Décidément au FLN on semble affectionner les crises et les luttes intestines. En effet, le plus vieux parti n'arrive pas à se défaire de ses tiraillements internes. Des tiraillements qui vont certainement aller en s'accélérant au fur et à mesure que se rapproche l'échéance du prochain congrès , prévu au premier semestre de l'année 2015. Décidément au FLN on semble affectionner les crises et les luttes intestines. En effet, le plus vieux parti n'arrive pas à se défaire de ses tiraillements internes. Des tiraillements qui vont certainement aller en s'accélérant au fur et à mesure que se rapproche l'échéance du prochain congrès , prévu au premier semestre de l'année 2015. Le secrétaire général, Amar Saïdani, fait ainsi face à une nouvelle fronde. Lui qui croyait pourtant avoir réduit au silence ses détracteurs emmenés par son prédécesseur, Abdelaziz Belkhadem, est confronté de nouveau à la contestation. Ainsi en sus du refus de larges pans de militants et cadres de la restructuration organique à travers la création de nouvelles mouhafadhas, la contestation a aussi gagné les rangs des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN). Des dizaines de députés, appuyés semble -t-il par des membres du comité central, s'apprêteraient à monter au créneau et faire part de leur opposition ouverte à Amar Saïdani.Cette nouvelle fronde a pour objectif la destitution du secrétaire général du FLN et l'élection d'un nouveau secrétaire général. Amar Saïdani est suspecté, afin de rester à la tête du parti, de programmer un congrès « sur mesure » afin de demeurer à son poste pour un mandat de cinq années. Selon certaines indiscrétions c'est le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, qui serait le principal instigateur de cette nouvelle fronde. A cette fronde Saïdani ferait aussi face à la grogne qui se fait entendre de plus en plus au sein de la base militante. Il y a juste quelques jours des dizaines de militants et cadres, dont certains membres du comité central et d'anciens membres du bureau politique, ont manifesté leur mécontentement devant le siège national du parti. Et n'était-ce l'intervention des forces de l'ordre, la situation aurait peut être connu des dérapages. « Saïdani dégage » scandaient les manifestants. C'est dire que la tension a atteint son comble et rien n'indique qu'elle ne va pas aller en s'amplifiant durant les jours et les semaines à venir. En décidant de créer de nouvelles mouhafadhas et de les pourvoir par conséquent de nouveaux responsables, le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, rencontre, par ailleurs, moult difficultés. Cette décision a provoqué des remous au sein du parti comme l'attestent les résistances émanant de la base militante. Les résistances que rencontre cette décision illustrent on ne peut mieux cette situation. Les militants en sont même venus aux mains lors de l'installation des nouveaux mouhafahds. La création de nouvelles mouhafadhas ou le limogeage des mouhafadhs sont perçus comme une manoeuvre de Amar Saïdani à la veille de la tenue du prochain congrès du parti prévue dans quelques mois. A travers cette opération Saïdani, dit-on, compte asseoir sa mainmise sur le FLN et mettre ainsi tous les atouts de son côté lors du prochain conclave. Au sein du parti, il se dit que les victimes de cette restructuration sont surtout les partisans de l'ancien secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem. Amar Saïdani pense, en tout cas, que c'est Belkhadem qui est derrière la dernière manifestation devant le siège du parti. Le secrétaire général contesté, qui dit que la majorité des membres du comité central est de son côté, prépare déjà sa riposte. Il va ainsi réunir les mouhafadhs samedi prochain à l'effet d'avoir leur soutien et prouver à ses détracteurs que leurs assertions ne sont pas fondées. Le secrétaire général, Amar Saïdani, fait ainsi face à une nouvelle fronde. Lui qui croyait pourtant avoir réduit au silence ses détracteurs emmenés par son prédécesseur, Abdelaziz Belkhadem, est confronté de nouveau à la contestation. Ainsi en sus du refus de larges pans de militants et cadres de la restructuration organique à travers la création de nouvelles mouhafadhas, la contestation a aussi gagné les rangs des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN). Des dizaines de députés, appuyés semble -t-il par des membres du comité central, s'apprêteraient à monter au créneau et faire part de leur opposition ouverte à Amar Saïdani.Cette nouvelle fronde a pour objectif la destitution du secrétaire général du FLN et l'élection d'un nouveau secrétaire général. Amar Saïdani est suspecté, afin de rester à la tête du parti, de programmer un congrès « sur mesure » afin de demeurer à son poste pour un mandat de cinq années. Selon certaines indiscrétions c'est le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, qui serait le principal instigateur de cette nouvelle fronde. A cette fronde Saïdani ferait aussi face à la grogne qui se fait entendre de plus en plus au sein de la base militante. Il y a juste quelques jours des dizaines de militants et cadres, dont certains membres du comité central et d'anciens membres du bureau politique, ont manifesté leur mécontentement devant le siège national du parti. Et n'était-ce l'intervention des forces de l'ordre, la situation aurait peut être connu des dérapages. « Saïdani dégage » scandaient les manifestants. C'est dire que la tension a atteint son comble et rien n'indique qu'elle ne va pas aller en s'amplifiant durant les jours et les semaines à venir. En décidant de créer de nouvelles mouhafadhas et de les pourvoir par conséquent de nouveaux responsables, le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, rencontre, par ailleurs, moult difficultés. Cette décision a provoqué des remous au sein du parti comme l'attestent les résistances émanant de la base militante. Les résistances que rencontre cette décision illustrent on ne peut mieux cette situation. Les militants en sont même venus aux mains lors de l'installation des nouveaux mouhafahds. La création de nouvelles mouhafadhas ou le limogeage des mouhafadhs sont perçus comme une manoeuvre de Amar Saïdani à la veille de la tenue du prochain congrès du parti prévue dans quelques mois. A travers cette opération Saïdani, dit-on, compte asseoir sa mainmise sur le FLN et mettre ainsi tous les atouts de son côté lors du prochain conclave. Au sein du parti, il se dit que les victimes de cette restructuration sont surtout les partisans de l'ancien secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem. Amar Saïdani pense, en tout cas, que c'est Belkhadem qui est derrière la dernière manifestation devant le siège du parti. Le secrétaire général contesté, qui dit que la majorité des membres du comité central est de son côté, prépare déjà sa riposte. Il va ainsi réunir les mouhafadhs samedi prochain à l'effet d'avoir leur soutien et prouver à ses détracteurs que leurs assertions ne sont pas fondées.