Le président du parti Tajamou Amal El Djazair (TAJ), Amar Ghoul, a plaidé, vendredi à Tipasa, pour une constitution prospective, consensuelle, garantissant la séparation des pouvoirs. Le président du parti Tajamou Amal El Djazair (TAJ), Amar Ghoul, a plaidé, vendredi à Tipasa, pour une constitution prospective, consensuelle, garantissant la séparation des pouvoirs. "L'Algérie a passé une échéance sensible (l'élection présidentielle d'avril 2014) et il est temps pour que le président de la République concrétise ses engagements électoraux à travers l'ouverture d'un large débat sur la révision de la Constitution", a souligné M. Ghoul, lors de son allocution d'ouverture des travaux du Conseil national de son parti. "Ce débat doit être ouvert à toutes les composantes du peuple algérien afin d'enrichir le contenu de la nouvelle loi suprême du pays", a-t-il ajouté, estimant que la prochaine constitution doit également assurer la complémentarité et l'équilibre entre les trois pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire). Il a également suggéré que la prochaine constitution ne soit pas conjoncturelle. "Cette Constitution doit répondre aux aspirations du peuple, notamment la frange juvénile et mettre l'intérêt de l'Algérie au dessus de toute autre considération", a-t-il indiqué. Qualifiant la révision de la Constitution de "la plus grande et la plus profonde des réformes politiques", le président de TAJ a appelé toutes les forces vives du pays à "contribuer activement à ce projet" , par des propositions prospectives prenant en compte les aspirations de la jeunesse et des cadres nationaux dans le pays ou établis à l'étranger rapporte l'APS. Les propositions de TAJ concernant ce projet portent sur neuf principaux aspects, dont les principes fondamentaux et les constantes nationales, les libertés individuelles et collectives, la nature du régime, l'organisation des pouvoirs, le contrôle constitutionnel, les institutions, etc., a encore affirmé M. Ghoul. La tenue du Conseil national de TAJ, qui coïncide avec la commémoration du décès du cheikh Mahfoudh Nahnah, a été une occasion pour rendre hommage à cet homme "fondateur de l'école de la modération", selon Amar Ghoul. Les travaux du conseil national de TAJ se poursuivront en ateliers à huis clos jusqu'à samedi pour débattre des propositions du parti concernant la révision constitutionnelle. M. Ghoul sera reçu dans quelque jours par le ministre d'Etat, directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, dans le cadre des consultations sur le projet de la révision de la Constitution. "L'Algérie a passé une échéance sensible (l'élection présidentielle d'avril 2014) et il est temps pour que le président de la République concrétise ses engagements électoraux à travers l'ouverture d'un large débat sur la révision de la Constitution", a souligné M. Ghoul, lors de son allocution d'ouverture des travaux du Conseil national de son parti. "Ce débat doit être ouvert à toutes les composantes du peuple algérien afin d'enrichir le contenu de la nouvelle loi suprême du pays", a-t-il ajouté, estimant que la prochaine constitution doit également assurer la complémentarité et l'équilibre entre les trois pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire). Il a également suggéré que la prochaine constitution ne soit pas conjoncturelle. "Cette Constitution doit répondre aux aspirations du peuple, notamment la frange juvénile et mettre l'intérêt de l'Algérie au dessus de toute autre considération", a-t-il indiqué. Qualifiant la révision de la Constitution de "la plus grande et la plus profonde des réformes politiques", le président de TAJ a appelé toutes les forces vives du pays à "contribuer activement à ce projet" , par des propositions prospectives prenant en compte les aspirations de la jeunesse et des cadres nationaux dans le pays ou établis à l'étranger rapporte l'APS. Les propositions de TAJ concernant ce projet portent sur neuf principaux aspects, dont les principes fondamentaux et les constantes nationales, les libertés individuelles et collectives, la nature du régime, l'organisation des pouvoirs, le contrôle constitutionnel, les institutions, etc., a encore affirmé M. Ghoul. La tenue du Conseil national de TAJ, qui coïncide avec la commémoration du décès du cheikh Mahfoudh Nahnah, a été une occasion pour rendre hommage à cet homme "fondateur de l'école de la modération", selon Amar Ghoul. Les travaux du conseil national de TAJ se poursuivront en ateliers à huis clos jusqu'à samedi pour débattre des propositions du parti concernant la révision constitutionnelle. M. Ghoul sera reçu dans quelque jours par le ministre d'Etat, directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, dans le cadre des consultations sur le projet de la révision de la Constitution.