Le Front des forces socialistes (FFS) entame sans doute la dernière ligne droite avant la tenue de la Conférence nationale de consensus (CNC) prévue, normalement, vers la fin du mois de février prochain. Ce parti tiendra une session ordinaire de son Conseil national, les vendredi et samedi, 23 et 24 janvier. Le Front des forces socialistes (FFS) entame sans doute la dernière ligne droite avant la tenue de la Conférence nationale de consensus (CNC) prévue, normalement, vers la fin du mois de février prochain. Ce parti tiendra une session ordinaire de son Conseil national, les vendredi et samedi, 23 et 24 janvier. Selon le communiqué, rendu public à cet effet, deux points sont inscrits à l'ordre du jour : il s'agit de l'examen de la situation politique d'abord, alors que le deuxième porte sur la situation organique interne. Il est évident que la question de la CNC sera au centre des débats. Le FFS, qui a lancé cette initiative politique, déploie toutes ses énergies pour la réussite de ce qui semble un véritable pari. Car réunir l'ensemble de la classe politique, toutes tendances politiques, est loin d'être une simple sinécure. Depuis l'annonce de l'‘organisation de cette conférence le FFS a fait face à beaucoup de critiques, émanant, notamment, de l'opposition. Mais le plus vieux parti d'opposition a maintenu le cap. Ses dirigeants, ses cadres ainsi que ses militants se sont déployés sur le terrain pour expliquer le bien-fondé de cette CNC. La direction politique du FFS, qui a lancé des consultations avec les partis politiques, les personnalités et les associations de la société civile, poursuit cette démarche. Dans ce cadre elle a rencontré, dans le courant de la semaine, l'association des familles des disparus (SOS disparus), et l'avocat Me Mokrane Aït Larbi. La semaine écoulée le FFS a rencontré l'association des victimes du terrorisme Djazairouna, le Parti El Karama, le commandant Lakhdar Bouregaa et Salhi Chawki, ancien secrétaire général du PST. Parallèlement à ces rencontres les membres de la direction du FFS sillonnaient le pays pour expliquer aux citoyens la démarche de leur parti. Des rencontres de proximité et des meetings ont été, à ce titre, animés sur l'ensemble du territoire national. Des membres de l'instance présidentielle, à l'exemple de Ali Laskri, et le premier secrétaire national, Mohamed Nebou, ont animé plusieurs conférences de débat sur ce fameux thème de la reconstruction d'un consensus national. Ce déploiement, tous azimuts, se déroulait dans un contexte défavorable après les critiques acerbes d'une partie de l'opposition, qui voit d'un mauvais oeil cette entreprise. C'est dire que malgré les critiques, émanant notamment des membres de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le FFS ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et tient par-dessus tout à son initiative. La CNLTD a, pour rappel, sévèrement critiqué l'initiative du FFS, allant jusqu'à l'assimiler à une manoeuvre du pouvoir. « Après son échec des concertations autour de la Constitution (...), le système politique cherche encore, à travers des méthodes détournées, à traîner la classe politique à de nouvelles concertations qui ne servent à rien et qui ont commencé dernièrement». L'allusion à l'initiative du FFS est on ne peut plus claire. La CNLTD invite, par conséquent, les Algériens à se mobiliser autour de l'opposition sérieuse et ne pas être entraînés par des illusions » a estimé la CNLTD dans un communiqué incendiaire. Le FFS ne désespère pas de faire aboutir son projet. Le FFS n'a pas voulu réagir face à cette campagne préférant se concentrer sur son projet. Mais ses dirigeants se sont défendus, toutefois, de servir les desseins du pouvoir. Selon le communiqué, rendu public à cet effet, deux points sont inscrits à l'ordre du jour : il s'agit de l'examen de la situation politique d'abord, alors que le deuxième porte sur la situation organique interne. Il est évident que la question de la CNC sera au centre des débats. Le FFS, qui a lancé cette initiative politique, déploie toutes ses énergies pour la réussite de ce qui semble un véritable pari. Car réunir l'ensemble de la classe politique, toutes tendances politiques, est loin d'être une simple sinécure. Depuis l'annonce de l'‘organisation de cette conférence le FFS a fait face à beaucoup de critiques, émanant, notamment, de l'opposition. Mais le plus vieux parti d'opposition a maintenu le cap. Ses dirigeants, ses cadres ainsi que ses militants se sont déployés sur le terrain pour expliquer le bien-fondé de cette CNC. La direction politique du FFS, qui a lancé des consultations avec les partis politiques, les personnalités et les associations de la société civile, poursuit cette démarche. Dans ce cadre elle a rencontré, dans le courant de la semaine, l'association des familles des disparus (SOS disparus), et l'avocat Me Mokrane Aït Larbi. La semaine écoulée le FFS a rencontré l'association des victimes du terrorisme Djazairouna, le Parti El Karama, le commandant Lakhdar Bouregaa et Salhi Chawki, ancien secrétaire général du PST. Parallèlement à ces rencontres les membres de la direction du FFS sillonnaient le pays pour expliquer aux citoyens la démarche de leur parti. Des rencontres de proximité et des meetings ont été, à ce titre, animés sur l'ensemble du territoire national. Des membres de l'instance présidentielle, à l'exemple de Ali Laskri, et le premier secrétaire national, Mohamed Nebou, ont animé plusieurs conférences de débat sur ce fameux thème de la reconstruction d'un consensus national. Ce déploiement, tous azimuts, se déroulait dans un contexte défavorable après les critiques acerbes d'une partie de l'opposition, qui voit d'un mauvais oeil cette entreprise. C'est dire que malgré les critiques, émanant notamment des membres de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le FFS ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et tient par-dessus tout à son initiative. La CNLTD a, pour rappel, sévèrement critiqué l'initiative du FFS, allant jusqu'à l'assimiler à une manoeuvre du pouvoir. « Après son échec des concertations autour de la Constitution (...), le système politique cherche encore, à travers des méthodes détournées, à traîner la classe politique à de nouvelles concertations qui ne servent à rien et qui ont commencé dernièrement». L'allusion à l'initiative du FFS est on ne peut plus claire. La CNLTD invite, par conséquent, les Algériens à se mobiliser autour de l'opposition sérieuse et ne pas être entraînés par des illusions » a estimé la CNLTD dans un communiqué incendiaire. Le FFS ne désespère pas de faire aboutir son projet. Le FFS n'a pas voulu réagir face à cette campagne préférant se concentrer sur son projet. Mais ses dirigeants se sont défendus, toutefois, de servir les desseins du pouvoir.