Le mouvement de la société pur la paix (MSP) est sans doute au seuil d'une nouvelle crise interne. En effet la rencontre d'Aboudjerra Soltani avec la direction du FFS dans le cadre des consultations de ce dernier parti en perspective de la conférence nationale de consensus, dans l'après-midi de mercredi dernier , a suscité la réaction de la direction du MSP. Le mouvement de la société pur la paix (MSP) est sans doute au seuil d'une nouvelle crise interne. En effet la rencontre d'Aboudjerra Soltani avec la direction du FFS dans le cadre des consultations de ce dernier parti en perspective de la conférence nationale de consensus, dans l'après-midi de mercredi dernier , a suscité la réaction de la direction du MSP. Une réaction dans laquelle il est clairement dit que la direction du MSP désapprouve cette rencontre. « Nous affirmons que cette rencontre s'est déroulée sans le consentement des institutions du mouvement » note le communiqué signé par le secrétaire national chargé de la communication et de l'information, Zinedine Tebal, ajoutant que « les institutions du mouvement vont examiner cette question conformément aux résolutions et règlements du mouvement ». Un ton menaçant qui ne laisse aucun doute sur le rejet total de cette rencontre de deux anciens dirigeants du mouvement avec le plus vieux parti de l'opposition. Car lors de cette rencontre qui a eu pour cadre le siége du FFS, l'ancien président du MSP, Aboudjerra Soltani, était accompagné par Abderahmane Saidi, l'ancien président du Conseil consultatif du mouvement. Le communiqué soutient, en outre , que «la seule partie en charge de l'opération politique est le bureau national et que toute action en dehors de ce cadre ne doit pas être prise en compte par l'opinion publique encore moins à l'intérieur du mouvement. Nous invitions à la discipline afin d'éviter toutes les actions les actions qui parasitent la position du mouvement et ses politiques qui sont du seul ressort des institutions ». Ce communiqué en dit long sur le dépit du président du MSP , Abderazak Makri même s'il n'a pas luimême signé le communiqué puisque il a confié cette tâche à Zinedine Tebal. Ce courroux a sans doute été provoqué non seulement par la rencontre elle même, mais surtout par les déclarations d'Aboudjerra Soltani. Ce dernier, allant carrément à l'opposé de la direction du MSP qui a pour rappel rejeté l'initiative du FFS, a indiqué que l'action du parti cher à Hocine Ait Ahmed mérite tous les égards puisque elle plaide pour le dialogue entre tous les acteurs politiques afin de trouver une solution à la crise que traverse le pays. Enfoncant encore un peu plus le clou , comme pour critiquer la position de Abderazak Makri, Aboudjerra Soltani a aussi souligné que le père fondateur du mouvement, feu Mahfoiudh Nahnah, a toujours appelé au dialogue. Comme quoi Abderazak Makri, semblait dire Aboudjerra Soltani, n'est pas respectueux du legs de Nahnah. Aboudjerra Soltani n'est pas à sa première action indiquant son opposition à celui qui lui a succédé à la tête du MSP. On se rappelle l'épisode des dernières élections présidentielles du 17 avril ou il a failli prendre une autre position que celle du mouvement qui a plaidé en faveur du boycott . Soltani a laissé plané le suspense avant de finir par rejoindre les rangs . Mais il est évident que cette fois ci il est allé très loin ce d'autant qu'il était accompagné par Abderahmane Saidi , un autre opposant notoire à Abderazak Makri, qu'il a d'ailleurs défié lors des élections pour la présidence du mouvement . Il est incontestable que les deux personnalités représentent un courant à l'intérieur du mouvement. Un courant qui voit d'un mauvais oeil le basculement du parti dans l'opposition frontale au pouvoir. En tout cas cette rencontre avec la direction du FFS pourrait être le point de départ d'une nouvelle crise interne au MSP dont on ne mesure pas pour le moment l'ampleur. Une réaction dans laquelle il est clairement dit que la direction du MSP désapprouve cette rencontre. « Nous affirmons que cette rencontre s'est déroulée sans le consentement des institutions du mouvement » note le communiqué signé par le secrétaire national chargé de la communication et de l'information, Zinedine Tebal, ajoutant que « les institutions du mouvement vont examiner cette question conformément aux résolutions et règlements du mouvement ». Un ton menaçant qui ne laisse aucun doute sur le rejet total de cette rencontre de deux anciens dirigeants du mouvement avec le plus vieux parti de l'opposition. Car lors de cette rencontre qui a eu pour cadre le siége du FFS, l'ancien président du MSP, Aboudjerra Soltani, était accompagné par Abderahmane Saidi, l'ancien président du Conseil consultatif du mouvement. Le communiqué soutient, en outre , que «la seule partie en charge de l'opération politique est le bureau national et que toute action en dehors de ce cadre ne doit pas être prise en compte par l'opinion publique encore moins à l'intérieur du mouvement. Nous invitions à la discipline afin d'éviter toutes les actions les actions qui parasitent la position du mouvement et ses politiques qui sont du seul ressort des institutions ». Ce communiqué en dit long sur le dépit du président du MSP , Abderazak Makri même s'il n'a pas luimême signé le communiqué puisque il a confié cette tâche à Zinedine Tebal. Ce courroux a sans doute été provoqué non seulement par la rencontre elle même, mais surtout par les déclarations d'Aboudjerra Soltani. Ce dernier, allant carrément à l'opposé de la direction du MSP qui a pour rappel rejeté l'initiative du FFS, a indiqué que l'action du parti cher à Hocine Ait Ahmed mérite tous les égards puisque elle plaide pour le dialogue entre tous les acteurs politiques afin de trouver une solution à la crise que traverse le pays. Enfoncant encore un peu plus le clou , comme pour critiquer la position de Abderazak Makri, Aboudjerra Soltani a aussi souligné que le père fondateur du mouvement, feu Mahfoiudh Nahnah, a toujours appelé au dialogue. Comme quoi Abderazak Makri, semblait dire Aboudjerra Soltani, n'est pas respectueux du legs de Nahnah. Aboudjerra Soltani n'est pas à sa première action indiquant son opposition à celui qui lui a succédé à la tête du MSP. On se rappelle l'épisode des dernières élections présidentielles du 17 avril ou il a failli prendre une autre position que celle du mouvement qui a plaidé en faveur du boycott . Soltani a laissé plané le suspense avant de finir par rejoindre les rangs . Mais il est évident que cette fois ci il est allé très loin ce d'autant qu'il était accompagné par Abderahmane Saidi , un autre opposant notoire à Abderazak Makri, qu'il a d'ailleurs défié lors des élections pour la présidence du mouvement . Il est incontestable que les deux personnalités représentent un courant à l'intérieur du mouvement. Un courant qui voit d'un mauvais oeil le basculement du parti dans l'opposition frontale au pouvoir. En tout cas cette rencontre avec la direction du FFS pourrait être le point de départ d'une nouvelle crise interne au MSP dont on ne mesure pas pour le moment l'ampleur.