Ce genre d'actions de protestation continue de demeurer le seul recours possible devant les silence des autorités locales et des responsables locaux face aux doléances légitimes exprimées par les citoyens. Hier, dimanche, premier jour de semaine, les citoyens de la commune de Tigzirt ont décidé d'opter pour la fermeture du siège de l'Assemblée populaire communale dès la première heure de bureau. Ce genre d'actions de protestation continue de demeurer le seul recours possible devant les silence des autorités locales et des responsables locaux face aux doléances légitimes exprimées par les citoyens. Hier, dimanche, premier jour de semaine, les citoyens de la commune de Tigzirt ont décidé d'opter pour la fermeture du siège de l'Assemblée populaire communale dès la première heure de bureau. Les contestataires entendent dénoncer le silence des responsables et des élus locaux face au crucial problème d'eau potable qui touche leur localité. Ce problème qui dure depuis plus d'un mois concerne plus particulièrement les habitants des différents lotissements de cette commune balnéaire, qui reçoit des centaines de milliers de vacanciers chaque été. "Depuis deux mois, l'eau n'a pas coulé de nos robinets", déplore l'un des protestataires présents devant le siège de la mairie de Tigzirt et joint par téléphone. Ce dernier précise que toutes les démarches réglementaires pour le règlement de ce problème ont été suivies sans résultats concrets. "Nous avons frappé à toutes les portes : les élus locaux, l'Algérienne des eaux, la direction de l'hydraulique mais à chaque fois, c'est le même leitmotiv. Nous avons droit à des promesses sans lendemain", dénonce notre interlocuteur. Ce dernier se désole qu'il ne leur reste que cette seule issue afin de se faire entendre. Le problème de la rareté de l'eau potable dans la ville de Tigzirt et dans les villages qui y dépendent administrativement, ne date pas d'aujourd'hui. Il s'est posé depuis toujours. Malgré la réalisation d'une station de dessalement d'eau de mer et la mise en service du barrage d'eau de Taksebt, les citoyens se plaignent toujours. La situation dans laquelle se débattent les habitants de Tigzirt est enregistrée dans d'autres localités de la même wilaya. Les habitants du village de Maâmar, l'un des plus grands de la commune de Drâa El Mizan, ont été contraints de fermer à la circulation la RN 5 afin de déplorer la rareté de l'eau dans leurs foyers. Cette action de protestation a eu lieu la semaine écoulée. La même semaine, les habitants du village Tizit, dans la commune d'Illilten, ont fermé le siège de l'APC pour les mêmes raisons. A quand un règlement définitif de ce problème d'eau qui touche des centaines de villages de la wilaya de Tizi-Ouzou ? C'est la question qui demeure en suspens. Cette situation déplorable perdure depuis des années. Pourtant, l'Etat n'a pas du tout lésiné sur les moyens en faisant bénéficier la région d'un des plus grands barrages d'eau à l'échelle nationale, celui de Taksebt. Mais ce dernier a fait rêver les villageois sans pour étant parvenir à étancher leur soif en plein été eten plein mois de ramadhan. Les contestataires entendent dénoncer le silence des responsables et des élus locaux face au crucial problème d'eau potable qui touche leur localité. Ce problème qui dure depuis plus d'un mois concerne plus particulièrement les habitants des différents lotissements de cette commune balnéaire, qui reçoit des centaines de milliers de vacanciers chaque été. "Depuis deux mois, l'eau n'a pas coulé de nos robinets", déplore l'un des protestataires présents devant le siège de la mairie de Tigzirt et joint par téléphone. Ce dernier précise que toutes les démarches réglementaires pour le règlement de ce problème ont été suivies sans résultats concrets. "Nous avons frappé à toutes les portes : les élus locaux, l'Algérienne des eaux, la direction de l'hydraulique mais à chaque fois, c'est le même leitmotiv. Nous avons droit à des promesses sans lendemain", dénonce notre interlocuteur. Ce dernier se désole qu'il ne leur reste que cette seule issue afin de se faire entendre. Le problème de la rareté de l'eau potable dans la ville de Tigzirt et dans les villages qui y dépendent administrativement, ne date pas d'aujourd'hui. Il s'est posé depuis toujours. Malgré la réalisation d'une station de dessalement d'eau de mer et la mise en service du barrage d'eau de Taksebt, les citoyens se plaignent toujours. La situation dans laquelle se débattent les habitants de Tigzirt est enregistrée dans d'autres localités de la même wilaya. Les habitants du village de Maâmar, l'un des plus grands de la commune de Drâa El Mizan, ont été contraints de fermer à la circulation la RN 5 afin de déplorer la rareté de l'eau dans leurs foyers. Cette action de protestation a eu lieu la semaine écoulée. La même semaine, les habitants du village Tizit, dans la commune d'Illilten, ont fermé le siège de l'APC pour les mêmes raisons. A quand un règlement définitif de ce problème d'eau qui touche des centaines de villages de la wilaya de Tizi-Ouzou ? C'est la question qui demeure en suspens. Cette situation déplorable perdure depuis des années. Pourtant, l'Etat n'a pas du tout lésiné sur les moyens en faisant bénéficier la région d'un des plus grands barrages d'eau à l'échelle nationale, celui de Taksebt. Mais ce dernier a fait rêver les villageois sans pour étant parvenir à étancher leur soif en plein été eten plein mois de ramadhan.