La direction des affaires religieuses de la wilaya de Tizi- Ouzou a fini par réagir suite à la mobilisation des citoyens de la région de Tifilkout, un village situé à soixante kilomètres au sud-est du chef-lieu de la ville de Tizi- Ouzou. En effet, il a décidé de mettre fin aux fonctions de l'imam incriminé. La direction des affaires religieuses de la wilaya de Tizi- Ouzou a fini par réagir suite à la mobilisation des citoyens de la région de Tifilkout, un village situé à soixante kilomètres au sud-est du chef-lieu de la ville de Tizi- Ouzou. En effet, il a décidé de mettre fin aux fonctions de l'imam incriminé. Ainsi, moins de dix jours après que les citoyens de Tifilkout eurent décidé de ne plus se taire devant les « dépassements » de l'imam en question, les autorités concernées ont tendu une oreille attentive aux protestataires. La revendication des citoyens qui se sont exprimés via leur comité de village a été satisfaite hier. Il s'agit, d'après les citoyens de Tifilkout, d'un imam salafiste dont les prêches « n'ont rien à voir avec l'Islam de nos ancêtres », ont déploré les habitants de ce village, l'un des plus grands que compte la wilaya de Tizi-Ouzou. Les concernés ont également dénoncé les prêches « incendiaires » dudit imam qui sont tous empreints d'un extrêmisme auquel ne sont pas habitués les croyants et pratiquants de la région de Kabylie, connue pour pratiquer un Islam de tolérance et d'ouverture. Selon les citoyens de Tifilkout, les discours prêchés par l'imam déchus « sont carrément en porte-à-faux avec les valeurs de l'Islam qui est une religion de paix et non d'extrêmisme et de violence ». Après cette action citoyenne ayant connu un dénouement positif, il s'est avéré que l'imam contesté ne dépend même pas de la direction des affaires religieuses mais qu'il agissait plutôt à titre bénévole. L'imam en question ne relève aucunement de l'administration des affaires religieuses, avons-nous appris hier. Ainsi, moins de dix jours après que les citoyens de Tifilkout eurent décidé de ne plus se taire devant les « dépassements » de l'imam en question, les autorités concernées ont tendu une oreille attentive aux protestataires. La revendication des citoyens qui se sont exprimés via leur comité de village a été satisfaite hier. Il s'agit, d'après les citoyens de Tifilkout, d'un imam salafiste dont les prêches « n'ont rien à voir avec l'Islam de nos ancêtres », ont déploré les habitants de ce village, l'un des plus grands que compte la wilaya de Tizi-Ouzou. Les concernés ont également dénoncé les prêches « incendiaires » dudit imam qui sont tous empreints d'un extrêmisme auquel ne sont pas habitués les croyants et pratiquants de la région de Kabylie, connue pour pratiquer un Islam de tolérance et d'ouverture. Selon les citoyens de Tifilkout, les discours prêchés par l'imam déchus « sont carrément en porte-à-faux avec les valeurs de l'Islam qui est une religion de paix et non d'extrêmisme et de violence ». Après cette action citoyenne ayant connu un dénouement positif, il s'est avéré que l'imam contesté ne dépend même pas de la direction des affaires religieuses mais qu'il agissait plutôt à titre bénévole. L'imam en question ne relève aucunement de l'administration des affaires religieuses, avons-nous appris hier.