Les manifestations des habitants d'In Salah contre l'exploitation du gaz de schiste prennent de l'ampleur. Des manifestations de soutien à l'action des habitants d'In Salah dans d'autres villes du pays, notamment dans le Sud, sont signalées ça et là. Les manifestations des habitants d'In Salah contre l'exploitation du gaz de schiste prennent de l'ampleur. Des manifestations de soutien à l'action des habitants d'In Salah dans d'autres villes du pays, notamment dans le Sud, sont signalées ça et là. Cette question de l'exploitation du gaz de schiste devient une affaire politique puisque des acteurs de la scène nationale ne cessent de monter au créneau, certains pour dénoncer l'action de Sonatrach et d'autres pour interpeller le gouvernement afin de s'expliquer et de rassurer les habitants de la région. L'opposition saisit cette opportunité pour tirer, une fois encore, sur le gouvernement. Ce dernier est ainsi sommé de mettre fin à l'exploitation du gaz de schiste. La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) n'hésite pas aussi apporter son soutien à la mobilisation des habitants de la région d'In Salah en particulier et de Tamanrasset en général. La CNLTD salue la prise de conscience des populations du Sud sur les dangers de l'exploitation du gaz de schiste et se dit être à leurs côtés e ce « jusqu'à l'arrêt du forage même s'il est expérimental ». Dans le communiqué rendu public hier, à l'issue d'une réunion tenue jeudi dernier au siége du mouvement Enahda, la CNLTD considère que cet arrêt doit intervenir afin de préserver l'environnement ce d'autant que « les populations de ce régions ont souffert et continuent de souffrir de effets négatifs des essais nucléaires depuis six décennies ». La CNLTD rappelle que la région d'In Salah dispose d'une grande richesse qu'est l'importante nappe phréatique dont une partie est en train d'être tranchée vers d'autres regions sans étude sérieuse sur l'impact sur l'environnement et surtout sans consultation des habitants . Le communiqué fait certainement allusion au grand projet du transfert des eaux de cette nappe phréatique vers la vile de Tamanrasset qui a mobilisé une grande enveloppe financière. En autres, la CNLTD fait aussi référence aux études internationales de haut niveau qui mettent en garde contre l'exploitation du gaz de schiste. Le CNLTD reproche aussi au d'avoir entamé le forage sans l'aval du Conseil supérieur de l'énergie qui ne s'est pas réunie. En vérité cette institution, ne s'est jamais réunie depuis sa création. « Sur le pan technique et économique l'extraction du gaz de schiste ne subviendrait qu'à une partie infime de la demande intérieure » estime le communiqué de la CNLTD en précisant qu'il n' y a aucune utilité économique réelle dans son exploitation. Par ailleurs la CNLTD a exprimé sa désapprobation des mesures prises par le gouvernement en vue de faire face à la chute du prix du baril de pétrole. La CNLTD, qui reproche au gouvernement de faire dans le bricolage, considère que la seule voie de salut pour le pays, réside en une transition démocratique pacifique. Dans ce cadre il est fait mention de l'institution d'une commission indépendante de supervision des élections qui serait la première pierre du nouveau processus politique. Cette question de l'exploitation du gaz de schiste devient une affaire politique puisque des acteurs de la scène nationale ne cessent de monter au créneau, certains pour dénoncer l'action de Sonatrach et d'autres pour interpeller le gouvernement afin de s'expliquer et de rassurer les habitants de la région. L'opposition saisit cette opportunité pour tirer, une fois encore, sur le gouvernement. Ce dernier est ainsi sommé de mettre fin à l'exploitation du gaz de schiste. La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) n'hésite pas aussi apporter son soutien à la mobilisation des habitants de la région d'In Salah en particulier et de Tamanrasset en général. La CNLTD salue la prise de conscience des populations du Sud sur les dangers de l'exploitation du gaz de schiste et se dit être à leurs côtés e ce « jusqu'à l'arrêt du forage même s'il est expérimental ». Dans le communiqué rendu public hier, à l'issue d'une réunion tenue jeudi dernier au siége du mouvement Enahda, la CNLTD considère que cet arrêt doit intervenir afin de préserver l'environnement ce d'autant que « les populations de ce régions ont souffert et continuent de souffrir de effets négatifs des essais nucléaires depuis six décennies ». La CNLTD rappelle que la région d'In Salah dispose d'une grande richesse qu'est l'importante nappe phréatique dont une partie est en train d'être tranchée vers d'autres regions sans étude sérieuse sur l'impact sur l'environnement et surtout sans consultation des habitants . Le communiqué fait certainement allusion au grand projet du transfert des eaux de cette nappe phréatique vers la vile de Tamanrasset qui a mobilisé une grande enveloppe financière. En autres, la CNLTD fait aussi référence aux études internationales de haut niveau qui mettent en garde contre l'exploitation du gaz de schiste. Le CNLTD reproche aussi au d'avoir entamé le forage sans l'aval du Conseil supérieur de l'énergie qui ne s'est pas réunie. En vérité cette institution, ne s'est jamais réunie depuis sa création. « Sur le pan technique et économique l'extraction du gaz de schiste ne subviendrait qu'à une partie infime de la demande intérieure » estime le communiqué de la CNLTD en précisant qu'il n' y a aucune utilité économique réelle dans son exploitation. Par ailleurs la CNLTD a exprimé sa désapprobation des mesures prises par le gouvernement en vue de faire face à la chute du prix du baril de pétrole. La CNLTD, qui reproche au gouvernement de faire dans le bricolage, considère que la seule voie de salut pour le pays, réside en une transition démocratique pacifique. Dans ce cadre il est fait mention de l'institution d'une commission indépendante de supervision des élections qui serait la première pierre du nouveau processus politique.