Le président de la région autonome du Kurdistan irakien Massoud Barzani a affirme mardi que l'Iran avait été le premier pays à fournir des armes à la région secouée par une offensive fulgurante d'insurgés menés par les éléments de l'Etat islamique (EI) dans le nord de l'Irak. Le président de la région autonome du Kurdistan irakien Massoud Barzani a affirme mardi que l'Iran avait été le premier pays à fournir des armes à la région secouée par une offensive fulgurante d'insurgés menés par les éléments de l'Etat islamique (EI) dans le nord de l'Irak. "La République islamique d'Iran a été le premier Etat à nous aider (...) et à nous fournir des armes et du matériel", a affirmé M. Barzani, lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif qui effectue une visite de deux jours en Irak. Ce pays est plongé dans le chaos depuis le début, le 9 juin, d'une offensive d'insurgés menée par des éléments de l'EI, qui ont relancé leurs opérations début août en se dirigeant vers le Kurdistan irakien. Pour l'Iran, aider les combattants kurdes "peshmergas" est une démarche stratégique car ces derniers contrôlent une partie des régions irakiennes longeant la frontière iranienne. M. Zarif a néanmoins réaffirmé qu'aucun soldat iranien n'était présent en Irak en dépit des conseils que l'Iran reconnaît fournir au gouvernement et aux Kurdes irakiens. "Le peuple irakien a besoin d'aide, y compris une aide sur les questions de défense (...) mais nous n'avons aucun soldat en Irak, et nous n'avons pas l'intention d'en envoyer", a-t-il assuré. "La République islamique d'Iran a été le premier Etat à nous aider (...) et à nous fournir des armes et du matériel", a affirmé M. Barzani, lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif qui effectue une visite de deux jours en Irak. Ce pays est plongé dans le chaos depuis le début, le 9 juin, d'une offensive d'insurgés menée par des éléments de l'EI, qui ont relancé leurs opérations début août en se dirigeant vers le Kurdistan irakien. Pour l'Iran, aider les combattants kurdes "peshmergas" est une démarche stratégique car ces derniers contrôlent une partie des régions irakiennes longeant la frontière iranienne. M. Zarif a néanmoins réaffirmé qu'aucun soldat iranien n'était présent en Irak en dépit des conseils que l'Iran reconnaît fournir au gouvernement et aux Kurdes irakiens. "Le peuple irakien a besoin d'aide, y compris une aide sur les questions de défense (...) mais nous n'avons aucun soldat en Irak, et nous n'avons pas l'intention d'en envoyer", a-t-il assuré.