La rentrée scolaire sera effective le 8 septembre. Il est attendu plus de 8 millions d'élève des trois paliers qui devront renouer avec les classes et quelque 320.000 enseignants avec, cette fois-ci, de nouveaux postes créés pour pallier les insuffisances relevées l'année dernière. La rentrée scolaire sera effective le 8 septembre. Il est attendu plus de 8 millions d'élève des trois paliers qui devront renouer avec les classes et quelque 320.000 enseignants avec, cette fois-ci, de nouveaux postes créés pour pallier les insuffisances relevées l'année dernière. Mais, le problème de disponibilité d'enseignants dans des endroits reculés du pays se pose toujours ainsi que celui des classes surchargées dans certains établissements. Le calendrier de la rentrée des personnels administratifs a été fixé au 1er septembre alors que celui des rentrées des classes a été maintenu pour le 8 du même mois pour les élèves du primaire et entre le 4 et le 5 pour les collégiens. Ce qui caractérise cette rentrée c'est la création de 12.346 nouveaux postes pédagogiques permettant de renforcer le dispositif des postes budgétaires promis par le ministère de l'éducation. Le personnel de l'encadrement constitué d'adjoints d'éducation et d'administrateurs englobe 120.000 employés. Mais au-delà de ces chiffres, la rentrée aura ses contraintes notamment la surcharge des classes dans certains établissements où des classes du cycle primaire peuvent accueillir 40 élèves. Le ministère de tutelle, qui a dressé une feuille de route pour une rentrée sans perturbations, sera appelé à se débarrasser de ce problème avec la réalisation de plusieurs établissements scolaires prévus d'être réceptionnés avant décembre 2013. Des réunions de concertation avec les directeurs de l'éducation durant l'été avaient été entamés avec en prime la gestion pédagogique des établissements, la distribution du livre scolaire, la qualité de l'enseignement et la titularisation des contractuels. Le ministre Baba Ahmed a estimé dans une déclaration à la presse que « désormais, c'est le contrat-programme avec toutes les directions de l'éducation qui sera mis en œuvre pour la rentrée 2013-2014 ». Sur ce programme, rien n'afiltré pour le moment. Mais pour le ministre « il s'agit d'une évaluation fine des problèmes spécifiques région par région ». Pour ce qui est des nouveautés, il faut savoir que les autorités de l'éducation nationale vont appliquer des mesures concernant l'allègement du poids des cartables et celles des horaires de cours. Une mesure qui va se poursuivre avec le renforcement de certaines matières en introduisant dès cette rentrée des travaux dirigés pour les mathématiques, l'arabe, le français et l'anglais. Dans la même foulée, les devoirs de contrôle en classe seront annulés et substitués par des interrogations mensuelles et des compositions trimestrielles. Le ministre de l'éducation reste plutôt serein en misant sur « la qualité du cursus scolaire et les rendements plus efficaces ». Les autorités et les syndicats des enseignants restent d'accord sur ce point. Le ministre a spécifié « qu'à chaque cas précis, une batterie de mesures correspondantes sont listées. L'objectif, à ce niveau, consiste à combattre et réduire les déperditions scolaires ». Mais, le problème de disponibilité d'enseignants dans des endroits reculés du pays se pose toujours ainsi que celui des classes surchargées dans certains établissements. Le calendrier de la rentrée des personnels administratifs a été fixé au 1er septembre alors que celui des rentrées des classes a été maintenu pour le 8 du même mois pour les élèves du primaire et entre le 4 et le 5 pour les collégiens. Ce qui caractérise cette rentrée c'est la création de 12.346 nouveaux postes pédagogiques permettant de renforcer le dispositif des postes budgétaires promis par le ministère de l'éducation. Le personnel de l'encadrement constitué d'adjoints d'éducation et d'administrateurs englobe 120.000 employés. Mais au-delà de ces chiffres, la rentrée aura ses contraintes notamment la surcharge des classes dans certains établissements où des classes du cycle primaire peuvent accueillir 40 élèves. Le ministère de tutelle, qui a dressé une feuille de route pour une rentrée sans perturbations, sera appelé à se débarrasser de ce problème avec la réalisation de plusieurs établissements scolaires prévus d'être réceptionnés avant décembre 2013. Des réunions de concertation avec les directeurs de l'éducation durant l'été avaient été entamés avec en prime la gestion pédagogique des établissements, la distribution du livre scolaire, la qualité de l'enseignement et la titularisation des contractuels. Le ministre Baba Ahmed a estimé dans une déclaration à la presse que « désormais, c'est le contrat-programme avec toutes les directions de l'éducation qui sera mis en œuvre pour la rentrée 2013-2014 ». Sur ce programme, rien n'afiltré pour le moment. Mais pour le ministre « il s'agit d'une évaluation fine des problèmes spécifiques région par région ». Pour ce qui est des nouveautés, il faut savoir que les autorités de l'éducation nationale vont appliquer des mesures concernant l'allègement du poids des cartables et celles des horaires de cours. Une mesure qui va se poursuivre avec le renforcement de certaines matières en introduisant dès cette rentrée des travaux dirigés pour les mathématiques, l'arabe, le français et l'anglais. Dans la même foulée, les devoirs de contrôle en classe seront annulés et substitués par des interrogations mensuelles et des compositions trimestrielles. Le ministre de l'éducation reste plutôt serein en misant sur « la qualité du cursus scolaire et les rendements plus efficaces ». Les autorités et les syndicats des enseignants restent d'accord sur ce point. Le ministre a spécifié « qu'à chaque cas précis, une batterie de mesures correspondantes sont listées. L'objectif, à ce niveau, consiste à combattre et réduire les déperditions scolaires ».