Un peu plus d'un mois après la rentrée scolaire le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'Education (Cnapeste) monte au creneau et exprime son insatisfaction de la situation qui prévaut dans le secteur, le tableau qu'il dresse est en effet des plus négatifs. Un peu plus d'un mois après la rentrée scolaire le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'Education (Cnapeste) monte au creneau et exprime son insatisfaction de la situation qui prévaut dans le secteur, le tableau qu'il dresse est en effet des plus négatifs. Le Cnapeste, de loin le syndicat le plus représentatif dans ce secteur sensible et stratégique, met en avant, notamment, la problématique de la surcharge des classes, un phénomène fortement décrié par les enseignants. Le syndicat n'hésite pas aussi à interpeller le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en lui rappelant les engagements qu'il a pris devant la communauté des enseignants et des travailleurs de l'Education nationale. Le Conseil national du Cnapeste « invite le Premier ministre à être à la hauteur des attentes des professeurs et enseignants en respectant les engagements pris suite au dernier mouvement de grève des syndicats » note, en effet, le communiqué rendu public avant-hier soir qui a sanctionné les travaux de la session de la plus haute instance du syndicat tenue le 11 octobre denier à Alger. Le Conseil national du Cnapest considère que « la rentrée scolaire s'est déroulée dans un contexte extraordinaire marqué notamment par la surcharge des classes, un manque flagrant d'infrastructures scolaires ainsi qu'un manque dans l'encadrement pédagogique et administrative » lit-on dans le communiqué signé de la main du coordinateur national du syndicat, Nouar Larbi. Le syndicat reproche aux pouvoirs publics l'absence d'une politique claire en matière de protection des établissements scolaires contre les agressions extérieures. Il est aussi fait mention du cas des établissements dans le sud du pays. A ce sujet le Cnapeste indique que de « nombreuses wilayas de cette région ont connue des situations difficiles ». Le début des cours a été, par voie de conséquence, retardé de trois semaines dans certaines wilayas du Sud. Le syndicat exprime ainsi son désenchantement suite aux réactions mitigées du ministère par rapport aux revendications avancées et la poursuite de pratiques bureaucratiques. Dans ce même registre le ministère est accusé de n'avoir « initié aucun dialogue sérieux avec le syndicat ». Pis encore le Cnapeste accuse la tutelle « de violer les procès-verbaux signés entre les deux parties et de ne pas tenir ses engagements comme c'est le cas pour l'innervation dans les nouveaux grades ». Comme on le remarque le tableau est loin d'être reluisant. Ce d'autant que le syndicat a remis sur la table les vieux dossiers qui sont toujours en suspens et qui attendent des solutions depuis de très nombreuses années. Il s'agit ainsi, comme cela a été répertorié par le syndicat, des questions « de la médecine du travail, du logement, des professeurs de l'enseignement technique, de l'indemnité de zone dans les wilayas du Sud ainsi que du dossier relatif aux oeuvres sociales ». Sur ce dernier point le communiqué met en avant la « non installation de la commission gouvernementale ». Durcissant le ton le syndicat, qui a indiqué qu'il « n'abandonnerait en aucun cas ses revendications légitimes », a mis en garde la tutelle et a invité les enseignants à se préparer à l'effet d'initier de grandes actions de protestations. Le Cnapeste décidera, vers la fin du mois d'octobre en cours après la réunion de son conseil national, de la nature des actions de protestations qu'il compte organiser. Le Cnapeste, de loin le syndicat le plus représentatif dans ce secteur sensible et stratégique, met en avant, notamment, la problématique de la surcharge des classes, un phénomène fortement décrié par les enseignants. Le syndicat n'hésite pas aussi à interpeller le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en lui rappelant les engagements qu'il a pris devant la communauté des enseignants et des travailleurs de l'Education nationale. Le Conseil national du Cnapeste « invite le Premier ministre à être à la hauteur des attentes des professeurs et enseignants en respectant les engagements pris suite au dernier mouvement de grève des syndicats » note, en effet, le communiqué rendu public avant-hier soir qui a sanctionné les travaux de la session de la plus haute instance du syndicat tenue le 11 octobre denier à Alger. Le Conseil national du Cnapest considère que « la rentrée scolaire s'est déroulée dans un contexte extraordinaire marqué notamment par la surcharge des classes, un manque flagrant d'infrastructures scolaires ainsi qu'un manque dans l'encadrement pédagogique et administrative » lit-on dans le communiqué signé de la main du coordinateur national du syndicat, Nouar Larbi. Le syndicat reproche aux pouvoirs publics l'absence d'une politique claire en matière de protection des établissements scolaires contre les agressions extérieures. Il est aussi fait mention du cas des établissements dans le sud du pays. A ce sujet le Cnapeste indique que de « nombreuses wilayas de cette région ont connue des situations difficiles ». Le début des cours a été, par voie de conséquence, retardé de trois semaines dans certaines wilayas du Sud. Le syndicat exprime ainsi son désenchantement suite aux réactions mitigées du ministère par rapport aux revendications avancées et la poursuite de pratiques bureaucratiques. Dans ce même registre le ministère est accusé de n'avoir « initié aucun dialogue sérieux avec le syndicat ». Pis encore le Cnapeste accuse la tutelle « de violer les procès-verbaux signés entre les deux parties et de ne pas tenir ses engagements comme c'est le cas pour l'innervation dans les nouveaux grades ». Comme on le remarque le tableau est loin d'être reluisant. Ce d'autant que le syndicat a remis sur la table les vieux dossiers qui sont toujours en suspens et qui attendent des solutions depuis de très nombreuses années. Il s'agit ainsi, comme cela a été répertorié par le syndicat, des questions « de la médecine du travail, du logement, des professeurs de l'enseignement technique, de l'indemnité de zone dans les wilayas du Sud ainsi que du dossier relatif aux oeuvres sociales ». Sur ce dernier point le communiqué met en avant la « non installation de la commission gouvernementale ». Durcissant le ton le syndicat, qui a indiqué qu'il « n'abandonnerait en aucun cas ses revendications légitimes », a mis en garde la tutelle et a invité les enseignants à se préparer à l'effet d'initier de grandes actions de protestations. Le Cnapeste décidera, vers la fin du mois d'octobre en cours après la réunion de son conseil national, de la nature des actions de protestations qu'il compte organiser.