Le congrès de l'opposition n'aura finalement pas lieu au mois d'avril comme cela a été prédit par les acteurs concernés. Le congrès de l'opposition n'aura finalement pas lieu au mois d'avril comme cela a été prédit par les acteurs concernés. Les membres de l'opposition s'attellent, en effet, à préparer les conditions les meilleures pour la tenue de ce conclave. « Le congrès de l'opposition a besoin de plus de réflexion et de consultations » a indiqué, à cet effet le secrétaire général du mouvement Ennahda, Mohamed Douibi, en précisant que «les préparatifs vont bon train sur plusieurs niveaux». Douibi, qui s'exprimait hier en marge de la tenue du conseil national de la jeunesse du mouvement, organisé au siège du mouvement à Alger a déclaré : « On a décidé d'écouter un peu plus les citoyens et c'est dans cette perspective que nous avons organisé plusieurs rencontres un peu partout sur l'ensemble du territoire ». « Mais les partis politiques et les personnalités nationales membres de l'opposition sont en train d'approfondir l'examen des différents axes de ce congrès et de préparer leur feuille de route dans cette perspective ». C'est donc la somme de ces propositions qui sera par la suite soumise à l'instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), qui est l'organe fédérateur de toutes les composantes de l'opposition. C'est en effet l'ICSO, qui regroupe notamment les membres de la CNLTD et ceux du pôle du changement dirigé par l'ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, qui a appelé le 3 février dernier à la tenue de ce congrès. « Un congrès qui sera sans doute d'une plus grande dimension que le congrès de Zeralda » a indiqué Mohamed Douibi en faisant référence à l'important conclave tenu le 10 juin de l'année passée et qui a vu la participation de toutes les composantes de l'opposition, toutes tendances politiques confondues. Un congrès qui a marqué un tournant dans la vie politique nationale puisque c'était la première fois que l'opposition s'entendait sur un ensemble de principes. Autant dire que c'était un acte fondateur que l'opposition voudrait rééditer à travers un nouveau congrès qu'elle s'attelle à préparer depuis des mois maintenant. Cela dit, dans son discours devant les participants Mohamed Douibi, dont le mouvement fait partie de la CNLTD, n'a pas manqué de critiquer le pouvoir. Il a indiqué que son mouvement « a invité le pouvoir à faire une lecture correcte de la situation politique et ne pas sauter sur la réalité ». Plaidant pour une Constitution pour tous les Algériens, le secrétaire général du mouvement Ennahda a mis en garde le pouvoir contre sa propension à vouloir passer le projet de révision constitutionnelle de la même manière qu'en 2008. Cette année-là le pouvoir a opéré une révision constitutionnelle partielle où il a été question de l'élargissement de la participation de la femme à la vie politique, à travers notamment les assemblées élues. Cette révision constitutionnelle, faut-il le rappeler, a été adoptée par voie parlementaire et c'est cette manière de faire qui est rejetée par l'opposition. Le premier responsable d'Ennahda a plaidé pour la voie référendaire et a aussi appelé à l'institution d'une commission indépendante pour la supervision des élections. Douibi est aussi revenu sur le dernier message du président Bouteflika en estimant qu'elle a provoqué « un choc ». Il a aussi critiqué le projet de loi amendant le code pénal et a dénoncé ce qu'il a qualifié de « libéralisation « du commerce des boissons alcoolisées. Les membres de l'opposition s'attellent, en effet, à préparer les conditions les meilleures pour la tenue de ce conclave. « Le congrès de l'opposition a besoin de plus de réflexion et de consultations » a indiqué, à cet effet le secrétaire général du mouvement Ennahda, Mohamed Douibi, en précisant que «les préparatifs vont bon train sur plusieurs niveaux». Douibi, qui s'exprimait hier en marge de la tenue du conseil national de la jeunesse du mouvement, organisé au siège du mouvement à Alger a déclaré : « On a décidé d'écouter un peu plus les citoyens et c'est dans cette perspective que nous avons organisé plusieurs rencontres un peu partout sur l'ensemble du territoire ». « Mais les partis politiques et les personnalités nationales membres de l'opposition sont en train d'approfondir l'examen des différents axes de ce congrès et de préparer leur feuille de route dans cette perspective ». C'est donc la somme de ces propositions qui sera par la suite soumise à l'instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), qui est l'organe fédérateur de toutes les composantes de l'opposition. C'est en effet l'ICSO, qui regroupe notamment les membres de la CNLTD et ceux du pôle du changement dirigé par l'ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, qui a appelé le 3 février dernier à la tenue de ce congrès. « Un congrès qui sera sans doute d'une plus grande dimension que le congrès de Zeralda » a indiqué Mohamed Douibi en faisant référence à l'important conclave tenu le 10 juin de l'année passée et qui a vu la participation de toutes les composantes de l'opposition, toutes tendances politiques confondues. Un congrès qui a marqué un tournant dans la vie politique nationale puisque c'était la première fois que l'opposition s'entendait sur un ensemble de principes. Autant dire que c'était un acte fondateur que l'opposition voudrait rééditer à travers un nouveau congrès qu'elle s'attelle à préparer depuis des mois maintenant. Cela dit, dans son discours devant les participants Mohamed Douibi, dont le mouvement fait partie de la CNLTD, n'a pas manqué de critiquer le pouvoir. Il a indiqué que son mouvement « a invité le pouvoir à faire une lecture correcte de la situation politique et ne pas sauter sur la réalité ». Plaidant pour une Constitution pour tous les Algériens, le secrétaire général du mouvement Ennahda a mis en garde le pouvoir contre sa propension à vouloir passer le projet de révision constitutionnelle de la même manière qu'en 2008. Cette année-là le pouvoir a opéré une révision constitutionnelle partielle où il a été question de l'élargissement de la participation de la femme à la vie politique, à travers notamment les assemblées élues. Cette révision constitutionnelle, faut-il le rappeler, a été adoptée par voie parlementaire et c'est cette manière de faire qui est rejetée par l'opposition. Le premier responsable d'Ennahda a plaidé pour la voie référendaire et a aussi appelé à l'institution d'une commission indépendante pour la supervision des élections. Douibi est aussi revenu sur le dernier message du président Bouteflika en estimant qu'elle a provoqué « un choc ». Il a aussi critiqué le projet de loi amendant le code pénal et a dénoncé ce qu'il a qualifié de « libéralisation « du commerce des boissons alcoolisées.