Les participants à une journée d'étude sur "la prise en charge des handicapés" ont insisté, la semaine dernière à Constantine, sur la nécessité de former, pour les centres psychopédagogiques, des personnels hautement qualifiés. Les participants à une journée d'étude sur "la prise en charge des handicapés" ont insisté, la semaine dernière à Constantine, sur la nécessité de former, pour les centres psychopédagogiques, des personnels hautement qualifiés. Ouahiba Amirouche, psychologue au centre psychopédagogique pour enfants déficients mentaux d'Ali-Mendjeli, a estimé, au cours de cette rencontre organisée par la Direction de l'action sociale (DAS) dans le cadre de la célébration de la Journée nationale des handicapés (14 mars), qu'"un psychologue-clinicien ou un orthophoniste, seuls dans un centre, ne peuvent suffire pour prendre en charge tous les besoins de l'handicapé et doivent être secondés par des éducateurs et des enseignants spécialisés". Une spécialité que les responsables de l'enseignement supérieur ont "négligé", selon cette responsable qui a souligné "le rôle et l'importance de cette formation dans l'amélioration du niveau des éducateurs et des enseignants, tout en assurant une meilleure prise en charge de cette frange sociale fragilisée". L'insertion professionnelle du handicapé, son accès au logement et au sport et l'intégration scolaire des personnes sourdes ou malentendantes, ont été au centre de l'intervention de Mounia Chelekh, enseignante spécialisée à l'école des jeunes sourds-muets d'El-Mansourah. Cette spécialiste a mis l'accent sur "la nécessité d'aménager des espaces de loisirs et de mettre en place des équipements sportifs adaptés" pour les personnes aux besoins spécifiques, y compris les sourds et malentendants au nombre de 2.000 dans la wilaya de Constantine. Les conférencières ont également déploré "l'absence d'informations sur la consanguinité dans la société algérienne", insistant, à ce propos, sur "le rôle des médias dans la sensibilisation des citoyens aux risques liés à ce phénomène qui constitue l'une des principales causes du handicap en Algérie". D'autres communications portant sur la prise en charge psychologique des handicapés ont également été développées au cours de cette journée d'étude organisée au Centre national de formation des personnels spécialisés des établissements pour handicapés (CNFPH), en présence des cadres de la DAS et de représentants d'associations versées dans la prise en charge des personnes aux besoins spécifiques. Ouahiba Amirouche, psychologue au centre psychopédagogique pour enfants déficients mentaux d'Ali-Mendjeli, a estimé, au cours de cette rencontre organisée par la Direction de l'action sociale (DAS) dans le cadre de la célébration de la Journée nationale des handicapés (14 mars), qu'"un psychologue-clinicien ou un orthophoniste, seuls dans un centre, ne peuvent suffire pour prendre en charge tous les besoins de l'handicapé et doivent être secondés par des éducateurs et des enseignants spécialisés". Une spécialité que les responsables de l'enseignement supérieur ont "négligé", selon cette responsable qui a souligné "le rôle et l'importance de cette formation dans l'amélioration du niveau des éducateurs et des enseignants, tout en assurant une meilleure prise en charge de cette frange sociale fragilisée". L'insertion professionnelle du handicapé, son accès au logement et au sport et l'intégration scolaire des personnes sourdes ou malentendantes, ont été au centre de l'intervention de Mounia Chelekh, enseignante spécialisée à l'école des jeunes sourds-muets d'El-Mansourah. Cette spécialiste a mis l'accent sur "la nécessité d'aménager des espaces de loisirs et de mettre en place des équipements sportifs adaptés" pour les personnes aux besoins spécifiques, y compris les sourds et malentendants au nombre de 2.000 dans la wilaya de Constantine. Les conférencières ont également déploré "l'absence d'informations sur la consanguinité dans la société algérienne", insistant, à ce propos, sur "le rôle des médias dans la sensibilisation des citoyens aux risques liés à ce phénomène qui constitue l'une des principales causes du handicap en Algérie". D'autres communications portant sur la prise en charge psychologique des handicapés ont également été développées au cours de cette journée d'étude organisée au Centre national de formation des personnels spécialisés des établissements pour handicapés (CNFPH), en présence des cadres de la DAS et de représentants d'associations versées dans la prise en charge des personnes aux besoins spécifiques.