La menace du paludisme, la malaria et les zoonoses doivent bénéficier dans l'urgence d'un plan ORSEC et d'une stratégie de lutte. Ces maladies transmises essentiellement par des insectes peuvent causer des pertes humaines étant donné que leur prolifération est surtout dans le Sud. La menace du paludisme, la malaria et les zoonoses doivent bénéficier dans l'urgence d'un plan ORSEC et d'une stratégie de lutte. Ces maladies transmises essentiellement par des insectes peuvent causer des pertes humaines étant donné que leur prolifération est surtout dans le Sud. L'Algérie table désormais sur une stratégie multisectorielle pour une action sanitaire susceptible d'enrayer toute menace de maladies à transmission vectorielle (MTV), a indiqué jeudi dernier à Ghardaïa, le secrétaire général du ministère de la Santé, Abdelhak Sayhi. Lors d'un séminaire ayant regroupé les cadres du ministère et experts de l'OMS, les autorités ont convenu de mettre en œuvre un plan pour mettre un plan appelé « règlement sanitaire international » ou RSI visant à « intégrer l'Algérie dans le vaste processus mondial de vigilance, d'alerte et de riposte face aux menaces et aux événements sanitaires émergents et réémergents ». Ainsi, la lutte contre des maladies telles que le paludisme d'importation, la malaria, les zoonoses et certaines maladies infectieuses causées par des virus nouveaux feront l'objet, selon Sayhi « d'une surveillance accrue et d'une alerte précoce afin d'avoir une riposte prompte ». Les responsables de santé des wilayas du Sud ont fortement recommandé « l'établissement d'une cartographie des menaces et des ressources disponibles, ainsi que l'actualisation du plan ORSEC en conformité avec les dispositifs du RSI, la mise en place d'un mécanisme de coordination de la communication en prévision de situations d'urgence, ainsi que le renforcement des programmes d'inspection et les plans de gestion des risque, pour une meilleure supervision et coordination des interventions». Les intervenants ont plaidé aussi pour l'amélioration des infrastructures des services chargés du contrôle sanitaire aux postes d'entrée en les dotant d'équipements de communication et d'inspection pour l'adoption de mesures sanitaires. Rappelons qu'au mois de novembre dernier, des cas de paludisme ont été détectés sur des personnes dont la provenance vient des endroits marécageux dans certaines villes du Sud. A signaler que 2 décès suite à ces infections ont été enregistrés. Pour de telles menaces, les directeurs des hôpitaux du Sud et responsables de santé de ces wilayas ont insisté sur «le renforcement de la collaboration intersectorielle et transfrontalière pour une meilleure surveillance des maladies et événements de santé publique de portée internationale». Dans cet ordre d'idées, il y a l'urgence de mettre au point «les textes juridiques répondant aux besoins de son fonctionnement de ce plan y compris le statut juridique des autorités compétentes aux points d'entrée et postes frontaliers, la conformité du système national de surveillance en fonction des dispositions du RSI». Pour ainsi dire, les responsables de santé de ces wilayas, ont saisi l'opportunité pour «le renforcement des capacités d'intervention rapide en cas d'urgence de santé publique en Algérie, en mettant un accent sur l'établissement des procédures et la pratique des évaluations». L'Algérie table désormais sur une stratégie multisectorielle pour une action sanitaire susceptible d'enrayer toute menace de maladies à transmission vectorielle (MTV), a indiqué jeudi dernier à Ghardaïa, le secrétaire général du ministère de la Santé, Abdelhak Sayhi. Lors d'un séminaire ayant regroupé les cadres du ministère et experts de l'OMS, les autorités ont convenu de mettre en œuvre un plan pour mettre un plan appelé « règlement sanitaire international » ou RSI visant à « intégrer l'Algérie dans le vaste processus mondial de vigilance, d'alerte et de riposte face aux menaces et aux événements sanitaires émergents et réémergents ». Ainsi, la lutte contre des maladies telles que le paludisme d'importation, la malaria, les zoonoses et certaines maladies infectieuses causées par des virus nouveaux feront l'objet, selon Sayhi « d'une surveillance accrue et d'une alerte précoce afin d'avoir une riposte prompte ». Les responsables de santé des wilayas du Sud ont fortement recommandé « l'établissement d'une cartographie des menaces et des ressources disponibles, ainsi que l'actualisation du plan ORSEC en conformité avec les dispositifs du RSI, la mise en place d'un mécanisme de coordination de la communication en prévision de situations d'urgence, ainsi que le renforcement des programmes d'inspection et les plans de gestion des risque, pour une meilleure supervision et coordination des interventions». Les intervenants ont plaidé aussi pour l'amélioration des infrastructures des services chargés du contrôle sanitaire aux postes d'entrée en les dotant d'équipements de communication et d'inspection pour l'adoption de mesures sanitaires. Rappelons qu'au mois de novembre dernier, des cas de paludisme ont été détectés sur des personnes dont la provenance vient des endroits marécageux dans certaines villes du Sud. A signaler que 2 décès suite à ces infections ont été enregistrés. Pour de telles menaces, les directeurs des hôpitaux du Sud et responsables de santé de ces wilayas ont insisté sur «le renforcement de la collaboration intersectorielle et transfrontalière pour une meilleure surveillance des maladies et événements de santé publique de portée internationale». Dans cet ordre d'idées, il y a l'urgence de mettre au point «les textes juridiques répondant aux besoins de son fonctionnement de ce plan y compris le statut juridique des autorités compétentes aux points d'entrée et postes frontaliers, la conformité du système national de surveillance en fonction des dispositions du RSI». Pour ainsi dire, les responsables de santé de ces wilayas, ont saisi l'opportunité pour «le renforcement des capacités d'intervention rapide en cas d'urgence de santé publique en Algérie, en mettant un accent sur l'établissement des procédures et la pratique des évaluations».