Les sablières d'Oued Zhour (Jijel), dont l'exploitation irraisonnée a conduit à leur fermeture en raison de nuisances environnementales, seront rouvertes aux exploitants privés "à titre exceptionnel et pour une durée d'une année non renouvelable", a indiqué l'Agence nationale du patrimoine minier (ANPM ). Les sablières d'Oued Zhour (Jijel), dont l'exploitation irraisonnée a conduit à leur fermeture en raison de nuisances environnementales, seront rouvertes aux exploitants privés "à titre exceptionnel et pour une durée d'une année non renouvelable", a indiqué l'Agence nationale du patrimoine minier (ANPM ). Après l'examen par le Conseil d'administration de l'ANPM des recours introduits, il a été décidé d'émettre "exceptionnellement" un avis favorable pour des renouvellements des permis d'exploitation pour une durée d'une année non renouvelable à compter du 8 juin 2013, a ajouté la même source dans un communiqué transmis à l'APS. Les services de l'ANPM rappellent qu'en "stricte conformité avec les dispositions de la loi minière et de ses textes d'application, les renouvellements des permis d'exploitation des sablières d'Oued Z'hour avaient été rejetés une première fois en date du 04 juin 2013". Selon l'ANPM, à ce jour, deux sociétés seulement sur un total de sept ont déposé des dossiers conformes aux nouvelles exigences portant sur une durée d'une année non renouvelable. Cette mesure de réouverture exceptionnelle des sept sablières d'Oued Zhour, fermées récemment, est qualifiée de "raisonnable" par les responsables de la Direction de l'environnement de la wilaya de Jijel. "Vu l'ampleur de la demande en sable pour les projets de construction et compte tenu de l'exploitation frauduleuse dont ont longtemps fait l'objet les anciennes sablières (aujourd'hui fermées) du littoral jijelien et au regard, enfin, des prix exorbitants atteints par le sable au marché noir, il était judicieux d'opter pour une réouverture d'une année", a également souligné la Direction de l'environnement. Pour Massinissa Merakeb, inspecteur à la Direction de l'environnement, la quantité de sable extrait en une année demeure "contrôlable", alors qu'une extraction de ce matériau pendant la durée "traditionnelle" de dix ans "porte atteinte à l'équilibre écologique du littoral." La destruction des plages et des cordons dunaires, barrières naturelles protégeant les plaines littorales à vocation agricole, "nuit grandement à l'agriculture du littoral", ont expliqué des spécialistes pour qui "il s'agit d'opter pour des solutions rationnelles en mettant un terme à l'exploitation frauduleuse et effrénée du sable". Après l'examen par le Conseil d'administration de l'ANPM des recours introduits, il a été décidé d'émettre "exceptionnellement" un avis favorable pour des renouvellements des permis d'exploitation pour une durée d'une année non renouvelable à compter du 8 juin 2013, a ajouté la même source dans un communiqué transmis à l'APS. Les services de l'ANPM rappellent qu'en "stricte conformité avec les dispositions de la loi minière et de ses textes d'application, les renouvellements des permis d'exploitation des sablières d'Oued Z'hour avaient été rejetés une première fois en date du 04 juin 2013". Selon l'ANPM, à ce jour, deux sociétés seulement sur un total de sept ont déposé des dossiers conformes aux nouvelles exigences portant sur une durée d'une année non renouvelable. Cette mesure de réouverture exceptionnelle des sept sablières d'Oued Zhour, fermées récemment, est qualifiée de "raisonnable" par les responsables de la Direction de l'environnement de la wilaya de Jijel. "Vu l'ampleur de la demande en sable pour les projets de construction et compte tenu de l'exploitation frauduleuse dont ont longtemps fait l'objet les anciennes sablières (aujourd'hui fermées) du littoral jijelien et au regard, enfin, des prix exorbitants atteints par le sable au marché noir, il était judicieux d'opter pour une réouverture d'une année", a également souligné la Direction de l'environnement. Pour Massinissa Merakeb, inspecteur à la Direction de l'environnement, la quantité de sable extrait en une année demeure "contrôlable", alors qu'une extraction de ce matériau pendant la durée "traditionnelle" de dix ans "porte atteinte à l'équilibre écologique du littoral." La destruction des plages et des cordons dunaires, barrières naturelles protégeant les plaines littorales à vocation agricole, "nuit grandement à l'agriculture du littoral", ont expliqué des spécialistes pour qui "il s'agit d'opter pour des solutions rationnelles en mettant un terme à l'exploitation frauduleuse et effrénée du sable".