Les leaders islamistes du Hamas (MSP) et du Front du changement (FC), Abderrezak Mokri et Abdelmadjid Menasra, se sont rencontrés, mercredi dernier à Boumerdès, pour se réconcilier et s'unir sous un seul front. Les leaders islamistes du Hamas (MSP) et du Front du changement (FC), Abderrezak Mokri et Abdelmadjid Menasra, se sont rencontrés, mercredi dernier à Boumerdès, pour se réconcilier et s'unir sous un seul front. Ils ont mis un terme à leur différend datant de plus de deux ans et se sont engagés à s'unir pour les élections présidentielles de 2014. Au cours de son intervention, le tout nouveau leader du MSP, a déclaré lors d'une rencontre de militants des deux formations politiques pour rendre hommage à cheikh Nahnah, décédé en 2003, que «le pouvoir nous intéresse et que nous voulons gouverner comme tout le monde». Sur ce, les deux leaders ont laissé entendre qu'ils vont présenter un candidat unique pour les joutes électorales de 2014. L'orateur a laissé, également, entendre que «le temps est venu pour que nous dirigions le pays alors que le pouvoir nous a empêché de le faire durant les années 90, un refus qui avait causé la perte de plus de 400 militants de nos rangs». Contrairement aux autres formations politiques d'obédience islamiste, Mokri a indiqué que sa formation s'est armée de patience. Concernant le lien qu'entretient le MSP avec les Frères musulmans, le chef du MSP a déclaré qu'il «entretient des relations d'estime réciproque, de fraternité et d'appartenance au même projet, à la même tendance de modération de courant. les Frères musulmans le font depuis des décennies, nous nous le faisons depuis les années 90 où nous avons payé un lourd tribut car 400 de nos militants ont été assassinés». Et d'ajouter qu'il n'existe pas une internationale islamiste. Le leader du FC a déclaré ne pas «avoir l'intention de se présenter aux présidentielles de 2014" et qu'il souhaite "un consensus entre toutes les formations politiques pour choisir un candidat". Par ailleurs, l'orateur a précisé que sa formation a diminué ses activités et ses déclarations depuis que le chef de l'Etat est hospitalisé à Paris et a déclaré qu'il n'était pas utile d'appliquer l'état d'empêchement du Président notamment l'article 88 de la Constitution. Ils ont mis un terme à leur différend datant de plus de deux ans et se sont engagés à s'unir pour les élections présidentielles de 2014. Au cours de son intervention, le tout nouveau leader du MSP, a déclaré lors d'une rencontre de militants des deux formations politiques pour rendre hommage à cheikh Nahnah, décédé en 2003, que «le pouvoir nous intéresse et que nous voulons gouverner comme tout le monde». Sur ce, les deux leaders ont laissé entendre qu'ils vont présenter un candidat unique pour les joutes électorales de 2014. L'orateur a laissé, également, entendre que «le temps est venu pour que nous dirigions le pays alors que le pouvoir nous a empêché de le faire durant les années 90, un refus qui avait causé la perte de plus de 400 militants de nos rangs». Contrairement aux autres formations politiques d'obédience islamiste, Mokri a indiqué que sa formation s'est armée de patience. Concernant le lien qu'entretient le MSP avec les Frères musulmans, le chef du MSP a déclaré qu'il «entretient des relations d'estime réciproque, de fraternité et d'appartenance au même projet, à la même tendance de modération de courant. les Frères musulmans le font depuis des décennies, nous nous le faisons depuis les années 90 où nous avons payé un lourd tribut car 400 de nos militants ont été assassinés». Et d'ajouter qu'il n'existe pas une internationale islamiste. Le leader du FC a déclaré ne pas «avoir l'intention de se présenter aux présidentielles de 2014" et qu'il souhaite "un consensus entre toutes les formations politiques pour choisir un candidat". Par ailleurs, l'orateur a précisé que sa formation a diminué ses activités et ses déclarations depuis que le chef de l'Etat est hospitalisé à Paris et a déclaré qu'il n'était pas utile d'appliquer l'état d'empêchement du Président notamment l'article 88 de la Constitution.