Finalement, la tripartite aura lieu à la fin de ce mois courant ou au plus tard, peut-être le 3 octobre. C'est ce qu'a annoncé, hier, sur les ondes de chaîne III de la Radio nationale, le président du Forum des chefs d'entreprise, Réda Hamiani. Le Premier ministre l'avait annoncé, plusieurs fois, pour fin septembre courant. Une première, les syndicats autonomes y siègeront aux côtés des chefs d'entreprises et de la centrale syndicale, UGTA. Finalement, la tripartite aura lieu à la fin de ce mois courant ou au plus tard, peut-être le 3 octobre. C'est ce qu'a annoncé, hier, sur les ondes de chaîne III de la Radio nationale, le président du Forum des chefs d'entreprise, Réda Hamiani. Le Premier ministre l'avait annoncé, plusieurs fois, pour fin septembre courant. Une première, les syndicats autonomes y siègeront aux côtés des chefs d'entreprises et de la centrale syndicale, UGTA. Très attendue par le patronat public et privé, la centrale syndicale UGTA et les syndicats autonomes dont ce sera la première participation à ce genre de rencontre qui réunissait traditionnellement, le gouvernement, les responsables des organisations patronales (publics et privés) et l'UGTA aura lieu, selon Réda Hamiani à la fin septembre ou au plus tard le 3 octobre. Le choix de la date est laissé à l'appréciation du Premier ministre Abdelmalek Sellal. « On attend la confirmation du Premier ministre », a précisé Réda Hamiani qui assure que « pour la première fois 8 ou 9 organisations patronales se sont entendues pour parler d'une seule voix ». Toutes les organisations patronales se sont réunies mardi, pour préparer des propositions à présenter au gouvernement pour booster l'économie hors hydrocarbures, a-t-il révélé. Le patron du FCE, avance que « les organisations patronales préparent deux documents à présenter au gouvernement ». Le premier à caractère politique qui devrait concerner les stratégies et les politiques à mener et les visions. «Nous allons interpeler les autorités sur le rôle de l'industrie de notre pays, la place que doivent occuper les importations, le soutien qui doit être apporté au secteur ». Réda Hamiani affirme que les organisations patronales ont eu des assurances et qu'une certaine convergence de points de vue s'est dégagée sur la nécessité d'organiser notre économie pour la relance de l'investissement. Pour le deuxième document, le président du FCE dira qu'il sera à caractère opérationnel. Il recensera l'ensemble des suggestions et des mesures que le patronat souhaite mettre sur la table pour améliorer le climat des affaires afin de tirer la croissance vers le haut et sortir du piège de la dépendance de l'extérieur par rapport aux hydrocarbures. Réda Hamiani, plaide pour la stabilité législative et exhorte les autorités à lever les ambigüités notamment sur le rôle de l'Etat et son intervention sur la sphère économique et la confirmation d'une poursuite de l'économie de marché. Il explique que l'Algérie a besoin d'une vision claire pour l'horizon 2020 et 2030. Pour cela, il exhorte les autorités à donner un éclairage sur leurs programmes à moyens et longs termes. Le chef du FCE revient sur ce qu'il qualifie « de gros problème ». Il s'agit de l'application des décisions de la tripartite sur le terrain. Selon lui, le « décalage est important » entre la volonté affichée par les autorités et la réalité vécue sur le terrain. « L'administration a de la peine à suivre les décisions prises par nos politiques », a-t-il déploré soulignant que « le grand handicap c'est cette différence entre la volonté politique affichée et cette administration qui traine dans l'exécution des décisions ». Il assure dans ce contexte que les patrons vont aborder frontalement, avec le Premier ministre, cette question pour étudier les mesures concrètes à prendre pour que ces décisions soient appliquées réellement. Très attendue par le patronat public et privé, la centrale syndicale UGTA et les syndicats autonomes dont ce sera la première participation à ce genre de rencontre qui réunissait traditionnellement, le gouvernement, les responsables des organisations patronales (publics et privés) et l'UGTA aura lieu, selon Réda Hamiani à la fin septembre ou au plus tard le 3 octobre. Le choix de la date est laissé à l'appréciation du Premier ministre Abdelmalek Sellal. « On attend la confirmation du Premier ministre », a précisé Réda Hamiani qui assure que « pour la première fois 8 ou 9 organisations patronales se sont entendues pour parler d'une seule voix ». Toutes les organisations patronales se sont réunies mardi, pour préparer des propositions à présenter au gouvernement pour booster l'économie hors hydrocarbures, a-t-il révélé. Le patron du FCE, avance que « les organisations patronales préparent deux documents à présenter au gouvernement ». Le premier à caractère politique qui devrait concerner les stratégies et les politiques à mener et les visions. «Nous allons interpeler les autorités sur le rôle de l'industrie de notre pays, la place que doivent occuper les importations, le soutien qui doit être apporté au secteur ». Réda Hamiani affirme que les organisations patronales ont eu des assurances et qu'une certaine convergence de points de vue s'est dégagée sur la nécessité d'organiser notre économie pour la relance de l'investissement. Pour le deuxième document, le président du FCE dira qu'il sera à caractère opérationnel. Il recensera l'ensemble des suggestions et des mesures que le patronat souhaite mettre sur la table pour améliorer le climat des affaires afin de tirer la croissance vers le haut et sortir du piège de la dépendance de l'extérieur par rapport aux hydrocarbures. Réda Hamiani, plaide pour la stabilité législative et exhorte les autorités à lever les ambigüités notamment sur le rôle de l'Etat et son intervention sur la sphère économique et la confirmation d'une poursuite de l'économie de marché. Il explique que l'Algérie a besoin d'une vision claire pour l'horizon 2020 et 2030. Pour cela, il exhorte les autorités à donner un éclairage sur leurs programmes à moyens et longs termes. Le chef du FCE revient sur ce qu'il qualifie « de gros problème ». Il s'agit de l'application des décisions de la tripartite sur le terrain. Selon lui, le « décalage est important » entre la volonté affichée par les autorités et la réalité vécue sur le terrain. « L'administration a de la peine à suivre les décisions prises par nos politiques », a-t-il déploré soulignant que « le grand handicap c'est cette différence entre la volonté politique affichée et cette administration qui traine dans l'exécution des décisions ». Il assure dans ce contexte que les patrons vont aborder frontalement, avec le Premier ministre, cette question pour étudier les mesures concrètes à prendre pour que ces décisions soient appliquées réellement.