La coalition internationale qui lutte contre l'organisation autoproclamée "Etat islamique" (EI, Daech) en Irak et en Syrie, plaide pour une "patience stratégique" afin d'avoir plus de précisions sur les cibles possibles, a indiqué dimanche le chef d'état-major inter-armées américain, le général Martin Dempsey. La coalition internationale qui lutte contre l'organisation autoproclamée "Etat islamique" (EI, Daech) en Irak et en Syrie, plaide pour une "patience stratégique" afin d'avoir plus de précisions sur les cibles possibles, a indiqué dimanche le chef d'état-major inter-armées américain, le général Martin Dempsey. S'exprimant en marge d'une visite sur le porte-avions français Charles de Gaulle dans le Golfe, le militaire américain a indiqué que la fréquence des bombardements aériens dépendait des capacités de l'armée irakienne sur le terrain et de la volonté du gouvernement de Baghdad pour une réconciliation entre les populations. "Larguer un tapis de bombes sur l'Irak n'est pas la solution", a-t-il affirmé. "Nous avons la responsabilité d'être très précis dans l'usage de notre puissance aérienne", a-t-il expliqué en assurant qu'augmenter le rythme des raids "accentuerait les risques pour les populations civiles, ce qui pourrait alimenter en retour la propagande jihadiste". "Cela signifie qu'il faut prendre le temps de rassembler des renseignements précis sur les cibles possibles", a-t-il ajouté. S'exprimant en marge d'une visite sur le porte-avions français Charles de Gaulle dans le Golfe, le militaire américain a indiqué que la fréquence des bombardements aériens dépendait des capacités de l'armée irakienne sur le terrain et de la volonté du gouvernement de Baghdad pour une réconciliation entre les populations. "Larguer un tapis de bombes sur l'Irak n'est pas la solution", a-t-il affirmé. "Nous avons la responsabilité d'être très précis dans l'usage de notre puissance aérienne", a-t-il expliqué en assurant qu'augmenter le rythme des raids "accentuerait les risques pour les populations civiles, ce qui pourrait alimenter en retour la propagande jihadiste". "Cela signifie qu'il faut prendre le temps de rassembler des renseignements précis sur les cibles possibles", a-t-il ajouté.