La réapparition de la fièvre aphteuse à l'est du pays a mis les autorités en alerte. Les services du ministère de l'Agriculture ont annoncé l'achat de 900.000 doses de vaccin pour le cheptel ovin et bovins. Une mesure qui vise à renforcer la lutte contre une maladie virale qui risque de faire des dégâts. La réapparition de la fièvre aphteuse à l'est du pays a mis les autorités en alerte. Les services du ministère de l'Agriculture ont annoncé l'achat de 900.000 doses de vaccin pour le cheptel ovin et bovins. Une mesure qui vise à renforcer la lutte contre une maladie virale qui risque de faire des dégâts. Ce sont les services vétérinaires du ministère de l'Agriculture qui ont annoncé rapidement l'achat de ces doses de deux grands laboratoires européens afin de prévenir contre d'éventuelles contaminations. La fièvre aphteuse, maladie virale qui se transmet uniquement entre les animaux a décimé des centaines de bovins ces derniers jours aux environs de Sétif. Mais son extension à d'autres régions à savoir Béjaïa, Bouira et Constantine peut être fatale pour l'élevage de milliers de têtes ovines et bovines. Déjà, près de 20.000 bovins d'engraissement ont été touchés par la maladie selon un 1er bilan établi par le ministère de l'Agriculture. Mais on fait savoir « qu'une nouvelle campagne de vaccination de cheptel bovin débutera prochainement sachant que deux campagnes précédentes avaient concerné en mars et en juin près de 1,6 million de têtes bovines sur 1,8 million de têtes » a déclaré à la presse le responsable des services vétérinaires du ministère de l'Agriculture. Les autorités publiques ont déjà établi un plan pour circonscrire ces foyers d'infection et d'interdire au niveau des frontières tunisiennes et libyennes toute importation de cheptel. Pis, l'importation des vaches d'engraissement sera prohibée essentiellement de la Tunisie qui a vu en mai dernier, des passages de cheptel bovin à des prix défiant la concurrence et dont quelques têtes étaient porteuses du virus. Des inspections supplémentaires seront entamées dans la plupart des abattoirs animaliers et la suspension temporaire des marchés d'animaux ovin et bovin pour contrôle. Il est à noter que la délivrance d'un certificat de santé par les vétérinaires dans les marchés officiels est rendue maintenant obligatoire. De même que les procédures routinières de contrôle durant l'abattage et après sont également imposées depuis des années après avoir constaté les manquements et défaillances dans les parcs d'abattage. Le mesures sanitaires et sécuritaires seront ainsi étendues même au niveau des autres frontières où un trafic de contrebande notoire a sévi pour faire passer des centaines de têtes ovines par jour. Les enquêtes seront diligentées pour identifier les réseaux de contrebande où déjà les services de sécurité sont en vigilance dans le grand Sud. Les DSA sont instruites de communiquer à l'ensemble des éleveurs l'importance de signaler les cas de fièvre aphteuse afin de maîtriser la situation avant la déclaration de foyers pandémiques. Pour les experts en la matière, les éleveurs ne doivent pas agir seuls car c'est aux vétérinaires et autres spécialistes en biologie animale de procéder aux mesures de contrôle et de vaccination. Ce sont les services vétérinaires du ministère de l'Agriculture qui ont annoncé rapidement l'achat de ces doses de deux grands laboratoires européens afin de prévenir contre d'éventuelles contaminations. La fièvre aphteuse, maladie virale qui se transmet uniquement entre les animaux a décimé des centaines de bovins ces derniers jours aux environs de Sétif. Mais son extension à d'autres régions à savoir Béjaïa, Bouira et Constantine peut être fatale pour l'élevage de milliers de têtes ovines et bovines. Déjà, près de 20.000 bovins d'engraissement ont été touchés par la maladie selon un 1er bilan établi par le ministère de l'Agriculture. Mais on fait savoir « qu'une nouvelle campagne de vaccination de cheptel bovin débutera prochainement sachant que deux campagnes précédentes avaient concerné en mars et en juin près de 1,6 million de têtes bovines sur 1,8 million de têtes » a déclaré à la presse le responsable des services vétérinaires du ministère de l'Agriculture. Les autorités publiques ont déjà établi un plan pour circonscrire ces foyers d'infection et d'interdire au niveau des frontières tunisiennes et libyennes toute importation de cheptel. Pis, l'importation des vaches d'engraissement sera prohibée essentiellement de la Tunisie qui a vu en mai dernier, des passages de cheptel bovin à des prix défiant la concurrence et dont quelques têtes étaient porteuses du virus. Des inspections supplémentaires seront entamées dans la plupart des abattoirs animaliers et la suspension temporaire des marchés d'animaux ovin et bovin pour contrôle. Il est à noter que la délivrance d'un certificat de santé par les vétérinaires dans les marchés officiels est rendue maintenant obligatoire. De même que les procédures routinières de contrôle durant l'abattage et après sont également imposées depuis des années après avoir constaté les manquements et défaillances dans les parcs d'abattage. Le mesures sanitaires et sécuritaires seront ainsi étendues même au niveau des autres frontières où un trafic de contrebande notoire a sévi pour faire passer des centaines de têtes ovines par jour. Les enquêtes seront diligentées pour identifier les réseaux de contrebande où déjà les services de sécurité sont en vigilance dans le grand Sud. Les DSA sont instruites de communiquer à l'ensemble des éleveurs l'importance de signaler les cas de fièvre aphteuse afin de maîtriser la situation avant la déclaration de foyers pandémiques. Pour les experts en la matière, les éleveurs ne doivent pas agir seuls car c'est aux vétérinaires et autres spécialistes en biologie animale de procéder aux mesures de contrôle et de vaccination.