L'Agence internationale de l'Energie (AIE) a augmenté sa prévision de demande mondiale de pétrole pour 2014 à 92 millions de barils par jour,(mbj) en hausse de 1,2 mbj par rapport à 2013. Ce rythme marquerait une accélération par rapport à 2013, où l'AIE prévoit une croissance de 930.000 barils par jour. L'Agence internationale de l'Energie (AIE) a augmenté sa prévision de demande mondiale de pétrole pour 2014 à 92 millions de barils par jour,(mbj) en hausse de 1,2 mbj par rapport à 2013. Ce rythme marquerait une accélération par rapport à 2013, où l'AIE prévoit une croissance de 930.000 barils par jour. Cette estimation de la croissance cette année est le résultat d'une révision en hausse de 145.000 barils par jour ce mois-ci, à 90,8 millions de barils par jour, indique l'AIE dans son rapport mensuel. "Une météo inhabituellement froide pour la saison dans l'OCDE a déclenché une demande surprise, à un moment de l'année (le deuxième trimestre) où la demande atteint normalement son point bas", note l'agence basée à Paris. A lui seul, ce froid a fait s'envoler la demande de 645.000 barils par jour supplémentaires au deuxième trimestre, selon l'AIE. La prévision revue à la hausse pour 2013 et l'accélération de la croissance pour 2014 ne prennent néanmoins pas en compte la révision à la baisse de 0,2 point de pourcentage de la croissance économique mondiale par le Fonds monétaire international (FMI), survenue trop tardivement pour ajuster le rapport mensuel, explique l'agence. Cette estimation de la croissance cette année est le résultat d'une révision en hausse de 145.000 barils par jour ce mois-ci, à 90,8 millions de barils par jour, indique l'AIE dans son rapport mensuel. "Une météo inhabituellement froide pour la saison dans l'OCDE a déclenché une demande surprise, à un moment de l'année (le deuxième trimestre) où la demande atteint normalement son point bas", note l'agence basée à Paris. A lui seul, ce froid a fait s'envoler la demande de 645.000 barils par jour supplémentaires au deuxième trimestre, selon l'AIE. La prévision revue à la hausse pour 2013 et l'accélération de la croissance pour 2014 ne prennent néanmoins pas en compte la révision à la baisse de 0,2 point de pourcentage de la croissance économique mondiale par le Fonds monétaire international (FMI), survenue trop tardivement pour ajuster le rapport mensuel, explique l'agence.