La 103e session de la Conférence internationale de travail à partir du 28 mai à Genève vient de décider de classer l'Algérie parmi les 25 pays qui seront étudiés par la commission de l'application des normes de l'OIT, selon un communiqué parvenu à notre rédaction et émanant du Snapap et signé par son SG Rachid Malaoui. Pour rappel l'OIT est une instance qui dépend de l'Onu alors que la commission de l'application des normes est une commission permanente de la Conférence internationale du travail, elle est composée de représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs. La 103e session de la Conférence internationale de travail à partir du 28 mai à Genève vient de décider de classer l'Algérie parmi les 25 pays qui seront étudiés par la commission de l'application des normes de l'OIT, selon un communiqué parvenu à notre rédaction et émanant du Snapap et signé par son SG Rachid Malaoui. Pour rappel l'OIT est une instance qui dépend de l'Onu alors que la commission de l'application des normes est une commission permanente de la Conférence internationale du travail, elle est composée de représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs. « Le Gouvernement Algérien a était l'objet de nombreuses plaintes émanant des organisations syndicales, cela a commencé en 2001 par le Snapap puis renforcé par d'autres syndicats autonomes », précise le communiqué qui rajoute que si jusqu'à présent le comité de la liberté syndicale de l'OIT avait à plusieurs reprises invité l'Algérie à mettre en conformité ses textes de loi avec les conventions ratifiées et à avoir une pratique conforme aux lois et règlementations, il n'en demeure pas moins que ces recommandations restaient le plus souvent lettre morte. De fait la prise en charge du cas Algérie par en premier lieu la commission des experts puis par la commission de l'application des normes de l'OIT « permettra une étude fouillée du cas algérien en matière de non-respect du libre exercice du droit syndical et de non-conformité avec les conventions ratifiées par l'Algérie », précise la correspondance. La commission pourra alors demander à l'Algérie de prendre des mesures précises pour apporter une solution à un problème ou à accepter des missions ou l'assistance technique du BIT. Lors de l'étude du cas Algérie interviendront le représentant du groupe des travailleurs ainsi que celui des employeurs. Ces interventions seront suivies par celles du représentant du gouvernement algérien, celui de l'UGTA ainsi que celui du Snapap qui seront elles-mêmes appuyées par celles des amis du gouvernement algérien, des amis de l'UGTA et les amis du Snapap, indique encore le communiqué. « Le Gouvernement Algérien a était l'objet de nombreuses plaintes émanant des organisations syndicales, cela a commencé en 2001 par le Snapap puis renforcé par d'autres syndicats autonomes », précise le communiqué qui rajoute que si jusqu'à présent le comité de la liberté syndicale de l'OIT avait à plusieurs reprises invité l'Algérie à mettre en conformité ses textes de loi avec les conventions ratifiées et à avoir une pratique conforme aux lois et règlementations, il n'en demeure pas moins que ces recommandations restaient le plus souvent lettre morte. De fait la prise en charge du cas Algérie par en premier lieu la commission des experts puis par la commission de l'application des normes de l'OIT « permettra une étude fouillée du cas algérien en matière de non-respect du libre exercice du droit syndical et de non-conformité avec les conventions ratifiées par l'Algérie », précise la correspondance. La commission pourra alors demander à l'Algérie de prendre des mesures précises pour apporter une solution à un problème ou à accepter des missions ou l'assistance technique du BIT. Lors de l'étude du cas Algérie interviendront le représentant du groupe des travailleurs ainsi que celui des employeurs. Ces interventions seront suivies par celles du représentant du gouvernement algérien, celui de l'UGTA ainsi que celui du Snapap qui seront elles-mêmes appuyées par celles des amis du gouvernement algérien, des amis de l'UGTA et les amis du Snapap, indique encore le communiqué.