Les habitants de Hadjout ont vécu, avant-hier, une nuit cauchemardesque lorsqu'ils ont entendu plusieurs rafales près de leurs habitations croyant qu'il s'agissait d'une attaque préparée par un groupe terroriste à l'occasion de la fin de l'année 2013. Les habitants de Hadjout ont vécu, avant-hier, une nuit cauchemardesque lorsqu'ils ont entendu plusieurs rafales près de leurs habitations croyant qu'il s'agissait d'une attaque préparée par un groupe terroriste à l'occasion de la fin de l'année 2013. Un mort et quatre personnes blessées tel est le bilan provisoire des suites des tirs des rafales survenus, avant-hier, vers 20H30 dans un village de Hadjout, suite à une altercation verbale entre un patriote et ses voisins qui a tourné, très vite, à un véritable cauchemar, selon une source proche de la Gendarmerie nationale locale. En effet, suite à un différend sur un espace de stationnement des véhicules ayant éclaté entre un patriote âgé de 60 ans avec ses voisins, ce dernier a laissé échapper ses nerfs en décidant d'utiliser son kalachnikov tout en tirant plusieurs balles contre tout ce qui bouge. Le bilan est lourd, un mort et quatre blessés parmi les voisins. C'est à la suite de ces tirs de rafales ayant déchiré le silence d'une nuit de «réveillon» que l'ensemble de la population locale dudit village ait cru à une attaque planifiée par un groupe terroriste à l'occasion de la nuit de fin de l'année. Résultat, une grosse panique a éclaté et les cris des femmes venaient de toutes parts. Alerté via le numéro vert « 10 55 », les gendarmes de Hadjout ont très vite réagi en intervenant après quelques minutes seulement sur le lieu de l'incident, d'autant plus qu'une patrouille de la SSI (section de sécurité et d'intervention) se trouvait à 5 kilomètres seulement du carnage. L'intervention des gendarmes est survenue au moment où le patriote, apparemment déchaîné et décidé à faire le maximum de victimes, a pris en otage sa propre famille composée de plusieurs enfants et d'autres membres. L'arrivée des gendarmes, une quarantaine selon la même source, a permis de boucler toutes les issues menant au dehors du village. En se scindant en trois groupes, les gendarmes ont bouclé les entrées et sorties du village, alors qu'une autre équipe de gendarmes a encerclé la demeure du patriote où il s'est réfugié avec ses otages, et qu'une troisième équipe de gendarmes a commencé à négocier avec le ravisseur et ce, en utilisant un véhicule blindé. Les gendarmes d'intervention qui appartiennent à la SSI portaient des gilets pare-balles et des casques métalliques car ils faisaient face à un homme fou furieux et bien armé et, surtout, apte à faire le maximum de victimes. Quatre gendarmes snipers étaient positionnés sur les toits des maisons des voisins cela afin de parer à un éventuel tir contre le ravisseur. Le temps était très réduit pour les gendarmes et il était question de maîtriser l'homme avant qu'il ne fasse d'autres victimes. C'est ainsi qu'au bout de 15 minutes de négociations que le commandant de l'opération a donné le feu vert à ses éléments pour passer à l'assaut. En enfonçant la porte, les gendarmes ont trouvé l'arme à feu, le kalachnikov, du patriote posé par terre et le patriote assis à genoux et les mains levées. Aucune balle n'a été tirée, fort heureusement, par les gendarmes lors de cet assaut, insiste la source de la Gendarmerie nationale. Arrêté et emmené vers le siège de la brigade territoriale de Hadjout, le patriote a été consulté par un médecin du moment qu'il était dans un état psychique lamentable. Ce n'est qu'après deux heures qu'il a été entendu par les gendarmes-enquêteurs. Par ailleurs, une équipe de gendarmes-experts se trouvait sur le lieu du crime pour procéder aux prélèvements d'indices dans le cadre de l'enquête. Un mort et quatre personnes blessées tel est le bilan provisoire des suites des tirs des rafales survenus, avant-hier, vers 20H30 dans un village de Hadjout, suite à une altercation verbale entre un patriote et ses voisins qui a tourné, très vite, à un véritable cauchemar, selon une source proche de la Gendarmerie nationale locale. En effet, suite à un différend sur un espace de stationnement des véhicules ayant éclaté entre un patriote âgé de 60 ans avec ses voisins, ce dernier a laissé échapper ses nerfs en décidant d'utiliser son kalachnikov tout en tirant plusieurs balles contre tout ce qui bouge. Le bilan est lourd, un mort et quatre blessés parmi les voisins. C'est à la suite de ces tirs de rafales ayant déchiré le silence d'une nuit de «réveillon» que l'ensemble de la population locale dudit village ait cru à une attaque planifiée par un groupe terroriste à l'occasion de la nuit de fin de l'année. Résultat, une grosse panique a éclaté et les cris des femmes venaient de toutes parts. Alerté via le numéro vert « 10 55 », les gendarmes de Hadjout ont très vite réagi en intervenant après quelques minutes seulement sur le lieu de l'incident, d'autant plus qu'une patrouille de la SSI (section de sécurité et d'intervention) se trouvait à 5 kilomètres seulement du carnage. L'intervention des gendarmes est survenue au moment où le patriote, apparemment déchaîné et décidé à faire le maximum de victimes, a pris en otage sa propre famille composée de plusieurs enfants et d'autres membres. L'arrivée des gendarmes, une quarantaine selon la même source, a permis de boucler toutes les issues menant au dehors du village. En se scindant en trois groupes, les gendarmes ont bouclé les entrées et sorties du village, alors qu'une autre équipe de gendarmes a encerclé la demeure du patriote où il s'est réfugié avec ses otages, et qu'une troisième équipe de gendarmes a commencé à négocier avec le ravisseur et ce, en utilisant un véhicule blindé. Les gendarmes d'intervention qui appartiennent à la SSI portaient des gilets pare-balles et des casques métalliques car ils faisaient face à un homme fou furieux et bien armé et, surtout, apte à faire le maximum de victimes. Quatre gendarmes snipers étaient positionnés sur les toits des maisons des voisins cela afin de parer à un éventuel tir contre le ravisseur. Le temps était très réduit pour les gendarmes et il était question de maîtriser l'homme avant qu'il ne fasse d'autres victimes. C'est ainsi qu'au bout de 15 minutes de négociations que le commandant de l'opération a donné le feu vert à ses éléments pour passer à l'assaut. En enfonçant la porte, les gendarmes ont trouvé l'arme à feu, le kalachnikov, du patriote posé par terre et le patriote assis à genoux et les mains levées. Aucune balle n'a été tirée, fort heureusement, par les gendarmes lors de cet assaut, insiste la source de la Gendarmerie nationale. Arrêté et emmené vers le siège de la brigade territoriale de Hadjout, le patriote a été consulté par un médecin du moment qu'il était dans un état psychique lamentable. Ce n'est qu'après deux heures qu'il a été entendu par les gendarmes-enquêteurs. Par ailleurs, une équipe de gendarmes-experts se trouvait sur le lieu du crime pour procéder aux prélèvements d'indices dans le cadre de l'enquête.