Le Front des forces socialiste (FFS) ne se détourne pas de son initiative, loin s'en faut. Pour la réussite de la conférence de consensus national, dont il a fait son principal cheval de bataille politique, ce parti poursuit son offensive de charme en direction des citoyens. Le Front des forces socialiste (FFS) ne se détourne pas de son initiative, loin s'en faut. Pour la réussite de la conférence de consensus national, dont il a fait son principal cheval de bataille politique, ce parti poursuit son offensive de charme en direction des citoyens. En effet, la campagne d'explications de son initiative pour la reconstruction d'un consensus national, qu'il a lancé il y a quelques semaines déjà, se poursuit avec la même détermination. Le FFS a, à ce titre, organisé hier plusieurs rencontres avec les citoyens dans différentes villes du pays. A Batna, Aïn Defla, Skikda et Boumerdès des responsables du FFS ont organisé des rencontres avec les citoyens. Il en a été de même dans la commune d'El Harrach puisque un meeting s'est tenu dans l'après-midi d'hier dans la bibliothèque communale. En pus de ces rencontres avec les Algériennes et Algériens le FFS poursuit, parallèlement, ses consultations avec les partis politiques, les personnalités et Les associations de la société civile. La semaine passée, le mercredi plus exactement, Rachid Halet, membre de l'instance présidentielle et Mohamed Nebbou, premier secrétaire, ont rencontré le sociologue Nacer Djabi. Ce dernier est connu pour être proche des thèses de la coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD). Est-ce à dire que l'initiative du FFS commence à être acceptée par la CNLTD ? Il semble trop tôt pour le dire car les principaux animateurs de cette partie de l'opposition continuent de critiquer l'initiative du FFS. La CNLTD n'a eu de cesse, depuis le lancement de cette initiative, de critiquer la démarche du plus vieux parti de l'opposition car la suspectant de viser à faire échec à la sienne. La CNLTD, qui a réussi a organiser une conférence le 10 juin dernier à Zeralda, exige désormais la tenue d'élections présidentielles anticipées et l'installation d'une commission indépendante de surveillance des élections. Le FFS s'est toujours défendu de faire le jeu du pouvoir ne comprenant pas les motivations de ces accusations. Il est resté persuadé que « les critiques, allégations et suspicions à l'égard de son initiative sont non fondées. Elles sont dues pour une grande part à des préjugés et à une méfiance (...) des uns vis-à-vis du pouvoir, du fait des expériences de dialogue inabouties jusqu'à présent, des engagements et des promesses non tenues préférant le statu quo à toute idée de changement, la dernière proposition portant sur une transition démocratique étant purement et simplement rejetée ». Le FFS estime que c'est la méfiance des uns vis-à-vis des autres qui bloque toute initiative allant dans le sens du consensus. Le FFS, qui se présente comme un « facilitateur », reconnaît que le rétablissement de la confiance n'est pas chose aisée. « Une plus grande communication sur cette initiative devrait lever les malentendus et rassurer tous ceux qui ont à coeur l'intérêt national » estime en outre ce parti. C'est ce qu'il s'évertue à faire depuis quelques semaines en vue de rassurer l'opposition puisque son initiative d'une conférence nationale, qui se tiendra comme annoncé le 24 février prochain, a suscité l'adhésion des partis affiliés au pouvoir. En effet, la campagne d'explications de son initiative pour la reconstruction d'un consensus national, qu'il a lancé il y a quelques semaines déjà, se poursuit avec la même détermination. Le FFS a, à ce titre, organisé hier plusieurs rencontres avec les citoyens dans différentes villes du pays. A Batna, Aïn Defla, Skikda et Boumerdès des responsables du FFS ont organisé des rencontres avec les citoyens. Il en a été de même dans la commune d'El Harrach puisque un meeting s'est tenu dans l'après-midi d'hier dans la bibliothèque communale. En pus de ces rencontres avec les Algériennes et Algériens le FFS poursuit, parallèlement, ses consultations avec les partis politiques, les personnalités et Les associations de la société civile. La semaine passée, le mercredi plus exactement, Rachid Halet, membre de l'instance présidentielle et Mohamed Nebbou, premier secrétaire, ont rencontré le sociologue Nacer Djabi. Ce dernier est connu pour être proche des thèses de la coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD). Est-ce à dire que l'initiative du FFS commence à être acceptée par la CNLTD ? Il semble trop tôt pour le dire car les principaux animateurs de cette partie de l'opposition continuent de critiquer l'initiative du FFS. La CNLTD n'a eu de cesse, depuis le lancement de cette initiative, de critiquer la démarche du plus vieux parti de l'opposition car la suspectant de viser à faire échec à la sienne. La CNLTD, qui a réussi a organiser une conférence le 10 juin dernier à Zeralda, exige désormais la tenue d'élections présidentielles anticipées et l'installation d'une commission indépendante de surveillance des élections. Le FFS s'est toujours défendu de faire le jeu du pouvoir ne comprenant pas les motivations de ces accusations. Il est resté persuadé que « les critiques, allégations et suspicions à l'égard de son initiative sont non fondées. Elles sont dues pour une grande part à des préjugés et à une méfiance (...) des uns vis-à-vis du pouvoir, du fait des expériences de dialogue inabouties jusqu'à présent, des engagements et des promesses non tenues préférant le statu quo à toute idée de changement, la dernière proposition portant sur une transition démocratique étant purement et simplement rejetée ». Le FFS estime que c'est la méfiance des uns vis-à-vis des autres qui bloque toute initiative allant dans le sens du consensus. Le FFS, qui se présente comme un « facilitateur », reconnaît que le rétablissement de la confiance n'est pas chose aisée. « Une plus grande communication sur cette initiative devrait lever les malentendus et rassurer tous ceux qui ont à coeur l'intérêt national » estime en outre ce parti. C'est ce qu'il s'évertue à faire depuis quelques semaines en vue de rassurer l'opposition puisque son initiative d'une conférence nationale, qui se tiendra comme annoncé le 24 février prochain, a suscité l'adhésion des partis affiliés au pouvoir.