Les compagnies internationales pétrolières auront toujours leur place en Algérie. Après l'intervention du ministre de l'Energie et des Mines il y a quelques semaines, c'est au tour d'experts d'affirmer que l'intérêt des multinationales sera accru suite aux nouvelles découvertes de gisements de pétrole et l'accroissement du partenariat dans le domaine gazier. Si certaines voix restent sceptiques, d'autres au contraire estiment que les partenaires étrangers ne quitteront pas le pays. Les compagnies internationales pétrolières auront toujours leur place en Algérie. Après l'intervention du ministre de l'Energie et des Mines il y a quelques semaines, c'est au tour d'experts d'affirmer que l'intérêt des multinationales sera accru suite aux nouvelles découvertes de gisements de pétrole et l'accroissement du partenariat dans le domaine gazier. Si certaines voix restent sceptiques, d'autres au contraire estiment que les partenaires étrangers ne quitteront pas le pays. Les plus importants gisements découverts aux champs de Menzel Ledjmat et El Merk au sud du pays ne font que conforter la thèse des partenaires de Sonatrach à bien mener leurs projets d'exploration. Mourad Preure, expert international dans le domaine de l'énergie évoque «l'intérêt d'acquérir les technologies des grandes compagnies pour mieux consolider l'investissement dans l'exploitation des futurs gisements». Selon une source de Sonatrach «le plan d'investissement 2012-2016, va relancer tous les sites découverts mais qui n'ont pas été exploités». Un pactole de 80 milliards de dollars sera mis sur la table de la compagnie nationale des hydrocarbures. Mais, le P-DG de Sonatrach, Mohamed Zerguine, contrairement à ses prédécesseurs veut montrer «de la rigueur dans la passation des marchés». Plus question d'offres de moins disants, ni d'avis d'appels restreints. Il a instruit début juin tous les cadres de Sonatrach afin «d'établir des commissions d'experts chargés de veiller à la stricte application des procédures de passation de marchés avec les partenaires étrangers». Autrement dit, un système de monitoring, selon notre source, sera mis en exergue «pour mettre au point toutes les informations concernant les contrats de transactions». Politiquement, Sonatrach veut mettre le holà sur «la gabegie et les irrégularités constatées lors de la signature des contrats et avenants». Le P.-dg de Sonatrach ne fait que suivre, selon les dires de certains, «la loi de finances 2013 qui contient des mesures pertinentes pour les investissements étrangers». Mais comme l'affirme un autre spécialiste algérien, «libéraliser sans ébranler les fondements». C'est la formule retenue. Selon le bilan de la compagnie nationale, il existe actuellement près de 200 puits de forage et 100 opérations de workover. Ce qui place l'Algérie sur le haut du podium pour le nombre de découvertes. Même si l'AIE (Agence internationale de l'énergie) a prédit une baisse de volume d'investissement pétrolier en Algérie de l'ordre de 0,4% (entre 2012 et 2018) face à la déprime de la conjoncture mondiale. Toutefois, les autorités dans le secteur énergétique restent confiantes. Selon des sources concordantes «le nombre de compagnies internationales pour les appels d'offres commence à se multiplier» suite aux avantages fiscaux accordés dans le cadre de la loi sur les hydrocarbures dont certains articles ont été amendés. «Sonatrach mise sur le transfert technologique et le savoir-faire de ces multinationales en contrepartie du partenariat», avait souligné le premier responsable de la compagnie nationale. On apprend de source concordante de Sonatrach que l'Enafor (Entreprise nationale de forage) et l'ENTP (Entreprise nationale des travaux en puits) ont reçu l'aval de la société mère pour toutes les opérations de forage avec leurs partenaires étrangers. Pour l'année en cours, Sonatrach va mobiliser 90 appareils de forage selon une source de la direction générale. Les plus importants gisements découverts aux champs de Menzel Ledjmat et El Merk au sud du pays ne font que conforter la thèse des partenaires de Sonatrach à bien mener leurs projets d'exploration. Mourad Preure, expert international dans le domaine de l'énergie évoque «l'intérêt d'acquérir les technologies des grandes compagnies pour mieux consolider l'investissement dans l'exploitation des futurs gisements». Selon une source de Sonatrach «le plan d'investissement 2012-2016, va relancer tous les sites découverts mais qui n'ont pas été exploités». Un pactole de 80 milliards de dollars sera mis sur la table de la compagnie nationale des hydrocarbures. Mais, le P-DG de Sonatrach, Mohamed Zerguine, contrairement à ses prédécesseurs veut montrer «de la rigueur dans la passation des marchés». Plus question d'offres de moins disants, ni d'avis d'appels restreints. Il a instruit début juin tous les cadres de Sonatrach afin «d'établir des commissions d'experts chargés de veiller à la stricte application des procédures de passation de marchés avec les partenaires étrangers». Autrement dit, un système de monitoring, selon notre source, sera mis en exergue «pour mettre au point toutes les informations concernant les contrats de transactions». Politiquement, Sonatrach veut mettre le holà sur «la gabegie et les irrégularités constatées lors de la signature des contrats et avenants». Le P.-dg de Sonatrach ne fait que suivre, selon les dires de certains, «la loi de finances 2013 qui contient des mesures pertinentes pour les investissements étrangers». Mais comme l'affirme un autre spécialiste algérien, «libéraliser sans ébranler les fondements». C'est la formule retenue. Selon le bilan de la compagnie nationale, il existe actuellement près de 200 puits de forage et 100 opérations de workover. Ce qui place l'Algérie sur le haut du podium pour le nombre de découvertes. Même si l'AIE (Agence internationale de l'énergie) a prédit une baisse de volume d'investissement pétrolier en Algérie de l'ordre de 0,4% (entre 2012 et 2018) face à la déprime de la conjoncture mondiale. Toutefois, les autorités dans le secteur énergétique restent confiantes. Selon des sources concordantes «le nombre de compagnies internationales pour les appels d'offres commence à se multiplier» suite aux avantages fiscaux accordés dans le cadre de la loi sur les hydrocarbures dont certains articles ont été amendés. «Sonatrach mise sur le transfert technologique et le savoir-faire de ces multinationales en contrepartie du partenariat», avait souligné le premier responsable de la compagnie nationale. On apprend de source concordante de Sonatrach que l'Enafor (Entreprise nationale de forage) et l'ENTP (Entreprise nationale des travaux en puits) ont reçu l'aval de la société mère pour toutes les opérations de forage avec leurs partenaires étrangers. Pour l'année en cours, Sonatrach va mobiliser 90 appareils de forage selon une source de la direction générale.