrète visite à Damas du chef des services de renseignements allemands Gerhard Schindler, le chef des services de renseignements allemands s'est rendu dans le cadre d'une visite officieuse à Damas pour évoquer avec les autorités syriennes la lutte contre le salafisme extrêmiste. Selon la chaîne de TV allemande ARD, la visite date de la première semaine du mois de mai, mais elle n'a pas été médiatisée en raison de la haute sensibilité du sujet. Le chef du renseignement allemand cherchait en effet à collecter des informations au sujet des ressortissants allemands salafistes qui combattaient dans les rangs d'Al Nosra et autres mouvances extrêmistes l'Etat syrien et qui ont été capturés par l'armée syrienne. Schindler aurait souhaité au cours de cette visite que la coopération sécuritaire Berlin - Damas soit reprise au plus vite avant de faire part de la disponibilité de son pays de coopérer pleinement avec les services de renseignements syriens contre le terrorisme, Al Nosra et Al Qaïda. Selon la chaîne allemande, des délégations italienne, émiratie et yéménite auraient déjà effectué des visites similaires à Damas et auraient formulé des propositions de coopération identiques. Pour la chaîne allemande, ces visites marquent un certain changement de tendance dans certaines chancelleries occidentales et arabes qui semblent avoir renoncé à l'idée de renverser El Assad et à normaliser plutôt leurs relations avec la Syrie. Depuis l'assassinat du jeune militaire anglais, il y a quelques jours, par un jeune musulman de nationalité britannique et ce, au cœur de la capitale londonienne, tout le monde avait, ce jour-là, découvert une nouvelle catégorie de djihadistes, celle des "djihadistes étrangers". Un nouveau phénomène qui s'est confirmé avec l'autre attentat "individuel" perpétré cette fois en France lorsqu'un jeune Français avait, à son tour, agi de la même façon en assenant des coups à l'aide d'un cutter à un militaire français qui a très vite été évacué vers l'hôpital. Les deux attentats perpétrés à titre individuel par les deux djihadistes ont été sérieusement ressentis en Europe, notamment par les deux gouvernements français et anglais. Ces derniers ont été alertés sur l'existence de djihadistes nés en Europe et d'origine européenne. Un constat alarmant. Pis, les autorités syriennes ont annoncé, il y a quelques jours, l'élimination de trois Occidentaux, dont une Américaine. Ces trois Occidentaux sont accusés par la Syrie d'être des terroristes et qu'ils ont été tués dans une embuscade. La famille de cette Américaine devenue "djihadiste" s'est exprimée, en disant que leur fille s'est convertie à l'Islam récemment. Par ailleurs, il convient de rappeler qu'un djihadiste français, devenu membre d'AQMI, a été arrêté par l'armée française au Mali, cela arrive au moment où le chef des services de renseignements allemands a effectué une visite discrète en Syrie pour y rencontrer le président syrien tout en abordant le sujet des "terroristes d'origine occidentale" face aux craintes des services de renseignements occidentaux que leurs compatriotes se joignent aux organisations terroristes. Discrète visite à Damas du chef des services de renseignements allemands Gerhard Schindler, le chef des services de renseignements allemands s'est rendu dans le cadre d'une visite officieuse à Damas pour évoquer avec les autorités syriennes la lutte contre le salafisme extrêmiste. Selon la chaîne de TV allemande ARD, la visite date de la première semaine du mois de mai, mais elle n'a pas été médiatisée en raison de la haute sensibilité du sujet. Le chef du renseignement allemand cherchait en effet à collecter des informations au sujet des ressortissants allemands salafistes qui combattaient dans les rangs d'Al Nosra et autres mouvances extrêmistes l'Etat syrien et qui ont été capturés par l'armée syrienne. Schindler aurait souhaité au cours de cette visite que la coopération sécuritaire Berlin - Damas soit reprise au plus vite avant de faire part de la disponibilité de son pays de coopérer pleinement avec les services de renseignements syriens contre le terrorisme, Al Nosra et Al Qaïda. Selon la chaîne allemande, des délégations italienne, émiratie et yéménite auraient déjà effectué des visites similaires à Damas et auraient formulé des propositions de coopération identiques. Pour la chaîne allemande, ces visites marquent un certain changement de tendance dans certaines chancelleries occidentales et arabes qui semblent avoir renoncé à l'idée de renverser El Assad et à normaliser plutôt leurs relations avec la Syrie.