Au septième jour de la campagne électorale, il se précise de plus en plus que la bataille électorale est en train de tourner à un duel à distance entre deux candidats. Au septième jour de la campagne électorale, il se précise de plus en plus que la bataille électorale est en train de tourner à un duel à distance entre deux candidats. Le Président sortant, Abdelaziz Bouteflika, et son ex-chef de gouvernement, Ali Benflis, paraissent être les mieux placés puisque ils semblent avoir plusieurs longueurs d'avance sur les quatre autres candidats, à savoir Louisa Hanoune, secrétaire général du Parti des travailleurs, Fawzi Rebaine, président de AHD 54, Moussa Touati, président du FNA, Abdelaziz Belaid, président du Front El-Moutakbal, dont c'est le baptême de feu puisque il ne s'est jamais présenté à une élection présidentielle auparavant. Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis, qui se sont déjà affronté lors des élections présidentielles de 2004, ont jeté toutes leurs forces dans la bataille électorale. Le Président candidat, absent pour cette campagne électorale pour les raisons que tout un chacun connaît, a mobilisé beaucoup de monde durant cette campagne électorale qui prendra fin le 13 avril prochain. En effet, en plus du directeur de sa campagne électorale, Abdelmalek Sellal, Amar Saadani, secrétaire general du FLN, Amar Ghoul, président du parti TAJ, Amara Benyounès, patron du MPA et Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République, qui battent le pavé depuis le premier jour de la campagne électorale, d'autres personnalités, sont venues en renfort quelques jours après. C'est le cas de Abdelkader Bensalah,secrétaire general du RND et néanmoins président du Conseil de la nation, qui a animé son premier meeting électoral jeudi dernier, Ahmed Ouyahia, ancien secrétaire général de cette même formation politique et qui a été recemment nommé ministre d'Etat directeur de cabinet du président de la République , qui s'est lui aussi joint à la mêlée vendredi passé et Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l'APN, qui a animé hier à Alger, son premier meeting électoral. Le candidat Ali Benflis, qui mène lui même sa campagne contrairement à son rival, n'est pas en reste puisque lui aussi a mobilisé plusieurs chefs de partis politiques qui soutiennent sa candidature afin de mener la campagne en sa faveur. L'on peut ainsi citer Tahar Benbaibeche, chef du parti Fajr El Djadid ou encore Djamal Benabdessalam, président du FAN. Benflis bénéficie aussi du soutien de nombreuses personnalités, à l'exemple d'Ahmed Bencherif, ex-commandant de la Gendarmerie nationale qui a animé hier une conférence de presse durant laquelle il a tiré à boulets rouges sur le candidat Bouteflika emboîtant ainsi le pas à son favori. En effet, Benflis ne rate aucune occasion pour descendre en flammes le Président sortant en critiquant de manière acerbe son bilan à la tête du pays. En somme, les deux candidats ont mis beaucoup de moyens dans la balance afin de s'assurer les faveurs des électeurs algériens le 17 avril prochain. Un rendez vous électoral qui risque fort bien d'être un remake du précèdent duel où, faut-il le rappeler, le président Abdelaziz Bouteflika, qui briguait à l'occasion son deuxième mandat, à balayé son rival puisque Ali Benflis a été nettement et largement battu. Lors de cette élection de 2004, qui a fait couler beaucoup d'encre, Ali Benflis a certes occupé la deuxième place du classement, mais il était loin, très loin même, du score réalisé par le Président sortant, Abdelaziz Bouteflika. Le candidat malheureux n'a en effet obtenu que 6,42 % des suffrages des électeurs algériens. En termes de voix 653.951 électeurs avaient accordé leurs faveurs au candidat Ali Benflis. Ce dernier n'a pas du tout fait le poids devant Bouteflika qui a, quant à lui, enregistré l'adhésion à son programme électoral de pas moins de 8.651.723 électeurs, soit 84,99 % des suffrages. C'est dire combien l'écart était assez grand entre les deux candidats. Dix années après ce premier revers, Benflis, qui refuse tous les appels l'invitant à se retirer de la course, revient avec une grande détermination et croit fermement en ses chances comme l'attestent si bien ses discours électoraux. Le Président sortant, Abdelaziz Bouteflika, et son ex-chef de gouvernement, Ali Benflis, paraissent être les mieux placés puisque ils semblent avoir plusieurs longueurs d'avance sur les quatre autres candidats, à savoir Louisa Hanoune, secrétaire général du Parti des travailleurs, Fawzi Rebaine, président de AHD 54, Moussa Touati, président du FNA, Abdelaziz Belaid, président du Front El-Moutakbal, dont c'est le baptême de feu puisque il ne s'est jamais présenté à une élection présidentielle auparavant. Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis, qui se sont déjà affronté lors des élections présidentielles de 2004, ont jeté toutes leurs forces dans la bataille électorale. Le Président candidat, absent pour cette campagne électorale pour les raisons que tout un chacun connaît, a mobilisé beaucoup de monde durant cette campagne électorale qui prendra fin le 13 avril prochain. En effet, en plus du directeur de sa campagne électorale, Abdelmalek Sellal, Amar Saadani, secrétaire general du FLN, Amar Ghoul, président du parti TAJ, Amara Benyounès, patron du MPA et Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République, qui battent le pavé depuis le premier jour de la campagne électorale, d'autres personnalités, sont venues en renfort quelques jours après. C'est le cas de Abdelkader Bensalah,secrétaire general du RND et néanmoins président du Conseil de la nation, qui a animé son premier meeting électoral jeudi dernier, Ahmed Ouyahia, ancien secrétaire général de cette même formation politique et qui a été recemment nommé ministre d'Etat directeur de cabinet du président de la République , qui s'est lui aussi joint à la mêlée vendredi passé et Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l'APN, qui a animé hier à Alger, son premier meeting électoral. Le candidat Ali Benflis, qui mène lui même sa campagne contrairement à son rival, n'est pas en reste puisque lui aussi a mobilisé plusieurs chefs de partis politiques qui soutiennent sa candidature afin de mener la campagne en sa faveur. L'on peut ainsi citer Tahar Benbaibeche, chef du parti Fajr El Djadid ou encore Djamal Benabdessalam, président du FAN. Benflis bénéficie aussi du soutien de nombreuses personnalités, à l'exemple d'Ahmed Bencherif, ex-commandant de la Gendarmerie nationale qui a animé hier une conférence de presse durant laquelle il a tiré à boulets rouges sur le candidat Bouteflika emboîtant ainsi le pas à son favori. En effet, Benflis ne rate aucune occasion pour descendre en flammes le Président sortant en critiquant de manière acerbe son bilan à la tête du pays. En somme, les deux candidats ont mis beaucoup de moyens dans la balance afin de s'assurer les faveurs des électeurs algériens le 17 avril prochain. Un rendez vous électoral qui risque fort bien d'être un remake du précèdent duel où, faut-il le rappeler, le président Abdelaziz Bouteflika, qui briguait à l'occasion son deuxième mandat, à balayé son rival puisque Ali Benflis a été nettement et largement battu. Lors de cette élection de 2004, qui a fait couler beaucoup d'encre, Ali Benflis a certes occupé la deuxième place du classement, mais il était loin, très loin même, du score réalisé par le Président sortant, Abdelaziz Bouteflika. Le candidat malheureux n'a en effet obtenu que 6,42 % des suffrages des électeurs algériens. En termes de voix 653.951 électeurs avaient accordé leurs faveurs au candidat Ali Benflis. Ce dernier n'a pas du tout fait le poids devant Bouteflika qui a, quant à lui, enregistré l'adhésion à son programme électoral de pas moins de 8.651.723 électeurs, soit 84,99 % des suffrages. C'est dire combien l'écart était assez grand entre les deux candidats. Dix années après ce premier revers, Benflis, qui refuse tous les appels l'invitant à se retirer de la course, revient avec une grande détermination et croit fermement en ses chances comme l'attestent si bien ses discours électoraux.