Les 33 candidats restant en lice pour l'élection présidentielle à Madagascar sont "des candidats de la communauté internationale" a déclaré vendredi le médiateur de la communauté de développement d'Afrique australe (SADC), Joaquim Chissano. Les 33 candidats restant en lice pour l'élection présidentielle à Madagascar sont "des candidats de la communauté internationale" a déclaré vendredi le médiateur de la communauté de développement d'Afrique australe (SADC), Joaquim Chissano. "Tous les candidats sont des candidats de la communauté internationale", a affirmé à la presse M. Chissano, qui dirige les efforts de médiation de l'organisation régionale pour sortir la Grande Ile de la crise dans laquelle elle est plongée depuis plus de quatre ans. Joaquim Chissano a par ailleurs critiqué l'opposition représentée à travers des mouvances qui voudraient boycotter l'élection malgache, après la disqualification de leurs candidats par la Cour électorale. Le scrutin est censé rétablir l'ordre constitutionnel mis à mal par le renversement du président Marc Ravalomanana par Andry Rajoelina en 2009. Le premier tour de l'élection présidentielle aura lieu le 25 octobre et un éventuel second tour - jumelé avec les élections législatives - sera organisé le 20 décembre. Le processus électoral avait été bloqué pendant plusieurs mois, en raison notamment de la présence de trois candidats contestés par la communauté internationale : Andry Rajoelina, qui avait promis de ne pas se présenter, Lalao Ravalomanana, l'épouse de l'ex-président Marc Ravalomanana, et l'ancien président Didier Ratsiraka. Aucun des trois ne respectaient les critères d'éligibilité et ils ont été disqualifiés le 17 août par une nouvelle Cour électorale, qui a ouvert la voie à l'organisation du scrutin. "Tous les candidats sont des candidats de la communauté internationale", a affirmé à la presse M. Chissano, qui dirige les efforts de médiation de l'organisation régionale pour sortir la Grande Ile de la crise dans laquelle elle est plongée depuis plus de quatre ans. Joaquim Chissano a par ailleurs critiqué l'opposition représentée à travers des mouvances qui voudraient boycotter l'élection malgache, après la disqualification de leurs candidats par la Cour électorale. Le scrutin est censé rétablir l'ordre constitutionnel mis à mal par le renversement du président Marc Ravalomanana par Andry Rajoelina en 2009. Le premier tour de l'élection présidentielle aura lieu le 25 octobre et un éventuel second tour - jumelé avec les élections législatives - sera organisé le 20 décembre. Le processus électoral avait été bloqué pendant plusieurs mois, en raison notamment de la présence de trois candidats contestés par la communauté internationale : Andry Rajoelina, qui avait promis de ne pas se présenter, Lalao Ravalomanana, l'épouse de l'ex-président Marc Ravalomanana, et l'ancien président Didier Ratsiraka. Aucun des trois ne respectaient les critères d'éligibilité et ils ont été disqualifiés le 17 août par une nouvelle Cour électorale, qui a ouvert la voie à l'organisation du scrutin.