Les villes algériennes sont sous le coup de la menace d'inondations. Un système de prévention des crues au cas où la pluviosité sera abondante. Les villes algériennes sont sous le coup de la menace d'inondations. Un système de prévention des crues au cas où la pluviosité sera abondante. Avec ces dernières pluies orageuses avec un débit constant, les villes algériennes sont menacées par la survenue de crues qui peuvent causer par l'effet d'inondations de graves dégâts. On a en mémoire, la dévastation de Béchar par un niveau élevé des eaux souterraines qui ont envahi presque toute la ville. La menace se fait sur les toutes les agglomérations qui ont accusé un retard dans la mise en place du plan contre les inondations. Pour prévenir, les autorités des Ressources en eau et ceux de l'Intérieur font déjà une campagne pour lutter contre la montée des eaux par rapport au niveau de la mer dans les localités du littoral mais n'omettent pas les villes des steppes qui ont aussi leurs lots de craintes. Pourtant, un tel travail devait en fait se dérouler avant la saison des grandes pluies et averses. Le plan qui a été mis en vigueur il y a deux ans permet de réaménager les villes côtières sujettes à l'abondance de la pluviosité mais un nettoyage et curage des avaloirs restent le meilleur moyen de prévention et de sécurité. Pour ce faire, c'est le ministère des Ressources en eau qui prend l'initiative des systèmes d'alertes de crues et prévenir les risques liés aux inondations. Le directeur de l'assainissement et de la protection de l'environnement au ministère des Ressources en eau, Ahcène Aït Amara, a évoqué cette question tout en signalant que cela reste insuffisant. Pour lui, de tels aménagements doivent être effectués dans d'autres zones et régions du pays. A cet effet, le représentant du ministère a parlé d'une cartographie des zones inondables «pour pouvoir disposer d'une vision globale de protection des villes» contre les débordements d'oueds. Pour la précision, les autorités en charge de ce dossier ont recensé 50 sites particulièrement exposés aux inondations. Des villes comme Khenchela, Batna, Sidi Bel-Abbès, Bordj Bou-Arréridj et Sétif été celles du sud comme Djanet, Illizi, Biskra, Tamanrasset et Adrar courent le danger d'êtres submergées par les eaux d'autant que les oueds qui existent dans ces régions peuvent déborder à tout moment. L'action du ministère avec le concours des services hydrauliques locaux et de mettre urgemment un plan de délimitation des balises des oueds et de renforcer le système de protection qui a été déjà mis en place dans la wilaya de Ghardaïa. Pour les villes du Nord, les missions de révision des plans souterrains est inscrite dans l'urgence pour éviter toute fatalité. Il est à noter que les nouveaux schémas d'aménagements directeurs comportent des mécanismes pratiques liés à l'aspect de détection des points noirs des canalisations en eaux, les nappes phréatiques qui englobent un excédent d'eaux et les systèmes d'irrigation qui restent entièrement à refaire. En attendant, leur réhabilitation prend du temps mais avec toujours la peur au ventre des catastrophes qui peuvent surprendre. Avec ces dernières pluies orageuses avec un débit constant, les villes algériennes sont menacées par la survenue de crues qui peuvent causer par l'effet d'inondations de graves dégâts. On a en mémoire, la dévastation de Béchar par un niveau élevé des eaux souterraines qui ont envahi presque toute la ville. La menace se fait sur les toutes les agglomérations qui ont accusé un retard dans la mise en place du plan contre les inondations. Pour prévenir, les autorités des Ressources en eau et ceux de l'Intérieur font déjà une campagne pour lutter contre la montée des eaux par rapport au niveau de la mer dans les localités du littoral mais n'omettent pas les villes des steppes qui ont aussi leurs lots de craintes. Pourtant, un tel travail devait en fait se dérouler avant la saison des grandes pluies et averses. Le plan qui a été mis en vigueur il y a deux ans permet de réaménager les villes côtières sujettes à l'abondance de la pluviosité mais un nettoyage et curage des avaloirs restent le meilleur moyen de prévention et de sécurité. Pour ce faire, c'est le ministère des Ressources en eau qui prend l'initiative des systèmes d'alertes de crues et prévenir les risques liés aux inondations. Le directeur de l'assainissement et de la protection de l'environnement au ministère des Ressources en eau, Ahcène Aït Amara, a évoqué cette question tout en signalant que cela reste insuffisant. Pour lui, de tels aménagements doivent être effectués dans d'autres zones et régions du pays. A cet effet, le représentant du ministère a parlé d'une cartographie des zones inondables «pour pouvoir disposer d'une vision globale de protection des villes» contre les débordements d'oueds. Pour la précision, les autorités en charge de ce dossier ont recensé 50 sites particulièrement exposés aux inondations. Des villes comme Khenchela, Batna, Sidi Bel-Abbès, Bordj Bou-Arréridj et Sétif été celles du sud comme Djanet, Illizi, Biskra, Tamanrasset et Adrar courent le danger d'êtres submergées par les eaux d'autant que les oueds qui existent dans ces régions peuvent déborder à tout moment. L'action du ministère avec le concours des services hydrauliques locaux et de mettre urgemment un plan de délimitation des balises des oueds et de renforcer le système de protection qui a été déjà mis en place dans la wilaya de Ghardaïa. Pour les villes du Nord, les missions de révision des plans souterrains est inscrite dans l'urgence pour éviter toute fatalité. Il est à noter que les nouveaux schémas d'aménagements directeurs comportent des mécanismes pratiques liés à l'aspect de détection des points noirs des canalisations en eaux, les nappes phréatiques qui englobent un excédent d'eaux et les systèmes d'irrigation qui restent entièrement à refaire. En attendant, leur réhabilitation prend du temps mais avec toujours la peur au ventre des catastrophes qui peuvent surprendre.