Les députés de plusieurs partis d'opposition, ont exprimé hier leur colère contre l'exploration du gaz de schiste. Ils ont aussi dénoncé la « répression » contre la manifestation du 24 février à Alger et se sont solidarisés avec les populations d'In-Salah. Les députés de plusieurs partis d'opposition, ont exprimé hier leur colère contre l'exploration du gaz de schiste. Ils ont aussi dénoncé la « répression » contre la manifestation du 24 février à Alger et se sont solidarisés avec les populations d'In-Salah. Des députés de l'Alliance de l'Algerie verte (AAV), du Front El Adala et d'autres élus, à l'exemple de Karim Tabou, un dissident du FFS, ont brandi des pancartes à l'intérieur de l'hémicycle, hier à l'APN, lors de la séance d'ouverture de la session de printemps, pour dire non à l'exploitation du gaz de schiste. Sans faire de chahut ils ont ensuite quitté l'hémicycle pour manifester d'abord dans le hall avant de sortir carrément dehors pour un bref instant avant de rebrousser chemin. « Non à l'exploitation du gaz de schiste», « La souveraineté nationale est une ligne rouge », « Non à la répression des manifestations pacifiques » sont, entre autres, les principaux slogans écrits sur les pancartes des protestataires. « Nous appelons à la cessation immédiate du forage du gaz de schiste » dira Filali Ghouini, le président du groupe parlementaire de l'AAV, en fustigeant « la répression des populations d'In Salah ». Filali Ghouini, qui parlait au nom des protestataires, dira en outre, en faisant allusion au gaz de schiste que « cette bombe menace l'unité et la souveraineté nationale ». Il n'a pas manqué, par ailleurs, d'appeler les autorités à être à l'écoute des populations d'In-Salah qui ont exprimé leur rejet de cette ressource non conventionnelle. Des députés de l'Alliance de l'Algerie verte (AAV), du Front El Adala et d'autres élus, à l'exemple de Karim Tabou, un dissident du FFS, ont brandi des pancartes à l'intérieur de l'hémicycle, hier à l'APN, lors de la séance d'ouverture de la session de printemps, pour dire non à l'exploitation du gaz de schiste. Sans faire de chahut ils ont ensuite quitté l'hémicycle pour manifester d'abord dans le hall avant de sortir carrément dehors pour un bref instant avant de rebrousser chemin. « Non à l'exploitation du gaz de schiste», « La souveraineté nationale est une ligne rouge », « Non à la répression des manifestations pacifiques » sont, entre autres, les principaux slogans écrits sur les pancartes des protestataires. « Nous appelons à la cessation immédiate du forage du gaz de schiste » dira Filali Ghouini, le président du groupe parlementaire de l'AAV, en fustigeant « la répression des populations d'In Salah ». Filali Ghouini, qui parlait au nom des protestataires, dira en outre, en faisant allusion au gaz de schiste que « cette bombe menace l'unité et la souveraineté nationale ». Il n'a pas manqué, par ailleurs, d'appeler les autorités à être à l'écoute des populations d'In-Salah qui ont exprimé leur rejet de cette ressource non conventionnelle.