Le FFS est en train de mettre les bouchées doubles en perspective de la conférence nationale de consensus qui est prévue, pour rappel, les 23 et 24 février prochain. Une conférence pour laquelle le plus vieux parti de l'opposition déploie toute son énergie. Le FFS est en train de mettre les bouchées doubles en perspective de la conférence nationale de consensus qui est prévue, pour rappel, les 23 et 24 février prochain. Une conférence pour laquelle le plus vieux parti de l'opposition déploie toute son énergie. Dans cette perspective donc, avons-nous appris hier, une délégation du FFS se rendra dans la matinée d'aujourd'hui au siège du FLN pour y rencontrer la direction politique de ce parti. Selon des sources proches de ces deux partis cette rencontre, qui aura lieu à la demande du FFS, sera essentiellement centrée sur la conférence nationale de consensus. Le FFS tentera, lors de ce rendez-vous, de convaincre le FLN d'être présent à cette conférence. Ce sera donc, selon toute vraisemblance, l'ultime tentative en vue de faire rallier le FLN à cette idée de consensus national si cher au FFS. Ce dernier parti a, pour rappel, déjà rencontré le FLN pour le même objectif. C'était juste à la veille du 1er novembre de l'année passée. Lors de cette rencontre les dirigeants du FFS n'ont pas manqué de propos élogieux à l'adresse du FLN en le qualifiant, notamment, de parti « historique et nationaliste ». Le secrétaire général du vieux parti a rendu la pareille en qualifiant Hocine Aït Ahmed, le fondateur du FFS, de « personnalité historique et de grand patriote ». Cet échange d'amabilités et les discrets contacts entre les deux formations qui s'en sont suivis par la suite ne semblent pas avoir donné les fruits escomptés par le FFS puisque, à moins d'un mois de la conférence nationale de consensus, le FLN n'a pas confirmé sa participation à ce rendez-vous. De plus aucun indice ne laisse penser que le FLN y prendra part. D'où, sans doute, cette ultime tentative car le FFS mise beaucoup sur cette conférence. Pour l'heure pourtant force est de dire que ce parti peine à convaincre une bonne partie de la classe politique. Car outre le FLN aucun autre parti proche du pouvoir n'a encore dit oui à l'invitation du FFS. Ni le RND, ni le MPA ou encore TAJ n'ont confirmé leur présence au rendez-vous des 23 et 24 février et ce même si ces partis ont des préjugés plutôt favorables vis-à-vis de cette conférence. Les partis d'opposition, à tout le moins ceux qui comptent le plus sur l'échiquier politique national, ne sont pas en reste puisqu'ils rejettent catégoriquement l'initiative du FFS. Regroupés au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition déùmocratique (CNLTD) ces partis, le MSP et le RCD entre autres, voient d'un mauvais oeil la démarche du FFS. La CNLTD est allée même jusqu'à suspecter le FFS de servir les desseins du pouvoir et il est très probable que cette position évolue dans les prochains jours. Depuis l'annonce de l'organisation de cette conférence le FFS a fait face à beaucoup de critiques. Mais le plus vieux parti d'opposition a maintenu le cap. Ses dirigeants, ses cadres ainsi que ses militants se sont déployés sur le terrain pour expliquer le bien fondé de cette démarche qui vise surtout à la reconstruction du consensus national par toutes les forces politiques, y compris donc le pouvoir en vue d'une sortie de crise salutaire. Dans cette perspective donc, avons-nous appris hier, une délégation du FFS se rendra dans la matinée d'aujourd'hui au siège du FLN pour y rencontrer la direction politique de ce parti. Selon des sources proches de ces deux partis cette rencontre, qui aura lieu à la demande du FFS, sera essentiellement centrée sur la conférence nationale de consensus. Le FFS tentera, lors de ce rendez-vous, de convaincre le FLN d'être présent à cette conférence. Ce sera donc, selon toute vraisemblance, l'ultime tentative en vue de faire rallier le FLN à cette idée de consensus national si cher au FFS. Ce dernier parti a, pour rappel, déjà rencontré le FLN pour le même objectif. C'était juste à la veille du 1er novembre de l'année passée. Lors de cette rencontre les dirigeants du FFS n'ont pas manqué de propos élogieux à l'adresse du FLN en le qualifiant, notamment, de parti « historique et nationaliste ». Le secrétaire général du vieux parti a rendu la pareille en qualifiant Hocine Aït Ahmed, le fondateur du FFS, de « personnalité historique et de grand patriote ». Cet échange d'amabilités et les discrets contacts entre les deux formations qui s'en sont suivis par la suite ne semblent pas avoir donné les fruits escomptés par le FFS puisque, à moins d'un mois de la conférence nationale de consensus, le FLN n'a pas confirmé sa participation à ce rendez-vous. De plus aucun indice ne laisse penser que le FLN y prendra part. D'où, sans doute, cette ultime tentative car le FFS mise beaucoup sur cette conférence. Pour l'heure pourtant force est de dire que ce parti peine à convaincre une bonne partie de la classe politique. Car outre le FLN aucun autre parti proche du pouvoir n'a encore dit oui à l'invitation du FFS. Ni le RND, ni le MPA ou encore TAJ n'ont confirmé leur présence au rendez-vous des 23 et 24 février et ce même si ces partis ont des préjugés plutôt favorables vis-à-vis de cette conférence. Les partis d'opposition, à tout le moins ceux qui comptent le plus sur l'échiquier politique national, ne sont pas en reste puisqu'ils rejettent catégoriquement l'initiative du FFS. Regroupés au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition déùmocratique (CNLTD) ces partis, le MSP et le RCD entre autres, voient d'un mauvais oeil la démarche du FFS. La CNLTD est allée même jusqu'à suspecter le FFS de servir les desseins du pouvoir et il est très probable que cette position évolue dans les prochains jours. Depuis l'annonce de l'organisation de cette conférence le FFS a fait face à beaucoup de critiques. Mais le plus vieux parti d'opposition a maintenu le cap. Ses dirigeants, ses cadres ainsi que ses militants se sont déployés sur le terrain pour expliquer le bien fondé de cette démarche qui vise surtout à la reconstruction du consensus national par toutes les forces politiques, y compris donc le pouvoir en vue d'une sortie de crise salutaire.