Les étudiants de Boumerdès montent au créneau. Des dizaines d'entre eux ont fermé, hier, la faculté des sciences ex-INIM pour soutenir les résidentes de la cité U des filles Ziane Lounès. Les résidentes se sont révoltées contre les mauvaises conditions d'hébergement dont elles réclament l'amélioration. Les étudiants de Boumerdès montent au créneau. Des dizaines d'entre eux ont fermé, hier, la faculté des sciences ex-INIM pour soutenir les résidentes de la cité U des filles Ziane Lounès. Les résidentes se sont révoltées contre les mauvaises conditions d'hébergement dont elles réclament l'amélioration. « Nous réclamons depuis plusieurs jours l'amélioration des conditions d'hébergement à la cité universitaire mais en vain », nous dira une étudiante qui affirme que des mouvements de grèves successifs y ont été menés à plusieurs reprises pour faire entendre leurs voix. Les manifestantes ont observé, dans la nuit de jeudi dernier, un rassemblement devant leur cité réclamant ainsi le départ de la directrice. Les plaignantes s'insurgent contre l'absence de plusieurs commodités notamment la fermeture de la bibliothèque et la mauvaise qualité de la connexion Internet. En sus de cela, les résidentes de la cité U qui compte une dizaine de pavillons, se sont révoltées contre la fermeture des douches se trouvant dans les pavillon et contre la mauvaise qualité des repas qui laissent à désirer, selon certaines filles. Pour réclamer un bon repas, les protestataires affirment avoir recouru à maintes reprises à la fermeture du resto U pour réclamer des repas dignes de ce nom. Hier, d'autres mouvements de protestation ont été signalés, également, au niveau de l'université de Boumerdès (ex-INH) en signe de solidarité avec les étudiantes de la cité U de l'ex-INIM. A l'heure où nous mettons sous presse, la grève des étudiants est maintenue alors que le début des cours lors de la rentrée universitaire avait été également perturbé par des actions de manifestations contre notamment le rachat des étudiants et l'accès au master pour d'autres. « Nous réclamons depuis plusieurs jours l'amélioration des conditions d'hébergement à la cité universitaire mais en vain », nous dira une étudiante qui affirme que des mouvements de grèves successifs y ont été menés à plusieurs reprises pour faire entendre leurs voix. Les manifestantes ont observé, dans la nuit de jeudi dernier, un rassemblement devant leur cité réclamant ainsi le départ de la directrice. Les plaignantes s'insurgent contre l'absence de plusieurs commodités notamment la fermeture de la bibliothèque et la mauvaise qualité de la connexion Internet. En sus de cela, les résidentes de la cité U qui compte une dizaine de pavillons, se sont révoltées contre la fermeture des douches se trouvant dans les pavillon et contre la mauvaise qualité des repas qui laissent à désirer, selon certaines filles. Pour réclamer un bon repas, les protestataires affirment avoir recouru à maintes reprises à la fermeture du resto U pour réclamer des repas dignes de ce nom. Hier, d'autres mouvements de protestation ont été signalés, également, au niveau de l'université de Boumerdès (ex-INH) en signe de solidarité avec les étudiantes de la cité U de l'ex-INIM. A l'heure où nous mettons sous presse, la grève des étudiants est maintenue alors que le début des cours lors de la rentrée universitaire avait été également perturbé par des actions de manifestations contre notamment le rachat des étudiants et l'accès au master pour d'autres.