Selon le rapport de référence annuel de l'UIT "Mesurer la société de l'information", plus de trois milliards de personnes sont désormais en ligne et les technologies de l'information et de la communication (TIC) continuent de croître à un rythme soutenu dans presque tous les pays du monde. Selon le rapport de référence annuel de l'UIT "Mesurer la société de l'information", plus de trois milliards de personnes sont désormais en ligne et les technologies de l'information et de la communication (TIC) continuent de croître à un rythme soutenu dans presque tous les pays du monde. Mais malheureusement l'Algérie est toujours à la traîne par rapport à son développement. Elle occupe ainsi toujours la même place qu'en 2012, à savoir la 114e place mondiale, le pays est également parmi les 5 pays du monde arabe, aux côtés du Soudan, de la Mauritanie, du Yémen et de Djibouti, au niveau de l'indice de développement le plus faible. Au niveau maghrébin, elle se classe bonne dernière (13e au niveau régional), derrière la Tunisie et le Maroc, respectivement 10 et 9e au niveau régional. Malgré un indice de développement de 3,42 en 2013, soit une amélioration de 0,12 par rapport à l'IDI de 2012, l'Algérie se maintient à la 114e mondiale, d'autres pays ayant énormément progressé en une année, à l'image de la Thaïlande et du Cap-Vert (+10 places). Le Danemark arrive en tête du classement mondial de l'Indice de développement des TIC (IDI). De l'avis général, ce rapport constitue un recueil et une analyse des données les plus fiables et les plus impartiales en ce qui concerne le niveau de développement des TIC dans le monde. Il est couramment utilisé par des gouvernements, des institutions financières et des analystes du secteur privé du monde entier. D'après les données les plus récentes, l'utilisation de l'Internet continue de croître à un rythme constant, à un taux de 6,6% en 2014 (3,3% dans les pays développés, 8,7% dans les pays en développement). Le nombre d'internautes dans les pays en développement a doublé entre 2009 et 2014, et ces pays regroupent désormais les deux tiers des personnes connectées dans le monde. Sur les 4,3 milliards de personnes qui n'utilisent pas encore l'Internet, 90% vivent dans des pays en développement. Dans les 42 pays les moins connectés, qui comptent au total 2,5 milliards d'habitants, il reste très difficile d'avoir accès aux TIC, en particulier pour les nombreux habitants des zones rurales. "Les TIC peuvent rendre le monde bien meilleur, en particulier pour les plus démunis, y compris les femmes, les jeunes et les personnes handicapées", a déclaré le secrétaire général de l'UIT, le Dr Hamadoun I. Touré. "Ce rapport revêt une importance cruciale dans l'optique du développement des TIC au niveau mondial. En effet, il est indispensable de procéder à des mesures pour suivre les progrès accomplis, et c'est pourquoi l'UIT collecte des statistiques sur les TIC concernant 200 pays et portant sur plus de 100 indicateurs." Dans le secteur de la téléphonie mobile, on estime que d'ici à la fin de 2014, le nombre d'abonnements atteindra les sept milliards, ce qui correspond approximativement à la population mondiale. Toutefois, cela ne signifie pas que tous les habitants de la planète sont connectés, car de nombreux utilisateurs possèdent plusieurs abonnements, et parfois la croissance observée sur le plan mondial ne se traduit concrètement que par de minces progrès au niveau de la connectivité des plus défavorisés. On estime que 450 millions de personnes vivent dans des endroits qui ne sont toujours pas desservis par la téléphonie mobile. Signe encourageant, les pays pauvres ont réalisé des progrès notables en ce qui concerne l'accès à la largeur de bande internationale. Celle-ci est aujourd'hui utilisée à hauteur de plus de 30% par les pays en développement, contre à peine 9% en 2004. Cependant, le manque de largeur de bande Internet internationale disponible dans bon nombre des pays les moins connectés demeure un obstacle important à l'adoption des TIC dans ces pays, et limite souvent la qualité de l'accès Internet. Les 30 premières places du classement sont occupées par des pays européens, ainsi que par des pays à revenu élevé d'autres régions, comme l'Australie, Bahreïn, le Canada, les Etats-Unis, le Japon, Macao (Chine), la Nouvelle- Zélande et Singapour. Presque tous les pays ayant participé à l'enquête ont progressé au classement de l'indice IDI cette année. Concernant les comparaisons entre les régions, l'indice IDI moyen de l'Europe (7,14) reste nettement supérieur à celui de la région suivante, à savoir la Communauté des Etats indépendants (CEI, 5,33), qui devance elle-même la région Amériques (4,86), la région Asie- Pacifique (4,47), les Etats arabes (4,55) et l'Afrique (2,31). La CEI et les Etats arabes sont les régions dont l'indice IDI moyen a le plus progressé au cours des douze derniers mois. Fin 2014, 44%, ou peu s'en faut, des ménages auront un accès Internet au domicile, alors qu'ils n'étaient que 40% un an avant et 30% quatre ans avant. 78% des ménages des pays développés ont maintenant un accès à l'Internet, contre 31% pour ceux des pays en développement et à peine 5% pour ceux des 48 pays figurant sur la liste des pays les moins avancés établie par les Nations unies. L'accès à l'Internet dans les écoles a nettement augmenté ces dix dernières années. Dans les pays développés, la grande majorité des écoles ont maintenant accès à l'Internet large bande et certains pays industrialisés ont déjà atteint un taux de connectivité de 100%. Dans les pays en développement, des progrès très nets ont également été accomplis, mais il existe de grandes disparités en termes de niveau d'accès, non seulement entre les pays, mais aussi entre les différentes régions à l'intérieur des pays. Le rapport indique que le potentiel des bibliothèques publiques et des bureaux de poste qui peuvent servir de points publics d'accès aux TIC n'est pas encore pleinement exploité. Seulement 10% des bureaux de poste dans le monde offrent cet accès, alors que 20% d'entre eux disposent d'une connexion large bande. Selon l'Union postale universelle, organisation qui, comme l'UIT, fait partie du système des Nations unies, si l'on parvenait à ce que 45% des bureaux de poste offrent un accès public à l'Internet, un tiers de toutes les zones rurales et des villes dans le monde aurait accès à la connectivité Internet. Mais malheureusement l'Algérie est toujours à la traîne par rapport à son développement. Elle occupe ainsi toujours la même place qu'en 2012, à savoir la 114e place mondiale, le pays est également parmi les 5 pays du monde arabe, aux côtés du Soudan, de la Mauritanie, du Yémen et de Djibouti, au niveau de l'indice de développement le plus faible. Au niveau maghrébin, elle se classe bonne dernière (13e au niveau régional), derrière la Tunisie et le Maroc, respectivement 10 et 9e au niveau régional. Malgré un indice de développement de 3,42 en 2013, soit une amélioration de 0,12 par rapport à l'IDI de 2012, l'Algérie se maintient à la 114e mondiale, d'autres pays ayant énormément progressé en une année, à l'image de la Thaïlande et du Cap-Vert (+10 places). Le Danemark arrive en tête du classement mondial de l'Indice de développement des TIC (IDI). De l'avis général, ce rapport constitue un recueil et une analyse des données les plus fiables et les plus impartiales en ce qui concerne le niveau de développement des TIC dans le monde. Il est couramment utilisé par des gouvernements, des institutions financières et des analystes du secteur privé du monde entier. D'après les données les plus récentes, l'utilisation de l'Internet continue de croître à un rythme constant, à un taux de 6,6% en 2014 (3,3% dans les pays développés, 8,7% dans les pays en développement). Le nombre d'internautes dans les pays en développement a doublé entre 2009 et 2014, et ces pays regroupent désormais les deux tiers des personnes connectées dans le monde. Sur les 4,3 milliards de personnes qui n'utilisent pas encore l'Internet, 90% vivent dans des pays en développement. Dans les 42 pays les moins connectés, qui comptent au total 2,5 milliards d'habitants, il reste très difficile d'avoir accès aux TIC, en particulier pour les nombreux habitants des zones rurales. "Les TIC peuvent rendre le monde bien meilleur, en particulier pour les plus démunis, y compris les femmes, les jeunes et les personnes handicapées", a déclaré le secrétaire général de l'UIT, le Dr Hamadoun I. Touré. "Ce rapport revêt une importance cruciale dans l'optique du développement des TIC au niveau mondial. En effet, il est indispensable de procéder à des mesures pour suivre les progrès accomplis, et c'est pourquoi l'UIT collecte des statistiques sur les TIC concernant 200 pays et portant sur plus de 100 indicateurs." Dans le secteur de la téléphonie mobile, on estime que d'ici à la fin de 2014, le nombre d'abonnements atteindra les sept milliards, ce qui correspond approximativement à la population mondiale. Toutefois, cela ne signifie pas que tous les habitants de la planète sont connectés, car de nombreux utilisateurs possèdent plusieurs abonnements, et parfois la croissance observée sur le plan mondial ne se traduit concrètement que par de minces progrès au niveau de la connectivité des plus défavorisés. On estime que 450 millions de personnes vivent dans des endroits qui ne sont toujours pas desservis par la téléphonie mobile. Signe encourageant, les pays pauvres ont réalisé des progrès notables en ce qui concerne l'accès à la largeur de bande internationale. Celle-ci est aujourd'hui utilisée à hauteur de plus de 30% par les pays en développement, contre à peine 9% en 2004. Cependant, le manque de largeur de bande Internet internationale disponible dans bon nombre des pays les moins connectés demeure un obstacle important à l'adoption des TIC dans ces pays, et limite souvent la qualité de l'accès Internet. Les 30 premières places du classement sont occupées par des pays européens, ainsi que par des pays à revenu élevé d'autres régions, comme l'Australie, Bahreïn, le Canada, les Etats-Unis, le Japon, Macao (Chine), la Nouvelle- Zélande et Singapour. Presque tous les pays ayant participé à l'enquête ont progressé au classement de l'indice IDI cette année. Concernant les comparaisons entre les régions, l'indice IDI moyen de l'Europe (7,14) reste nettement supérieur à celui de la région suivante, à savoir la Communauté des Etats indépendants (CEI, 5,33), qui devance elle-même la région Amériques (4,86), la région Asie- Pacifique (4,47), les Etats arabes (4,55) et l'Afrique (2,31). La CEI et les Etats arabes sont les régions dont l'indice IDI moyen a le plus progressé au cours des douze derniers mois. Fin 2014, 44%, ou peu s'en faut, des ménages auront un accès Internet au domicile, alors qu'ils n'étaient que 40% un an avant et 30% quatre ans avant. 78% des ménages des pays développés ont maintenant un accès à l'Internet, contre 31% pour ceux des pays en développement et à peine 5% pour ceux des 48 pays figurant sur la liste des pays les moins avancés établie par les Nations unies. L'accès à l'Internet dans les écoles a nettement augmenté ces dix dernières années. Dans les pays développés, la grande majorité des écoles ont maintenant accès à l'Internet large bande et certains pays industrialisés ont déjà atteint un taux de connectivité de 100%. Dans les pays en développement, des progrès très nets ont également été accomplis, mais il existe de grandes disparités en termes de niveau d'accès, non seulement entre les pays, mais aussi entre les différentes régions à l'intérieur des pays. Le rapport indique que le potentiel des bibliothèques publiques et des bureaux de poste qui peuvent servir de points publics d'accès aux TIC n'est pas encore pleinement exploité. Seulement 10% des bureaux de poste dans le monde offrent cet accès, alors que 20% d'entre eux disposent d'une connexion large bande. Selon l'Union postale universelle, organisation qui, comme l'UIT, fait partie du système des Nations unies, si l'on parvenait à ce que 45% des bureaux de poste offrent un accès public à l'Internet, un tiers de toutes les zones rurales et des villes dans le monde aurait accès à la connectivité Internet.